Elle résiste vaillamment à la torpeur estivale, elle reste très animée, on y discute et on y « échange » ferme, et c’est la raison de sa progression continue (2150 « Amis » en à peine plus d’un an…) : mais, plus que le nombre d’Amis, l’important est le dialogue, l’échange d’idées, la confrontation des points de vue, et donc la qualité des débats sucités que permet notre Page Facebook, Lafauterousseau Royaliste.
Aujourd’hui, voici deux exemples tirés de ce que qui se dit – et s’est dit, ces derniers jours – sur cette Page, avec, d’abord un lien d’Hélène Richard-Favre (une habituée, pour notre plus grand plaisir…) : http://voix.blog.tdg.ch/archive/2013/08/05/temp-8760d33fb0bfca0d74abfe6bcccdf3eb-245188.html
Puis, Olivier Perceval a « partagé un lien » vers le travail de Philippe Delorme, que l’on ne présente plus : http://phdhistoire.blogspot.fr/2011/09/historiquement-incorrect-lesclavage.html
Philippe Delorme fait partie de ces personnes dont les publications, toujours sérieuses, méritent qu’on leur donne le plus d’écho possible. Il ne nous en voudra certainement pas de rappeler qu’ici même, sur lafautearousseau, nous avons au moins deux fois évoqué ce sujet, sur lequel l’historiquement correct – encouragé, en l’occurrence par Dame Taubira, entre autres… – désinforme à tout va, occulte et truque allègrement les faits, afin d’arriver à une présentation des choses scandaleusement orientée, et, tout simplement, fausse et mensongère :
1. Le vendredi 20 juin 2008, dans notre note « Ainsi va le monde ; curieux ce propos de Madame Taubira… », à propos du livre « Le génocide voilé », de Tidiane N’Diaye
2. Et, plus récemment, sous un autre angle, dans l’un des Lundis de Louis-Joseph Delanglade, le 13 mai 2013 : « Tintin aux Antilles »…
C’est une bonne chose que notre quotidien et notre Page Facebook marchent ainsi de conserve : mieux vaut être bipède qu’unijambiste, non ? En attendant un nouveau progrès pour la rentrée, mais, patience…
David Gattegno sur Christophe Boutin : « Allo, Manu ?…
“Donald Trump est élu et, presque aussitôt, le chancelier allemand prend son téléphone. Il y a…”