Dans de très nombreux pays du monde, on est libre de réflechir, de discuter, de penser, voire de polémiquer, et même fermement. En France, il y a la police de la pensée, la dictature du politiquement correct, et des lois scélérates qui briment toute réflexion et toute pensée, autant qu’elles le peuvent, sans parvenir à les étouffer complètement malgré tout…
On le sait bien : il y a des thèmes qu’il vaut mieux ne pas évoquer, si l’on ne veut pas avoir d’ennui, des mots à proscrire soigneusement… Ou alors, on entre en Résistance, on est iconoclaste et, à la Léon Daudet, on met volontairement les pieds dans le plat, en tonitruant joyeusement et hardiment contre l’auto censure qui naît de cette prétention insupportable des hypocrites et des tartuffes qui prétendraient nous empêcher de chercher. Le choix est vite fait…
Aujourd’hui, ADS nous envoie un article intéressant sur la notion de judéité, paru sur « juif forum », qu’il fait suivre de quelques réflexions.
On y verra que si, ici, la question « Qui est Français » vous attire immédiatement, au mieux, des regards en coin, la question « Qui est Juif », en Israël est une question tout à fait banale, comme elle doit l’être, d’ailleurs; ce n’est pas là-bas, c’est ici qu’il y a un problème quelque part…; le lien et les quelques réflexions d’ADS :
http://www.jforum.fr/forum/communaute/article/juif-par-sa-mere
Au delà de la notion de transmission (par la mère ou par le père ?) de l’identité juive, nous voyons surtout que ce problème, qui est aussi clairement celui du « droit sol et du sang » est considéré comme étant normal en ce qui concerne les revendications de la nationalité et de l’identité en Israël. Tandis qu’un français de souche est automatiquement et mécaniquement banni au rang des racistes, fascistes et nazis… s’il ose en parler ou se poser la question ouvertement.
La question de l’identité reste toujours en suspend, mais aujourd’hui, le simple fait de se la poser – si on est « blanc » et de surcroit chrétien – nous condamne aux foudres de l’idéologie dominante du politiquement correct.
Ces quelques propos me vaudront surement d’être banni du rang des bien pensants, eux-mêmes tant défenseurs (et finalement censeurs) de la liberté d’expression.
Messieurs les censeurs, bonsoir !
Setadire sur Trump : une victoire qui passe…
“Ce qui m’amuse ce sont les Français qui n’ont jamais mis un pied au E.U. et…”