Le prince Jean de France a accordé au « magazine d’information d’Orléans et de l’agglo » – « L’Hedo » -un entretien (publié le 21 février) dont nous reproduisons le texte. Ce que le journaliste en a retenu est formulé en légende de la photographie du Prince, devant sa résidence du Domaine Royal de Dreux, et c’est simplement ceci : « Le duc d’Orléans est prêt, « si les conditions sont réunies », à offrir à la France une monarchie moderne ».
Le prince Jean d’Orléans, à notre connaissance, n’est pas « duc d’Orléans » (titre que porte son oncle, le prince Jacques d’Orléans) mais duc de Vendôme; d’autre part, « monarchie « moderne » fera grincer les dents de quelques puristes (Boutang précisait : « moderne ou affrontée au monde moderne« ); d’autres expressions pourront encore être discutées. Mais, compte-tenu du contexte actuel, ce sont, évidemment, des détails.
De quoi la France de demain sera-t-elle faite ? Une monarchie y reverra-t-elle jamais le jour ? Qui viendrait, effectivement, à l’établir si, comme nous l’espérons, elle devait l’être ? Ce sont des questions sans réponse. L’Histoire est plastique : monarchie, république, empire, comme Rome, la France a connu ces trois régimes. Aucun d’entre eux n’est bâti pour toujours, même s’il est clair que la France s’est constituée par l’oeuvre de ses rois capétiens et que cette réalité de notre histoire marque, toujours et encore, très profondément, ce qui caractérise et définit la France d’aujourd’hui.
Une chose est sûre : les princes d’Orléans, qui ont recueilli la légitimité de l’ancienne monarchie à la mort du Comte de Chambord, n’ont jamais cessé, depuis lors, de servir leur pays, et d’assumer clairement la tradition dont ils sont héritiers.
Sans-doute est-ce la raison pour laquelle, les prétendants, toutes époques et générations confondues, ont toujours entretenu avec les divers Chefs d’Etat qui se sont succédé à la tête de la République et avec leurs collaborateurs, une relation plus ou moins étroite qui, si elle n’a pas abouti au résultat qu’en certaines circonstances ils en espéraient, les ont, néanmoins, amenés à servir leur pays et à rester toujours présents dans le paysage public français. L’histoire de ces relations, de Poincaré à De Gaulle, à Mitterrand, et même Sarkozy, ce que les intéressés en ont dit, écrit, pensé, mériterait, sans-doute, de faire l’objet de l’un de nos dossiers … Nous y penserons.
Le prince Jean, dans la position qui est la sienne, celle de Dauphin de la Maison de France, nous paraît se situer dans cette ligne qui consiste à demeurer, toujours, pour la France, un recours possible.
Prêt à remonter sur le trône
Ce n’est ni une fantaisie ni un fantasme. Le duc d’Orléans est prêt, « si les conditions sont réunies », à offrir à la France une monarchie moderne, gage de pérennité dans l’alternance. Entretien exclusif.
