Je n’apprécie pas spécialement la Barjot dite Frigide, si prompte à aller roucouler dans les bras des musulmans de l’UOIF et à dénoncer les provocations de « l’extrême droite », mais j’aime encore moins tous ces journalistes, saltimbanques et animateurs de télévision et de radio qui ne cessent de la mettre méchamment en boite et de dénigrer son combat. Et cela, pour la seule raison qu’elle ne partage pas leurs idées totalitaires qui n’ont même pas le mérite d’être personnelles et sincères et ne sont que l’expression ostentatoire du prêt-à-penser en vogue dans la caste médiatique. Ils ne sont tolérants, humanistes et courageux qu’avec ceux qui pensent comme eux, ceux de leur petit monde aigre qui prétend avoir l’exclusivité de la morale et de l’intelligence alors qu’ils se comportent en réalité comme des moutons de Panurge décérébrés et des gardes-chiourme de l’idéologie gauchiste.
Alors à tout prendre, je défilerai encore avec la Barjot et ses Bisounours roses et bleus mais avec mon drapeau français et ma fleur de lys à la boutonnière.
David Gattegno sur Jean-Éric Schoettl : « Le parquet de…
“Que de confusions lexicales ! … Récapitulons un peu, autrement il serait impossible de regarder clairement…”