De l’extrême droite à l’extrême gauche, il arrive régulièrement -presque chaque jour… – que tel ou tel responsable tienne des propos sensés, c’est-à-dire tirés objectivement de la simple observation des faits, et non fruits ou reflets d’une idéologie, quelle qu’elle soit. Ce jour-là, on en prend note, sans se faire plus d’illusions sur la personne qui a tenu ces propos, ni sur son parti, et on se garde évidemment de croire que tout est arrivé : mais, on prend note…
Aujourd’hui, c’est Valls qui a bien parlé, sur les Roms :
«C’est illusoire de penser qu’on règlera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion», a déclaré mardi Manuel Valls, assurant qu’une minorité de Roms voulait s’intégrer en France.
«Il y a évidemment des solutions d’intégration (…) avec des villages d’intégration, (…) mais il faut trouver des communes qui peuvent accueillir ces villages d’insertion et de toute façon, ils ne concernent que quelques familles», a déclaré le ministre de l’Intérieur sur France Inter.
A la question de savoir si seulement une minorité de roms avaient un projet de vie et voulaient s’intégrer en France, M. Valls a répondu : «Oui, il faut dire la vérité aux Français».
«Ces populations ont des modes de vie extrêmement différents des nôtres et qui sont évidemment en confrontation» avec les populations locales, a-t-il ajouté.
«C’est illusoire de penser qu’on règlera le problème des populations roms à travers uniquement l’insertion», a insisté le ministre, estimant qu’il n’y avait «pas d’autre solution que de démanteler ces campements progressivement et de reconduire (ces populations) à la frontière».
Pour Manuel Valls, «les Roms ont vocation à revenir en Roumanie ou en Bulgarie, et pour cela il faut que l’Union européenne, avec les autorités bulgares et roumaines, puissent faire en sorte que ces populations soient d’abord insérées dans leur pays», a insisté le ministre.
* Les propos de Valls sur les Roms divisent le PS
Ne nous voilons pas la face !
Si des Roms veulent et peuvent s’intégrer à une vie sédentaire, en respectant les lois et les devoirs du pays qui les accueille, il est possible de les accepter, mais ils ne sont plus à considérer comme des nomades. S’ils jettent le trouble et le désordre là où ils passent, il est préférable tant pour eux que pour les Français de quitter le territoire et de retourner à leurs origines. Qui n’a des exemples de raccordement d’eau et d’électricité volé, détourné, qui n’a souffert d’une absence d’hygiène inhérente à leur façon d’être (et non parce qu’ils ne disposent pas du nécessaire pour être propre), qui n’a vécu à côté d’eux, ne savent rien de leur mode de vie. Manuel Valls a raison de se montrer ferme sur ses positions et son opposante n’a qu’à accueillir dans son voisinage ces Roms en surnombre pour comprendre que le pays ne peut accepter plus que ce qu’il supporte déjà. Le laxisme avec les Roms, ça suffit !