C’est dans son château de Dreux que Jean d’Orléans (de son nom de baptême Jean Carl Pierre Marie d’Orléans) me donne rendez-vous. Le temps est gris, le crachin voile un peu l’horizon. Je m’arrête devant la grille où se pressent chaque printemps les visiteurs et remarque une silhouette qui s’avance vers moi. C’est l’épouse de Jean d’Orléans qui arrive à ma rencontre pour ouvrir le domaine familial à ma curiosité. Pas de domestiques, pas de valets ni d’hommes à tout faire… C’est Philomena de Tornos, duchesse de Vendôme, qui fait grincer l’imposant portail tout en s’excusant de m’avoir laissé sous ce crachin digne d’un mois de novembre. Le château de Dreux, s’il surplombe la ville et offre un panorama princier, n’a ni les dimensions ni le lustre de Versailles. C’est d’ailleurs dans une pièce de taille très modeste que je retrouve Jean d’Orléans. À peine le temps des présentations faites que je vois apparaître le prince Gaston Louis Antoine Marie d’Orléans, avec ses bottes en caoutchouc et son air canaille. Je salue ce petit bonhomme et je découvre sous la table, à quatre pattes, la princesse Antoinette Léopoldine Jeanne Marie d’Orléans à la recherche de bras pour se faire câliner…
« Je préfère faire plutôt que de m’exprimer dans les médias »
Tous les clichés viennent de s’évaporer en l’espace de quelques mi-nutes. Je ne serai impressionné ni par le décorum, ni par l’arrogance aristocratique. Cette sobriété des lieux, Jean d’Orléans la fait sienne. Jean d’Orléans n’en fait pas mystère. Le comte de Paris, son grand-père et figure médiatique de son époque, a mis à mal le patrimoine familial. Pas de grandes propriétés à travers la France et l’Europe pour le descendant direct du dernier roi de France, Louis-Philippe, qui a abdiqué le 24 février 1848, il y a tout juste 165 ans… « Nous avons une fondation familiale pour la ges-tion du château d’Amboise (institution reconnue d’utilité publique), nous sommes propriétaires de la forteresse de Bourbon-l’Archambault et, bien sûr, du château où nous sommes actuellement. » En somme, rien de bien rémunérateur… Jean de France, s’il cogère un domaine forestier, se montre le plus souvent sous les traits d’un conférencier spécialiste du… patrimoine et de l’histoire de France.
La monarchie, le meilleur allié de la démocratie !
Une histoire qu’il aime à faire dé-couvrir, y compris dans le « 93 », dans un collège en zone sensible. Et sans démagogie, sans renfort de médias, Jean d’Orléans se sent aussi à l’aise devant ces collégiens des zones d’éducation prioritaire qu’avec les passionnés d’histoire… de son histoire en quelque sorte. « Avec les collégiens, on prend le biais du patrimoine à travers quelques grands personnages. On évoque leur sépulture à Saint Denis et les raisons qui ont fait choisir ce lieu. Et on finit toujours par aborder les questions plus personnelles comme ma présence à tel ou tel mariage princier, mon lieu de résidence… », ajoute-t-il avec un sourire amusé. À Dreux, il n’hésite pas à mobiliser son énergie pour se mettre au service de sa ville : « Je crois beaucoup en l’humain et à l’efficacité des relations pérennes. » Et quand on évoque son absence dans les médias, de cette vacance d’une « voie royale » dans le concert des prises de position de toutes sortes : « Je préfère faire plutôt que de m’exprimer dans les médias. » La monarchie institutionnelle, le prince de France la côtoie réguliè-rement au fil de ses visites dans les familles princières européennes. « C’est intéressant de voir comment les monarchies assurent la pérennité et la continuité de l’institution avec les alternances politiques. » Mieux encore, Jean d’Orléans estime que le roi a déjà sauvé et se doit de sauver la démocratie quand celle-ci est en danger : « Ce fut le cas en Espagne. En Belgique, malgré l’absence de gouvernement depuis un an, c’est le roi qui assume cette continuité. » Et quand on évoque la dérive monarchique, le duc d’Orléans rappelle « que le roi ne décidait jamais seul ». « En revanche, ce qui est intéressant dans la période qui est la nôtre, c’est que le roi peut représenter une référence, un symbole et apporter une vision à plus long terme. Ce n’est pas une opposition de la monarchie avec la démocratie, c’est au contraire une convergence. » Pour autant, il peut regarder durement certaines familles royales « en exercice ». « Il y a un devoir d’exemplarité. Quand le roi d’Espagne va chasser les éléphants, ou quand la reine Fabiola met en place une fondation… Il faut faire attention à ce que l’on fait. »
Le retour par les urnes ?
