Et qu’est-ce qu’on attend, aussi, pour passer au crible toutes les autorisations et tous les avantages accordés depuis les décrets Chirac/Giscard de 1975, et pour annuler tous ceux qui présentent des vices de forme et/ou des vices de procédure, ou qui sont bâties sur des déclarations incomplètes, insincères, fausses – donc mensongères…- : les annuler, annulant, du coup, tout ce qui a été octroyé avec, notamment la nationalité et tout ce qui en découle…
Allez, au boulot, Manu !
Que la France s’occupe d’abord de ces habitants qui, eux aussi, sont pour beaucoup dans la misère.
Cela suffit maintenant de faire pleurer dans les chaumières, les médias sont les premiers à mettre de l’huile sur le feu.
Les jeunes qui manifestent pour le retour de ces deux jeunes expulsés les prennent chez eux et les assument !
En effet ,ces jeunes les pauvres sont manipulés par les médias ( harlem désirs etc)et foncent dans le piége c’est partout pareils en Belgique n’en parlons pas .
Les déclarations de cette famille montrent clairement qu’il
s’agissait, sous prétexte de droit d’asile injustifié, d’obtenir en
fait, à terme, une carte de résident, sans même faire le
moindre effort pour s’intégrer.
Ce qui est triste, c’est de voir Léonarda, subir les
conséquences d’actes parentaux irresponsables. Cependant,
il semblerait que lesdits parents aient néanmoins agi pour
rechercher un avenir meilleur pour leurs enfants et pour
eux-mêmes. Et là, notre administration est totalement
irresponsable, notre législation sans doute mal adaptée.
La procédure de demande de droit d’asile (recours inclus) ne
devrait pas prendre tant de temps pour son examen et
permettre de se prononcer en toute légalité.
Si la nationalité de Léonarda est italienne, il appartient à
l’Italie de régler ce problème, et si sa langue est
essentiellement le Français, favoriser la poursuite
de ses études en France, à titre personnel, serait une bonne
chose, selon des modalités à définir. Des mineurs en Europe
font bien des stages linguistiques, hors de leur pays d’origine,
sans que leurs parents ne résident sur le territoire d’étude.
Ce serait une solution raisonnable si l’on prend en compte
l’avenir de cette jeune fille, compte-tenu de sa situation
personnelle.
Reste à connaître tous les éléments du dossier.