Cela ne « recommence » pas : cela ne fait que continuer, simplement; et croître et embellir.
Il faut être singulièrement naïf et « angélique » pour penser que, lorsqu’on plante un arbre, il ne va pas pousser. « On » a follement greffé, sur le corps social français – qui ne le demandait pas et n’en avait pas besoin – des millions de gens venant d’Afrique noire et d’Afrique du Nord, à qui l’on n’avait rien de sérieux à proposer.
A part une petite minorité, qui se tient correctement, que font tant et tant d’autres ? « Il faut bien vivre », disent-ils, dans leur langage désarmant, et c’est l’argent facile obtenu par tous les trafics possibles et imaginables, de la prostitution au vol organisé, en passant apr les armes et la drogue, et le reste.
Bref, c’est l’installation tout à fait logique de mille Mafias, dont il fallait être totalement dénué du moindre bon sens pour penser qu’elles ne s’installerarient pas, après l’arrivée de quinze millions de personnes, et au rythme effréné de plus de 200.000 entrée par an (200.000 dites « régulières (!) et 30.000 régularisations).
Et « on » s’étonne ?
Sur le fil LCI du vendredi 2 novembre :
http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/info-lci-fusillade-a-marseille-ce-que-contenait-la-sacoche-7622781.html
Déchoir/expulser, et donc remettre en cause la nature de l’Etat qui est le nôtre….
L’immigration est devenue un problème gravissime, voire de survie nationale, en raison de sa masse plus encore que de sa nature. Le slogan « déchoir/expulser » que nous employons régulièrement n’est crédible que si les contours d’une nouvelle politique d’immigration sont au moins esquissés. Sans cela, l’on ne voit pas comment de telles mesures seraient possibles et elles paraissent, alors, irréalistes, voire extrémistes, ce qui nuit à l’idée elle-même.
Or la mise en place de nouvelles règles d’immigration, et, même de naturalisation, est possible. Elles supposent, en effet, de définir, avec les pays à forte émigration, et, en tout premier lieu, avec l’Algérie, des accords bilatéraux en la matière. Il est assez sûr que ces pays ne s’y prêteraient pas facilement et que leur négociation serait âpre. Mais nous avons, sans-doute, un ensemble de moyens pour y parvenir.
En matière d’immigration, si grave que soit le problème, il faut, comme toujours « raison garder« . La solution n’est pas dans l’anarchie d’une réaction populaire spontanée. Celle-ci peut y aider. Mais elle doit être, avant tout, une politique d’Etat, globale, volontaire et clairement affirmée.
Raison de plus pour remettre en cause la nature de l’Etat qui est le nôtre qui, d’ailleurs, n’en est pas un. Rappel : Boutang disait « le Semble-Etat ».
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”