Quel avenir pour le duc d’Orléans ? « Je pense qu’on ne peut pas revenir en arrière. C’est un modèle nouveau de la monarchie constitutionnelle qu’il faudrait inventer. » En d’autres termes, pas de famille potiche sur le trône de France… mais une monarchie active au service de la démocratie. Alors, par quel biais les « Orléans »pourraient faire leur come-back ? « Hugues Capet et Pépin le Bref ont été élus. » Il n’était pas encore question, à cette époque, du suffrage universel… « Pour l’instant, on sent bien que la volonté des Français n’est pas de voir un roi de France s’installer sur le trône. Mais en fonction des circonstances cela peut évoluer. Et le moment venu… » Le moment viendra-t-il ? Quoi qu’il en soit, avant cela, Jean devra être le chef de la famille d’Orléans, situation qu’occupe à ce jour Henri d’Orléans, comte de Paris et duc de France. « Pour l’instant, je suis encore sur la réserve. Mais quand il sera temps, je me ferai plus présent en privilégiant les actions de terrain aux grands-messes médiatiques. » Une élection locale ? « Pourquoi pas. Il est intéressant de se frotter à ces enjeux, à ce que cela peut vouloir dire dans la victoire comme dans la défaite. » Mais, en regardant ces deux enfants, son héritier, cette toute jeune fille d’à peine 13 mois, il se met à penser à ce que cet engagement familial signifie.« Je commence ma vie de famille. J’ai planté un arbre, j’ai gagné ma vie… » Et le temps n’est pas un enjeu quand on fait partie d’une dynastie. Ce que le père ne peut accomplir, le fils peut le réaliser.
Philippe Had
Sublime !!! Mgr le Prince Jean est un exemple à suivre d’humilité et d’efficacité; je ne savais pas qu’il allât dans les ZEP. pourquoi pas…!!! Le Souverain, ou la Souveraine, se doit d’être au service de tout son Peuple, et non de quelques uns. S.M. Le Roi Juan Carlos I d’Espagne l’illustre à la perfection ( et je partage cependant l’avis de S.A.R. Le Prince Jean sur la bourde du Roi d’Espagne ). La Monarchie est moderne et adaptable par essence; telle un Phénix elle s’auto régénère à chaque règne; l’on peut être monarchiste, homo, Païen, laïque et démocrate, comme cela est mon cas. J’ai 41 ans, et vis avec mon Temps. Le Prince m’ a séduit par sa prestance, sa discréte détermination et son espièglerie. Cela fait des années que j’oeuvre à mon niveau pour la cause de la Monarchie, et m’aperçois que de plus en plus les gens sont favorables à l’idée d’une Monarchie Constitutionnelle Parlementaire et Héréditaire dans le Droit d’Aînesse indépendamment du sexe ( sauf les béotiens ); car bien évidemment, il n’est plus question au XXIème d’avoir cette loi archaïque et sexiste qu’est la Loi Salique… VIVE LA MONARCHIE !!! VIVENT LEURS ALTESSES ROYALES JEAN ET PHILOMENA !!! VIVENT LES PETITS PRINCES GASTON ET ANTOINETTE !!! Je pense que le Prince règnera, mais pas son Père… Nous verrons en France la Restauration de la Monarchie dans les années qui viennent; peut être aux environs de 2030, qui sait…???
LA DEMOCRATIE ?! C’EST LE MAL? C’EST LA MORT !
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La démocratie? Monstre de mensonge hautement huilé par une caste de Manipulateurs avides de Pouvoir et souvent corrompus par l’Argent, n’agissant, dans une généralité des cas, que pour défendre des Intérêts Personnels sous la Couverture du Parti auquel ils doivent Allégeance .
Système Trompeur qui fait croire à l’Electeur que c’est lui qui choisit, sans autre choix pourtant pour lui, la plupart du temps, de devoir voter « plus pour Eliminer… que pour Désigner ».
Système Menteur qui fait choisir un candidat au premier tour qui pourra être éliminé au second scrutin par le jeu d’Alliances Contre Nature en utilisant toutes les ruses, la désinformation les accusations et des qualificatifs stéréotypés pour disqualifier l’adversaire peut-être le plus honnête.
