En général, lorsqu’un candidat arrive largement en tête au premier tour d’une élection, les radios l’invitent dans leurs émissions du matin.
Curieusement, le lendemain du 1er tour de l’élection cantonale partielle de Brignolles, qui a vu le candidat du Front national arriver largement en tête avec plus de 40% des voix, c’est le patron d’un des partis perdants, Harlem Désir, que France-Info a invité à commenter cette élection !
Etonnant, non ?
On ne refera pas France Un Faux
Ce n’est pas étonnant de la part de ces radios subventionnées par le gouvernement socialiste et composées que de socialistes . Que les non-socialistes les écoutent encore, c’est cela qui est étonnant;
Eh bien, moi, je crois qu’il convient de remercier Scipion pour cette suite déjà longue de billets toujours pleins d’humour et de sens, qui ont le mérite d’être brefs, d’être écrits en bon Français, rempli d’agréments …
Le blog mestre a sûrement déjà remercié Scipion. Je le fais, moi, au titre de lecteur.
Il me revient à la mémoire que, dans un temps assez lointain déjà, ceux de ma génération qui lisaient, chaque semaine, Aspects de la France, ne manquaient jamais un billet qui portait le même nom que celui de Scipion, qui s’appelait donc, aussi, « le Grain de sel », et qui était celui de Béatrice Sabran, l’épouse primesautière, originale et vive de Pierre Debray. Avec ce Grain de sel là, qui était une bouffée d’air pur, on était sûr de ne pas s’ennuyer.
Avec celui de Scipion, non plus. Merci, donc.
Rien d’étonnant avec ce gouvernement héritier du communisme où le mensonge et les cachotteries sont érigés en forme de pouvoir .Tout cela démontre que les socialistes sont aux abois
Ce genre d’omerta est un galop d’essai.
Merci à Scipion d’avoir souligné cette incongruité. Le Système est pris d’une panique et d’une hystérie face aux 6,5 millions de voix FN au premier tour de la présidentielle, qui sont certainement 8 ou 9 aujourd’hui. Ils ont donc mis en batterie tous les canons de marine pour endiguer une vague qu’ils ne sont plus en mesure de contenir. L’électeur a compris qu’il faut saisir chaque élection, peu importe la nature et l’importance pour sortir une classe politique ultra moisie. On peut donc s’attendre aux attaques les plus basses. À Marseille la Carlotti de service vient de dégoiser (lu dans Le Point) que le FN est un parti « fasciste ». Outre que cette péronnelle serait bien en peine de nous faire un cours sur ce que fut le fascisme en Europe, est ce que c’est elle qu’un Guérini visait (Jean No pour les intimes) dans un entretien au JDD quand il disait « Si je parle il y en a qui ne seront plus ministre ! ». Avé l’assent. La Carlotti dans le marigot marseillais. Il faudra que cette grande démocrate nous dise comment un parti qui recueille 6,5 millions de voix, a péniblement deux députés à l’AN, quand ses copains verdo-altero-mondialo écolos en ont 18 avec péniblement 850.000 voix. C’est la démocratie selon Marie-Arlette. On peut prévoir qu’elle n’a pas fini de nous amuser …