4 commentaires pour “Les Tweets du jour…”
Les commentaires sont fermés.
Le quotidien royaliste sur la toile
Baisser encore les crédits militaires serait une folie pure: il faut au contraire les faire passer à 4% du PIB
L’Armée, c’est du travail et des emplois, un savoir-faire technologique irremplaçable, notre indépendance et notre place dans le monde
Dépenser pour l’Armée c’est faire tourner l’économie française, faire travailler nos entreprises, ouvriers, ingénieurs, chercheurs :
Dépenses militaires = un des meilleurs usages de l’argent public, leurs retombées/retour sur investissement assurent avenir/progrès/sécurité
dernière minute :
Le Drian a sauvé l’essentiel: le budget militaire reste insuffisant mais le pire est pour l’instant évité. Bien joué, mais affaire à suivre
Les commentaires sont fermés.
EXPLOREZ LES TRÉSORS DU CINÉMA…
__________________________________
Une collection de vidéos dont un grand nombre exclusives réalisées par l’Union Royaliste Provençale. © URP/JSF – Reproduction autorisée à condition de citer la source.
Chaîne YouTube Je Suis Français. Pour une plus large audience. (Création récente)
_____________________________________
Retrouvez ici..
Et aussi…
Appel aux lecteurs de Je Suis Français : Pour la sauvegarde du patrimoine matériel de l’Action Française !
Participez à l’opération nationale de sauvegarde du patrimoine historique de l’Action Française, lancée par le Secrétariat Général du Mouvement. Tous documents ou objets divers nous intéressent : photos, films, livres, journaux, correspondance, insignes, drapeaux etc. Ecrire à Michel Franceschetti : chetti133@sfr.fr .
Etudes, séries, dossiers regroupés pour être en permanence disponibles et directement consultables © JSF – Peut être repris à condition de citer la source Pour y accéder, cliquez sur l’image.
Quatre livres fondamentaux de Charles Maurras réédités par B2M, Belle-de-Mai éditions
Enquête sur la monarchie. (Édition de 1925), 39 €, 836 p.
Le manifeste royaliste en ouverture du XXe siècle ! (Parution courant 1900). Maurras y pose la célèbre question : « Oui ou non, l’instauration d’une monarchie héréditaire, antiparlementaire traditionnelle et décentralisée est-elle de salut public ? » !
L’Avenir de l’intelligence, 25 €, 244 p.
Une étude de l’histoire politique et intellectuelle du XVIe au XXe siècle, où Maurras à montre comment les intellectuels et artistes attachés à produire des œuvres de l’esprit sont passés « de l’autorité des princes de notre Sang sous celle des marchands d’Or », les immenses fortunes industrielles et bancaires qui limitent la liberté de l’esprit. Maurras en appelle à une alliance entre les intellectuels et le patriotisme des Français pour renverser cette mécanique.
Kiel et Tanger, 29 €, 428 p.
Maurras y constate la tragique infériorité du régime républicain en matière de politique internationale, spécialement face à la menace allemande de l’époque. Prévoyant la guerre à venir il conclut à la nécessité de remettre un roi à la tête du pays. Prolongeant le réalisme de la pratique capétienne des relations internationales, ancêtre de la pensée géostratégique française.
La Démocratie religieuse, 31 €, 620 p.
Parution en 1921, compilant trois textes préalablement écrits par Charles Maurras : Le Dilemme de Marc Sangnier (1906) – – La politique religieuse (1912) – – L’Action française et la religion catholique (1914). Cet ouvrage voit dans la démocratie une religion nouvelle qui vide le politique de sa puissance.
Et aussi…
Henri Massis, Georges Bernanos, Maurras et l’Action française, présentation de Gérard Pol, 18 €, 104 p.
Léon Bloy, Le salut par les juifs, avant-propos de Laurent James, 20 €, 156 p.
Commandes et renseignements : B2M, Belle-de-Mai éditions – commande.b2m_edition@laposte.net
* Frais de port inclus
Dépenses militaires : un gâchis inimaginable, de l’argent fichu en l’air pour rien (force de frappe) ou pour des objectifs ridicules (chars Leclerc, conçus pour une attaque du défunt ‘Bloc de l’Est »).
Que fichent les soldats au Kosovo, en Afghanistan, en Centrafrique, supplétifs de l’impérialisme bancaire et des billevesées étasuniennes ?
Le vrai combat est à la porte des Cités peuplées de bandes ethniques, dans la lutte contre les trafics et les violences en FRANCE, pas ailleurs…
Il n’y a rien de surprenant que, désormais, la « botte » de Saint-Cyr choisisse la Gendarmerie. Les meilleurs de nos soldats choisissent désormais le vrai front…
Mon cher Pierre, je suis globalement de ton avis sur le rôle de supplétif de l’impérialisme américain que notre armée joue ici ou là. Par contre,la force de frappe doit être préservée comme arme de dissuasion (mais aurons-nous la force de caractère de nous en servir le moment venu?).
Quant à « l’ennemi intérieur », c’est une simple affaire de volonté politique. Les moyens de police et de gendarmerie sont suffisant, encore faut-il leurs donner les bonnes instructions et les couvrir dans l’exécution de leurs missions, ce qui est loin d’être le cas.
Le « vrai front » n’est pas qu’à la porte de nos cités, mais plutôt en territoire germanopratin, où sévit depuis trop longtemps la ploutocratie médiatico/politique qui nous gouverne.
Plus d’accord avec Thulé qu’avec M. Pierre Builly.
L’afghanistan, le Kosovo, le Mali et la Centrafrique, on ne peut pas les mettre dans le même sac. Et la force de frappe est à conserver même si elle n’a pas d’objectif immédiat.
Cédric
Sur la simple question de la dissuasion nucléaire : j’ai été bouleversé de bonheur lorsque le Général, en février 1960, a poussé son « Hourra pour la France » en annonçant que la France venait de réussir, quatrième puissance au monde, son premier essai nucléaire.
Et alors que les milieux réactionnaires se gaussaient de ce qu’ils appelaient avec mépris « la bombinette », ne pensant trouver de secours que sous la parapluie de leurs « alliés » étasuniens, j’ai été de longue date supporteur acharné de la « Force de frappe », de la dissuasion dite « Du faible au fort », de la « Sanctuarisation du territoire national » et, d’une façon générale, des thèses du général Pierre Gallois.
Mais le monde a changé, non ?
Il y a quatre ou cinq ans, une tribune dans « Le Monde » du général d’Armée aérienne Bernard Norlain, ancien chef du Cabinet militaire du Président de la République, ancien Directeur de l’Institut des Hautes Études de la Défense Nationale (IHEDN), Président de la « Revue de Défense nationale » (en gros, un mec qui sait de quoi il cause) m’a ouvert les yeux.
Qui est l’ennemi ? pourquoi nous réfugions-nous derrière une sorte de ligne Maginot composée de nos SNLE ?
Qui va nous attaquer ? L’Inde ? La Chine ? Le Brésil ? La Russie ?
Soyons sérieux et mettons nos sous où ils doivent être mis : espionnage, contre-espionnage, Renseignement, protection de nos intérêts économiques, protection de nos centres vitaux (si facilement destructibles par une attaque terroriste).
Le Chassepot a fait merveille… en son temps. Dieu merci nous n’avons pas eu à faire appel à notre force nucléaire. Mais qu’en doit-on faire aujourd’hui ?
Quant aux Opérations extérieures… Quand cesserons-nous de penser que l’Afrique est notre arrière-cour, aux grands bénéfices de MM. Bolloré et Louis-Dreyfus ?