Système conditionné par l’Influence Médiatique chargée d’orienter la décision des électeurs, un véritable Pouvoir Parallèle etc., etc. ….
Bref, un « Système gangrené » par le « Système lui même » qui ne peut faire aboutir, du moins dans la durée, les bonnes mesures remises en cause, balayées ou remplacées par leur contraire par « la Majorité!?!?! Nouvelle. C’est un Fait Etabli, le Système ne fonctionne que comme cela et malheureusement, le peuple désemparé s’accroche, dans un instinct de survie, à ce qui se présente, bois mort ou branches pourries. Mais la chute est inéluctable.
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le Prince Jean croit aux chimères institutionnalisées héritées de la révolution française et du modèle américain dont il est imbibé.
Il n’ est pas question de remettre en cause Sa Légitimité Successorale mais de discuter ses propos sur une conception de l’ETAT dans le fonctionnement d’une MONARCHIE qu’il nomme MODERNE, adaptable?… qui prétendrait pérenniser l’INSTITUTION au travers des alternances politiques.
Pérenniser, certes; tant que Le Prince reste bien sagement là où il est et qu’il ne se mêle pas de ce que la « constitution » imposée par les « partis » libéraux et démocratiques lui interdit !
Et c’est comme ça que le PRINCE JEAN prétend rendre à la MONARCHIE son utilité, sa noble et salvatrice fonction, son Autorité Suprême, c’est à dire Indépendante de toute(s) Pression(s), Garante des Libertés, Modèle des Familles, Miroir du Pays Réel, Support des Corps Intermédiaires, Soutien de l’Institution et de la Foi Catholique de La France depuis Clovis, Pilier de la Souveraineté Nationale etc., etc. …
Dans une Véritable Monarchie, et tout particulièrement en ce qui concerne la Monarchie Française, le Roi Gouverne par l’Autorité Naturelle et Légitime qu’il exerce en Fédérateur de toutes les Institutions du Pays, des Corps Intermédiaires, des Provinces. Il est Promoteur de Progrès dans le Respect des Traditions, il maîtrise les Ambitions de la Finance Apatride… Arrêtons là l’énumération tellement, tellement le Roi peut agir en Garantissant les plus Larges Libertés par sa Simple Autorité.
Non, le Roi ne Dirige pas, ne Régente pas, n’exerce aucune Dictature, son Pouvoir ne dépend pas d’un Système Fermé et Inaccessible comme en République « démocratique » mais de son Autorité Légitime, déléguant ainsi l’ensemble des Responsabilités aux différents Corps et Etats du Royaume.
Tout ceci doit permettre de comprendre les deux formules suivantes applicables à la Monarchie Française et tirées de sa Tradition Millénaire:
« L’Autorité en Haut, les Libertés en Bas »
« Le Roi en ses Conseils, le Peuple en ses Etats »
Parle-t-on de Démocratie? Et pourtant, si chacun peut s’exprimer, choisir, désigner ou décider librement pour tout ce qui concerne son environnement familial, social professionnel communal, régional et pour tout ce qui touche aux compétences de sa connaissance sans la Pression de Partis obéissants à leur Idéologie et avides de remporter les élections, n’est-ce pas « LA PLUS BELLE LIBERTE » dans la « Jouissance de TOUTES LES LIBERTES SOUVERAINES » ?
Alors, où donc est passée la démocratie? C’est le mot Magique que tout le monde comprend (ou croit) mais n’existe pas, ou seulement par reflet ou mirage, un mot qui revêt deux acceptions ou significations différentes suivant que l’on est du peuple (pays réel) ou du Pouvoir ou candidat à l’élection (pays légal) ; et c’est le cas de notre système actuel composé de Renards Avides de Pouvoir:
Oh! Monsieur du corbeau, que vous êtes joli, que vous êtes beau! Si votre ramage ressemble à votre plumage, vous êtes le phénix des hôtes de ce bois. A ces mots, le corbeau (qui, rappelons-le, sur un arbre perché, tient dans son bec un fromage) ne se sent plus de joie et pour faire entendre sa belle voix (??? enfin, il s’est senti tellement flatté!) ouvre un large bec et (ah, malheur!) laisse tomber sa proie. Le renard s’en saisit et dit: » mon beau Monsieur, apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute ». Le corbeau jura, mais un peu tard que l’on ne l’y reprendrai plus! (quelle sagesse!).
