Jusqu’à quand ? L’excellente question de La Provence… : c’est clair et net, sans langue de bois; ce n’est pas nous qui le disons, ou qui fantasmons, qui « jouons à nous faire peur » – on nous l’a écrit dans un « commentaire »… -ou qui « avons le sentiment de l’insécurité » (!). Non . C’est La Provence, grand quotidien régional, sans attaches royalistes connues, qui dit tout haut ce que nous – et tant d’autres – disons ici, à longueur de colonnes : « jusqu’à quand ? »…
La réalité, qui explique tout, est fort simple : « on » a rempli la ville de Marseille d’une population allogène à qui on n’a rien dé sérieux à offrir, en terme de « vraie vie », de vie épanouissante et enrichissante (logement, travail, formation…). Et pas seulement la ville de Marseille, mais toute la France; et aussi, pour faire bonne mesure, tant qu’on y était, toute l’Europe…
Ces populations sont évidemment diverses et variées, et se divisent en plusieurs parties.
1. Certaines, au comportement correct, sont honnêtes, laborieuses et finiront par trouver, malgré les difficultés inhérentes à la chose, qu’ont vécu tous les migrants du monde entier avant eux, dans tous les pays du monde, le moyen « d’y arriver », de s’intégrer, de s’assimiler. Comme cela s’est toujours fait, même si ce n’était pas toujours facile, et que c’était parfois dans des épreuves et de la douleur…
2. Par contre, il n’est que trop évident – et c’est la simple observation des faits qui le montre, la simple lecture des journaux, la seule écoute des JT ou des radios – qu’une autre partie de ces populations, et qui est quantitativement importante, sait très bien et sent très bien qu’elle « n’y arrivera » jamais – en aurait-elle l’envie… – car trop d’obstacles culturels, mentaux, religieux, pratiques etc. s’intercalent et s’opposent entre eux et une véritable vie ici.
Ces « nouveaux venus » – et le phénomène s’amplifie et se radicalise avec les plus jeunes, bien plus hostiles et révoltés que leurs aînés – ont très bien compris, et très bien intégré dans leur esprit que pour ce qui est d’une « vraie vie normale », ici, ils ne l’auront jamais : faute de diplômes, de formation, de perspectives d’avenir, de tout ce qu’on voudra…
Alors, dans ces conditions, que reste-t-il ? Et quoi de plus « normal » que de faire le plus facile, la seule chose qui reste à portée de main : ils ne vont pas se lever tôt et se coucher tard, et enchaîner les journées de travail pour les salaires dont sont bien obligés de se contenter ces « souchiens » qu’a injuriés une Houria Bouteldja scandaleusement relaxée par des juges aux opinions politiques facilement « devinables ». Ils vont s’enrôler dans l’une de ces multiples Mafias qui parsèment et gangrènent le territoire : la délinquance, c’est tellement plus facile, tellement plus immédiat, et ça rapporte tellement plus gros… Et voilà comment les groupes mafieux – et les guerres entre eux pour contrôler les « territoire », donc les morts qui vont avec – recrutent sans problèmes pour leurs trafics en tous genres : prostitution, drogue, armes, braquages etc…
Il faut être aveugle comme un idéologue pour ne pas le voir ni le comprendre…
Donc, pour en revenir à la question de La Provence, on connaît en réalité la réponse : la ville de Marseille, mais aussi toute la France, s’enfoncera chaque jours un peu plus dans la délinquance, et le mouvement, non seulement ne faiblira pas, mais ne fera que s’amplifier : on continue de faire entrer et de régulariser 250.000 étrangers par an ! Dont ni Marseille ni la France n’ont nul besoin.
Il ne servira à rien d’augmenter indéfiniment le nombre de policiers : pour reprendre le titre de La Provence, « jusqu’à quand » va-t-on augmenter le nombre de policiers ? On va engager la moitié de la France pour surveiller l’autre moitié ? Au risque d’en choquer certains, il ne faut pas augmenter le nombre de policiers, ce qu’il faut c’est arrêter le délire, et faire baisser drastiquement le nombre des délinquants.
Il faut donc d’abord faire cesser ce flux migratoire insensé, puis amorcer le mouvement contraire, c’est-à-dire aider au retour au pays de ceux qui n’auraient jamais dû venir. Cela ne peut passer que par le changement et le durcissement de nos lois; des déchéances massives de nationalités, suivies d’expulsions non moins massives.
Les juges idéologues de gauche et d’extrême-gauche qui passent leur temps – pour « vice de forme – à libérer en deux minutes les truands que les policiers arrêtent au péril de leur vie, parfois après des traques de quatre ou cinq ans, ont montré la voie : que l’on reprenne les dossiers de la totalité des nouveaux arrivés depuis les criminels décrets Chirac de 1975, et que l’on annule toute décision, autorisation ou mesure délivrée au vu de chaque dossier dans lequel on trouvera le moindre vice de forme : l’angoissante question de La Provence trouvera là, ainsi, une bonne partie de sa réponse…
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