(Les deux articles suivants occupent la quasi totalité de la page 3 de l’édition du mercredi 20 novembre)
La situation que décrit ici, une fois de plus, « La Provence » – journal peu suspect de royalisme ou d’être noyauté par des royalistes… – est littéralement intolérable; aucun Etat normal, aucun Etat digne de ce nom ne peut accepter sur son territoire des zones interdites comme celles qu’on nous décrit ici : de quel droit un petit apprenti caïd de 14 ans ou à peine plus se permet-il de demander, à qui que ce soit, « T’es qui, tu vas où, pour quoi faire ? ». Et pourtant c’est le quotidien de plus de 1.500 « zones de non-droit », à Marseille et dans toute la France, aux quatre coins de l’hexagone, comme l’a dit un jour l’un de ces ignares qui nous servent de journalistes.
Face à une telle situation, il n’y a plus de remède(s) à apporter : il faut trancher dans le vif. Il faut déchoir de la nationalité française, et les expulser, tous ces malfrats qui sont venus s’emparer, par la faute et avec la complicté du Pays légal et du Système, de portions entières de NOTRE pays. Puis il faut détruire ces Cités criminogènes, et rebâtir en lieu et place un habitat traditionnel, « à visage humain », conforme à l’esthétique du terroir.
Voilà du travail pour au moins 50 ans pour le BTP : enfin, une bonne nouvelle ! car, c’est bien connu, quand le bâtiment va, tout va !…
comme vous avez raison !!!!