Alors, remplaçons le Renard par LE PRETENDANT A SE FAIRE ELIRE (démocratiquement), soutenu par un Appareil de Parti auquel il doit OBEISSANCE et le Corbeau par l’ELECTEUR NAÏF qui tient entre ses doigts son BULLETIN DE VOTE. Jusqu’au moment de laisser tomber son bulletin dans l’urne, les Renards, représentant des différentes fromageries, sont là, flatteurs, souriants, prometteurs. L’élection terminée (ET C’EST ça LE VRAI VISAGE QUE L’ON NOMME » DEMOCRATIE »), l’électeur ne compte plus que pour du beurre ou margarine, sa ressemblance. Exit les promesses, le Parti Elu pense pour vous. Seulement, l’électeur ne retient pas la sagesse du corbeau, il se fait piéger par le renard suivant.
Revenons aux conceptions du Prince Jean: depuis quand le Roi doit Sauver la Démocratie? Monarchie Constitutionnelle en France? Condamnée d’avance à ne pas durer! Les prédateurs de la jungle se nourrissent des plus faibles animaux des troupeaux rencontrés et un Monarque Constitutionnel, malgré toutes les garanties de protection de Sa Fonction sera, tôt ou tard, poussé dans les filets et dévoré par la Meute.
Ainsi Le Prince s’appuie sur le cas de l’Espagne, de la Belgique et …, ça ne nous assure pas un avenir prometteur!
– Le Roi d’Espagne a volontairement saborder sa Fonction en transférant son autorité et ses pouvoirs au bénéfice d’un Constitution (démocratique) qui garantie aux Partis Politiques et à leur idéologie de mener la politique du pays sans que le Roi ne puisse intervenir, juste pour signer. On peut vraiment dire que le Roi a « sauvé la Démocratie » « qui a conduit son pays à la Ruine ». Bel Exemple! L’expérience de la Monarchie Espagnole risque de faire long-feu, devenue inutile et en plus coûteuse et scandaleuse. Le Roi, a-t-il eu le courage de prendre position sur l’orientation d’abandon de son Pays, contre les Lois contraires à l’Ordre Naturel, pour offrir son budget de « Chasse » pour les plus démunis de son Pays et tutti quanti? Non bien sûr, il s’en est privé le Droit en sacrifiant son Pouvoir à la Constitutionnalité « démocratique ». C’est une sage leçon à méditer!
– En Belgique, le Roi, qui lui a beaucoup de mérite(s), s’il maintient un semblant d’Unité est complètement asphyxié par les magouilles des partis politiques jouant à la Démocratie et qui se moquent bien de Sa Personne. Certes le Peuple se resserre autour de lui mais il faudrait un large et spontané Mouvement Populaire et une conscience courageuse des citoyens pour imposer Sa Légitimité en balayant la situation constitutionnelle actuelle. De plus, quoi penser de l’autorité d’un Roi dont la Capitale Bruxelles est devenue la Capitale du gouvernement des Commissaires Européens, machine à broyer les Nations.
– Dans les autres pays se prévalant d’une Monarchie « Constitutionnelle » ce sont encore les Partis qui, par leur jeu « démocratique assassin, tout comme les pays à « constitution républicaine comme La France » (cherchez la différence!), ont livré leur Pays, leur Nation, leur Peuple, leur souveraineté à « CESSER D’ETRE » au profit d’un « conglomérat européen » sans consistance mais tentaculaire, technocratique, dictatorial et même totalitaire aux ordres d’une « finance tueuse » des Peuples et des Nations. L’Euro, ce VEAU D’OR qui s’admire, s’encense, se fait Religion, se croit vainqueur de Dieu mais condamne à la misère des peuples entiers!
