Le lieu a changé (nous sommes passés du Café Simon au Bolero, juste à côté) mais pas la qualité : c’est un Gérard Leclerc en pleine forme qui a brillamment ouvert, hier soir, la quatrième saison de nos Cafés politiques, avec une remarquable intervention sur La morale laïque de Vincent Peillon; à vrai dire, sur le problème d’une morale commune pour une société éclatée, plus que sur le cas Peillon, lui-même ! La vidéo de cette intervention sera mise en ligne jeudi, accompagnée des liens renvoyant aux vidéos des deux précédents Cafés de Gérard Leckerc, à Marseille (celui de 2011 sur la théorie du Genre) et celui de l’an passé (sur les Lumlières) cafés qu’il a lui-même rappelés, hier soir.
Le Café s’est tout naturellement poursuivi par un repas amical, animé, et chaleureux.
Avant de passer la parole à Gérard Leclerc, François Davin avait seulement rappelé la conclusion de Jacques Trémollet de Villers, lors de notre réunion de rentrée du mois dernier : « Aujourd’hui, tout est possible, même le meilleur ! » Et donné nos prochains rendez-vous, pour vAix et Marseille : le mardi 3 décembre pour le Café actualités d’Aix-en-Provence et le samedi 14 décembre pour le Café politique de Marseille, avec Antoine de Crémiers qui posera la question : La France existe-t-elle encore ?
En attendant, poursuite de notre militantisme permanent avec l’action ininterrompue de notre quotidien royaliste lafautearousseau, de notre Page Facebook Lafautearousseau Royaliste et de notre Compte Twitter A.F.Royaliste : marchant de conserve, en synergie, ces trois médias poursuivent leur progression et touchent chaque jour de plus en plus de personnes, surtout en dehors de ce qu’il est convenu d’appeler nos cercles traditionnels. Mettre les moyens modernes au service d’une diffusion toujours plus élargie de nos idées, c’est une évidence que nous vivons en permanence, 24 heures sur 24, sept jours sur sept et douze mois sur douze : et ça marche !
Bons progrès à nos Idées, au service du Bien commun !
Marc Vergier sur Histoire ▬ Le 23 novembre 1944…
“Question : Est-ce lui que Charles de Gaulle, à qui il venait proposer sa collaboration, a…”