Ce mercredi 28, Thomas Legrand pose une question pertinente -et impertinente… – à Laurent Fabius, qui vient de parler de « responsabilité », d’ « urgence », de « gravité »… à propos du sommet sur le climat de l’ONU à Doha.
En substance, la question est : comment conciliez-vous cela avec vos propos en faveur de l’aéroport Notre-Dame des Landes (alors qu’il est de notoriété publique que l’actuel aéroport de Nantes est loin, très loin de la saturation…). Et, peut-on indéfiniment continuer l’orgie de carburant fossile ?
Devant le « blanc » de Fabius, ce qu’au théâtre on appellerait un trou de mémoire (mais, au théâtre, il y a le petit trou du « souffleur »…) Thomas Legrand prend la chose du bon côté, et rigole un bon coup, ce qui n’en fait que plus mal : « Puisque les réponses se font de plus en plus courtes, on va arrêter là. »
On connaissait Pépin le Bref. On vient à peine de découvrir François normal que voici le petit dernier dans la famille « le bref », Laurent le bref : on vit décidemment une époque épatante !
50 ans de démarches pour truover un justification, c’est beaucoup,surtout en période de crise.de plus il y a des aéroports à proximité qu ipeuvent développer leur activité Lorient, Laval … ce qui couterait moins cher en tous points de vue