Oui vraiment, la Démocratie existe, elle s’étale sous nos yeux, elle se vautre, elle se pavane, elle TUE!
Alors, à quoi ont servi tous ces Monarques sans Pouvoir(s), interdits « d’expression » suivant les règles de leur Constitution « démocratique » respective de leur Pays, exclus peut-être d’un « droit de veto »? Ils n’ont été que des « spectateurs » incapables de freiner le « train de l’abandon », se contentant de suivre dans le » dernier wagon. Ils et ont même, à leur insu, « rassuré leur Peuple » embarqué de force dans ce « convoi de nuisance démocratique » à destination d’un « crématoire » chargé de réduire en cendre la Souveraineté, l’Histoire, les Traditions, la Diversité, les Libertés Individuelles, le Corps Social, la Pratique de la Foi et tant de choses encore, en un mot « l’Indépendance » des Nations et des Peuples et tout particulièrement de Leur Pays.
Alors Cher Prince, prince de France, de Ma France, de Notre France, de Votre France tant Aimée, Fille Aînée de l’Eglise, Missionnaire et Civilisatrice, croyez avec toute la Force de La Providence, appuyé par les Grâces attribuées à votre Rang, en la Mission Toute Particulière de Votre, de Notre Beau Pays.
Je vous en prie,
– « parlez en Prince, en Prince de France », sortez du « marécage démocratique » qui en France est « d’oeuvre démoniaque », soyez le « Fédérateur des républiques régionales de France »,
– « parlez en Roi » qui Projette, qui Oriente, qui Rassure, qui Sauve, qui apporte un Sens Concret au Mot « Liberté » compris de tous par la Diversité des Libertés Concrètes et Retrouvées,
– « parlez en Souverain Chrétien », respectueux des autres croyances et de tous ceux qui ne croient pas, représentant chacun sans distinction mais en affirmant avec Objectivité, Charité et Raison la Primauté Catholique et Historique de la France et vous obtiendrez Respect et compréhension et adhésion,
– « soyez le Secours de la Dignité Humaine », « Clé de Voûte des Familles », « garant des Valeurs et des Traditions »,
– « rendez à la France son Héritage, sa Souveraineté et sa Foi ».
C’est à ces conditions que vos deviendrez « le Protégé de Dieu » qui vous Guidera et vous Assistera dans l’Accomplissement et la Réussite de votre Mission de Redressement de La France, comme ce fut le cas en de nombreuses circonstances dans notre Histoire, ce qui ne vous empêchera pas d’agir librement et en toute indépendance dans l’ordre temporel et dans la gouvernance du pays.
Rassurez-vous, Cher Prince Jean, (nous nous sommes déjà rencontrés), je ne suis pas un militant Catho au sens prioritaire du terme, mon engagement est préférentiellement politique mais si je regarde toute l’Histoire de notre France, je suis bien obligé de constater que le Ciel est intervenu plusieurs fois dans le rétablissement de notre Ordre Temporel et ce malgré le peu de vertus de nos Rois mais Dieu, chaque fois, a pris en compte la Volonté de nos Rois de Garder La France dans la Fidélité à Son Fils, Le Christ Roi de France, devenus chacun Son Lieutenant et recevant « Pouvoir Temporel » directement de Lui, indépendamment du Pouvoir Spirituel en place n’ayant pas autorité d’interférer dans la politique du Roi, mais les deux Pouvoirs se fortifiant et s’appuyant l’un, l’autre.
Pour résumer, si on interdit aux enfants de jouer avec des allumettes, l’expérience nous montre que les dangers sont certains. De même, jouer à la « démocratie » et/ou se présenter « Monarque » d’une Monarchie Constitutionnelle c’est marcher sur un « champ de mines » et/ou se présenter muni d’un gilet pare-balles dans un « dépôt de munitions ». Le spectacle est assuré!
