On avance les chiffres annuels suivants :
David PUJADAS : 240 000 €
Laurence FERRARI : 500 000 €
Michel APATHIE :500 000 €
Alain DUHAMEL :240 000 €
Claire CHAZAL :900 000 €
De plus ces journalistes se gardent bien de parler de leurs avantages fiscaux : au-delà de 3 mois de présence, il paraît qu’ils ont droit à la totalité de la rémunération mensuelle pendant 3 mois, et qu’ils ont demandé à François HOLLANDE de porter la durée à 6 mois.
Il paraît que les journalistes en service, victimes d’accidents du travail, de trajet ou atteints de maladie professionnelle contractée à l’occasion de leur travail, conservent pour tous les arrêts reconnus par la sécurité sociale comme directement liés à l’accident du travail ou à la maladie professionnelle, l’intégralité de leur rémunération dans la limite de 2 ans, et qu’il ont demandé de porter cette limite à 4 ans.
Il paraît que, en cas d’incapacité permanente ou partielle – telle qu’elle est reconnue par la sécurité sociale – le journaliste a droit à une PRIORITE DE RECLASSEMENT dans une fonction compatible avec son état physique, avec maintien de tous ses droits (y compris la déduction fiscale), notamment en matière de salaire.
Il paraît que, à compter de la date de leur engagement, les journalistes atteints d’une affection de longue durée reconnue par la sécurité sociale entraînant momentanément une incapacité totale d’exercer leur fonction, conservent pendant les trois premières années l’intégralité de leur salaire et les avantages fiscaux, et qu’ils ont demandé à François HOLLANDE de porter cette durée à 5 ans.
En France tous les salariés sont exonérés de 10 % sur les revenus : les journalistes, eux, sont exonérés depuis 1934 d’une réduction supplémentaire de 30 % (avec un plafond) qui s’additionne aux 10 %.
A quand la transparence, pour qu’on ne dise plus « il paraît… » mais qu’on sache vraiment ? Et pourquoi Jean-Michel Apathie et Michel Denisot ont-il refusé de donner leur salaire ? Mon salaire « …je le mérite… », dit Apathie : eh bien, alors, il n’y a aucune honte à le dire…
combien de journalistes pourraient vivre sans les banques qui possèdent leurs journaux ou leur chaîne. l’aide de l’Etat . sans compter leur capacité à sévir dans plusieurs journaux ou média.
les avantages fiscaux qu’Hollande à rétabli. Souvent ils se plagient. s’invitent sur telle ou telle chaine moyennant fiance.
Okhrent il y a 20 ans 30 000 € sur une télé par mois plus un édito à Paris Match et encore une sais je pas tout.
Aucun traitement n’est immérité s’il est au mérite !! Et c’est bien là que le bât blesse. Apathie, ce nom deviendra une insulte !
A quoi s’ajoute une convention collective qui achète les consciences au bénéfice de la bienpensance régnante, pour au final faire livrer la désinformation par une caste de médiateurs minables qui vont être balayés par l’ouragan Internet.
De temps en temps il en est un qui s’échappe, de honte.