Sous le titre « Misère, misères… », Royaliste – dans son numéro 1026, du 7 au 20 janvier – publie un très intéressant entretien avec Laurent Wetzel, qui répond aux questions de Pascal Beaucher. Tout récemment, le samedi 12 décembre 2012, Laurent Wetzel animait le troisième volet de notre Enquête sur la République : Ils ont tué l’Histoire-Géo. Qui et pourquoi ?
Nous donnons ci-dessous le texte de cet entretien, qui mérite d’être lu, et nous le faisons suivre de la vidéo de notre Café politique de décembre, ce qui donnera une vision d’ensemble assez complète à ceux qui sont intéressés par ce sujet, fondamental, mais qui ne connaissent pas toujours les tenants et les aboutissants…
Présentation de l’éditeur
L’enseignement de l’histoire-géo va mal. Depuis des années, sous des gouvernements de gauche comme de droite, les réformes se sont succédé mais n’ont fait qu’aggraver la situation. Qui sont les responsables de ce fiasco et que faire ? Professeur d’histoire-géo et ancien inspecteur d’académie, Laurent Wetzel dénonce avec virulence les erreurs et les aberrations contenues dans les textes ministériels, le charabia des hauts fonctionnaires ainsi que l’incompétence de nombreux responsables de l’Education nationale. Mais tout n’est pas perdu. Aujourd’hui une vraie réforme est possible si l’on s’appuie sur ceux qui croient encore à l’importance de ces deux matières : les professeurs et les parents. Un livre réquisitoire sur un sujet qui nous concerne tous.
Biographie de l’auteur
Laurent Wetzel, ancien élève de l’Ecole normale supérieure de la rue d’Ulm, est agrégé d’histoire. Il a été professeur d’histoire, de géographie et d’éducation civique dans plusieurs collèges et lycées franciliens, avant de devenir inspecteur d’académie-inspecteur pédagogique régional d’histoire-géographie. Retraité depuis peu, il n’est plus astreint au « devoir de réserve ».
Pour « aller encore plus loin »… :
1. : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2012/08/24/01016-…
Cincinnatus sur Une initiative papale qui, curieusement, arrive…
“Nous ne sommes pas capables en France d’une révolution de velours, nous sommes incapables de faire…”