Remplaçons « Démocratie » par « Droits, Devoirs, Libertés réelles et concrètes du Pays Réel, Soutien de La Famille, Participation Corporative, Prise de Responsabilités en Tout Genre etc. .
Remplaçons « Monarchie Constitutionnelle « par MONARCHIE INSTITUTIONNELLE », non prisonnière d’un Système l’empêchant de communiquer et d’agir mais Ouverte au Pays Réel, « Populaire », « Décentralisée » au sens qu’elle est Fédératrice d’Equilibre auprès de toutes les Institutions, les Corps de Métiers, les Associations, les Corps Intermédiaires et de toutes les Initiatives Positives dans le Royaume etc. .
Monarchie appuyée, non d’un Parlementarisme de « Partis » par essence « Diviseurs », mais par une « Institution Nationale représentative en fonction des Compétences tirées de toutes les Echelles du Pays: Sociales, Professionnelles, Familiales, Educatives, Spirituelles, Sportives, Artisiques etc., etc., etc. .
Monarchie Absolue dans sa Légitimité et Concrète en ce qu’elle représente « d’Indépendance » face aux Lobbys, aux Groupes de pression, aux Monopoles de La Finance etc, et en ce qu’elle exerce d’Autorité et de Pouvoir Naturels, d’Initiative et de « Service, sa Mission Prioritaire », pour la France et son Peuple et tout le Pays Réel,
Monarchie Héréditaire, qui conforte l’Etat dans la Durée et lui assure une Continuité Protectrice. Contrairement au Système Electif où le Chef de l’Etat élu défait généralement ce que son prédécesseur a réalisé, système qui déresponsabilise la Fonction de Président et qui ne permet pas de réaliser de Politiques à Long Terme, qui s’adonne aux Promesses Démagogiques à l’approche des périodes électorales, soumis à la pression des Médias et des Groupes de Pression Influents, le Roi, lui, Engage sa Légitimité et son Pouvoir Monarchique et Sa Descendance Successorale. Son Intérêt est intimement lié à celui de la France,
Hérédité Masculine, non par discrimination, mais dans la continuité des Règles Dynastiques qui en 1000 ans ont permis à la France de se Construire et d’Exister jusqu’à nos jours et dont nous sommes les Héritiers Chanceux. Alors, choisissons ce que l’Expérience nous laisse de Repaire et de Réussite,
« Monarchie Française », au caractère Unique et Universel et Divin, marquée du SCEAU de DIEU, née Catholique avec Clovis sur les Fonds Baptismaux de Reims et Confirmée par le Sacre des ses Rois jusqu’à Louis XVI. Son Histoire est liée à la Catholicité et tout Souverain d’aujourd’hui qui voudrait Régner en s’affranchissant de cette Emprunte Historique sera condamner à ne pas durer.
C’est sur Vous, Cher Prince Jean de France, que tout repose aujourd’hui. La France et son Peuple vous attendent. Pardonnez ma Franchise mais aujourd’hui l’heure est grave et il vous faudra compter sur l’Aide et l’Assistance du Ciel pour Redresser et Sauver la France et, par Elle peut-être, le Monde.
N’oublions pas Jeanne d’Arc, Dieu l’a chargée de Mission: faire Sacrer Roi à Reims le Dauphin Légitime et, en obéissant aux Voix qui la Guidaient, c’est Elle avec ses Troupes qui a Combattu et Délivré la France. Et donc, avec l’Aide de Dieu, les Hommes d’Armes ont Bataillé et Dieu a Donné la Victoire.
Respectueusement.
ILFAUTRAISONGARDER,
MAIS IL FAUT AUSSI VIVRE DANS LE TEMPS PRESENT ET
PARTIR DE CE QUI EXISTE POUR CONSTRUIRE UNE
MONARCHIE POUR LE XXI EME SIECLE
LA DEMOCRATIE C’EST PAR DEFINITION LE POUVOIR DU
PEUPLE CE N’EST DONC PAS LA MORT CAR QUE FERAIT LE
ROI SANS L’ EXISTENCE DU PEUPLE ?
