Dans la série : « il a osé le dire », ou « il fallait le faire », FOG l’a dit, ou l’a fait (au choix) : « En démissionnant, Benoît XVI a paradoxalement révolutionné l’Église et fait sauter le tabou de l’infaillibilité pontificale. Ce ne sera pas le moindre de ses legs à l’Église catholique ».
Cela ne veut strictement rien dire, cela n’a strictement aucun sens, c’est d’une ânerie himalayenne, car on a beau chercher dans tous les coins, on ne voit vraiment pas – mais, alors, pas du tout… – ce que « l’infaillibilté pontificale » (!) vient faire là-dedans.
Mais il faut croire qu’à un moment donné, FOG s’est cru obligé de dire « ça », il s’est senti investi de cette grande mission. On ne peut qu’en prendre note, consterné pour lui, et « penser » (!), comme Coluche : « il y a des fois, tu te demandes… »
Paul Leonetti sur Mathieu Bock-Côté : « Un procès…
“L’Etat profond est de même nature en France et en Italie. Les officines y sont identiques,…”