Trente Associations manipulatrices – la plupart payées par nos impôts, sous formes de subventions publiques !… – et, au final, un échec retentissant, tonitruant, assourdissant : même pas 4.000 marcheurs à Paris, même pas 1.000 à Marseille, même pas 200 à Lyon : même les plus aveugles, les plus naïfs, les plus crédules ne se laissent plus prendre : il était temps…
L’anti-racisme, l’arnaque du siècle, la supercherie avec un grand « S », celui que dénonçait Finkielkraut, annonçant qu’il serait le marxisme de remplacement, a sérieusement du plomb dans l’aile.
Mais le monstre bouge encore, il faut l’achever : que la bête meure !…
La plupart de ces marcheurs sont des automates téléguidés par une minorité d’idéologues de bas étage. Ces derniers individus vivent de la manne publique et m’ont pas du tout envie de la voir disparaître. Car, cela signifierait qu’ils soient alors contraints de gagner leur vie à la sueur de leur front. Comme le disait superbement Victor Hugo au débat de la Chambre du 25 novembre 1848 : » La Monarchie avait les oisifs; la République, elle, aura les fainéants ». Puis, enfin, que ces marcheurs de l’inutile, la France dans son ensemble n’est pas raciste, se rendent en Algérie, en Tunisie, ou en Libye où sévit un racisme virulent renforcé par le fanatisme religieux.