La prochaine conférence traitera de la sauvegarde de notre identité démographique. Ce sujet comporte bien sûr une dimension migratoire. Réduire l’immigration trop importante, intégrer l’immigration intégrable et organiser le retour des étrangers non assimilables, éviter l’expatriation de nos compatriotes, notamment les plus jeunes et les plus qualifiés.
C’est déjà un programme considérable de retournement des tendances actuelles.
Mais tout cet effort n’a aucun sens sans un redressement de la natalité française, ce qui passe par une réévaluation très forte (matérielle mais aussi morale) de la famille française, à l’image de ce qui se fait avec succès en Russie. La famille ne doit pas être isolée de ce qui fait son essence, sa cause finale qui est la naissance d’enfants nouveaux. Une famille sans enfants peut exister pour diverses raisons et elle peut recourir à l’adoption faute de mieux mais il faut affirmer que la plénitude de la famille dans son essence est d’avoir des enfants nouveaux grâce à la reproduction. Se désintéresser de la reproduction du peuple français est en effet génocidaire. La cause formelle de la famille est la parentèle, fixée juridiquement dans le mariage. La cause motrice est l’amour entre l’homme et la femme. Tout autre type d’amour est stérile. Enfin, la sexualité, qui est la cause matérielle de la reproduction, est nécessairement soumise à une discipline de civilisation, comme tous les instincts qui chez l’homme, sont toujours susceptibles de dérive chaotique (voir la théorie des trois cerveaux et celle d’Arnold Gehlen sur l’homme, être de manque ouvert au monde).
Philosophiquement, l’Occident est dans une spirale suicidaire, comme l’avait prévu Dostoïevski. On ne peut pas se taire sur une dérive aussi grave, voire criminelle, où nous ont entraîné les faux prophètes (Voltaire, Rousseau, Marx et Freud) relayés par l’oligarchie au pouvoir, qui ne voit que son intérêt à court terme et qui se désintéresse de la déshumanisation de l’homme, ramené au niveau d’un animal de consommation interchangeable. Cette déshumanisation de l’homme conduit à terme à la disparition même de la Nation.
Yvan Blot Président d’Agir pour la Démocratie directe
Henri sur Journal de l’année 14 de Jacques…
“D’abord nous remercions chaleureusement le Prince Jean de ses vœux pour notre pays et de répondre…”