Plusieurs messages reçus, des quatre coins de l’Hexagone (comme dirait l’autre…), émanant de personnes différentes, portant sur des activités différentes, dans des lieux différents etc. mais disant tous la même chose, mi-courroucés, mi-désolés : (en substance) comment est-ce que cela se fait, vous n’avez pas parlé de ceci ou de cela, vous n’avez pas annoncé ceci, vous n’avez pas rendu compte de cela; et, retour au début du message courroucé : comment est-ce que cela est possible ? Etc. etc.
Donc, pan sur le bec, et fermez le ban !
Bien.
Sauf que, avant de nous « engueuler », les personnes sus-nommés (X, Y, Z, sans oublier les autres…) auraient tout simplement mieux fait… de commencer par le commencement : à savoir, nous informer que, tel, jour, à tel endroit, il allait se passer (ou, il s’était passé…) telle chose ( pour mémoire, c’est en haut, à gauche, de la page d’accueil du Blog : Par courriel : maisaquilafaute@aol.com ).
Et, là, de deux choses l’une : ou l’activité en question ne cadre pas avec notre action, et nous choisissons de ne pas en parler; ou elle va, au contraire, dans le sens de notre action, et nous en parlons très volontiers.
Mais comment parler de ce qu’on ignore ? Nous n’avons pas la prétention folle de tout savoir, d’être partout à la fois, et d’être une Agence Havas à nous tous seuls. Informez-nous donc, d’abord, et, selon les cas, nous publierons – ou non – l’info.
Merci quand même, X, Y, Z (et les autres) d’avoir pris la peine de nous faire parvenir vos « remarques » (!) : mais, la prochaine fois, informez-nous d’abord.
Marc Vergier sur 2024 : Le taureau par la…
“Cher Pierre Builly, vos remarques sont toujours les bienvenues. Je ne garde pas la même impression…”