LA MORT C’EST PLUTOT LE PEUPLE SANS LE ROI (cf:
DC sur « Quo non descendam » : après Strauss-Kahn,…)
Vous vous livrez à une représentation toute manichéenne de la monarchie. Vous idéalisez l’Ancien Régime, sans voir comment la monarchie française, désireuse de liquider l’ancien ordre féodal, a constamment promu la bourgeoisie au détriment de l’aristocratie, comment elle a contribué à mettre en place un vaste marché qui a consacré l’ascension de cette bourgeoisie, ni comment elle s’est employée à mettre en oeuvre un processus de centralisation politique et de rationalisation administrative que la Révolution, ainsi que l’a montré Tocqueville, a seulement accélérée et aggravée.
L’institution monarchique, dont il n’est pas question de nier les mérites, représente-t-elle la meilleure façon de faire face aux problèmes politiques de ce temps ? Le spectacle des monarchies actuelles conduit à en douter. L’état général est le même dans tous les pays occidentaux, qu’ils soient des républiques ou des
monarchies.
Ce seul fait conduit à penser que vous surestimez les pouvoirs de l’institution. Au lieu de réfléchir sur les conditions de formation du lien social, sur la pluralité des facteurs à l’oeuvre dans toute dynamique sociale, vous croyez que l’essentiel des problèmes peuvent et doivent se régler d’en haut.
Ce n’est plus le cas. Vous ne voulez pas d’une monarchie parlementaire. Mais alors que reste-t-il ? Une monarchie de droit divin ? On en connaît les conditions. Mais qui peut sérieusement croire qu’on puisse ramener l’humanité occidentale à un régime d’hétéronomie dont, pour le pire et le meilleur, elle est aujourd’hui sortie ?
Il y a nécessairement une synthèse à réaliser entre :
la symbolique du sacré,
l’instauration d’une autorité royale arbitrale, avec davantage
de prérogatives que dans les autres monarchies
parlementaires européennes sur les bases françaises de la
Vème République et de l’esprit de la Charte
de 1830, et enfin,
la démocratie à la fois dans son système représentatif ou
parlementaire et dans son exercice direct que sont le
référendum en situation exceptionnelle, et la démocratie
participative.
Ne pas s’employer à y réfléchir, à dépoussiérer les vieilles
formules et slogans d’un autre temps, c’est conserver la
monarchie dans une sorte de musée, en plus idéalisé ou
fantasmé, qui ne permettra pas de faire émerger le sentiment
royaliste dans notre pays.
Alors que le contexte politique, permettrait de mettre en
avant la solution monarchique royale, certains en sont encore
à ressasser le passé. Ce n’est pas servir la cause de nos
Princes que d’alimenter sur la Toile ces vieux schémas qui
n’interpellent plus les Français. Il serait plus intéressant de
montrer aux Français ce que pourrait être leur vie
démocratique si au lieu d’avoir un Président de la République
élu pour 5 ans, ils avaient un Roi doté de réels pouvoirs
constitutionnels. Peut-être alors, s’intéresseraient-ils à nos
propositions ?
Il serait temps de se bouger plutôt que de rêver.
démocratie? le peuple es til en mesure de choisir les candidats Le mieux à même de gérer les situations?
je ne le pense pas et l’évolution de notre pays a travers les deux derniers siècles le démontre.
ceci dit il a son mot à dire car après tout c’est de la marche de ses affaires dont il s’agit. comment élaborer un système qui tienne compte de tout ça?
rien n’étant parfait, je pense que le système de représentation doit différer d’un niveau d’élection à l’autre. La commune ou communauté de communes étant le lieu privilégié de l’expression démocratique, la Région est un cadre particulier car il rassemble des moyens, dispose d’une puissance de dynamisme indispensable aujourd’hui le reste, à savoir commune (rurales notamment) et département doivent di paraitre car ils se sont constitués en féodalité modernes entraves du progrès. ce sont des fiefs de politiciens en mal de position sociale.