1. Le Système fait vivre la France sur un volcan : nous le disons régulièrement dans ces colonnes, à temps et à contre-temps, en posant toujours la même question : combien sont-ils, après des décennies d’une immigration insensée et la braderie permanente de la nationalité française, imprudemment accordée à des masses de gens toujours aussi nombreuses, ces « jeunes » radicalisés, terroristes « dormants » pour l’instant mais prêts à passer à l’acte à tous moments ? La réponse est facile à donner : ils sont des dizaines, des centaines, voire des milliers et peut-être des dizaines de milliers le moment venu, l’effet d’entraînement jouant alors à plein.
François Hollande admet le chiffre de 700 « français » (!) partis djihader en Syrie. Le juge Trévidic déclare, lui, qu’il y a « des dizaines de Mohammed Mehra potentiels ». La quasi certitude est que, chez ces « français légaux », français « de plastique » mais non « de coeur et d’esprit », la contagion et l’excitation aidant, c’est par milliers, voire par dizaine de milliers, qu’il faut compter. Nous ne jouons pas à faire peur, ni à nous faire peur : libre à ceux qui préfèrent, tels les autruches, enfoncer leur cou le plus profondément possible dans la terre; nous préférons, nous, voir la réalité en face : les 1.500 zones de non-droit et/ou dangereuses (chiffre lui-même sous-évalué…) recensées sur toute la France par les services de sécurité regorgent d’assassins potentiels et de terroristes faciles à recruter. Ces zones, où circulent de nombreux « jeunes » – français « de plastique » par la grâce du Système – passés souvent par la case prison, où ils ont été « radicalisés », sont autant de poudrières prêtes à sauter à tout moment…
2. Ce premier rappel étant fait, passons au second, qui s’impose, lui aussi : pour ce qui est de Mehdi Nemmouche, l’assassin « présumé » de Bruxelles – selon la terminologie d’usage… – on aura de nouveau apprécié le scandaleux comportement de trop de nos journalistes, dans les rangs desquels se trouvent de très nombreux bobos/gauchos/trotskos, qui confondent carte de presse et carte de parti…
Dès que l’on a appris les quatre assassinats de Bruxelles, « on » nous a dit que, bien évidemment, « la piste d’extrême-droite » n’était pas à exclure. Et d’une. Puis, lorsqu’on a appris, dimanche matin, que le tueur était arrêté, « on » nous a claironné, presque joyeusement pour certains et certaines, qu’il était « français ». Si les télés permanentes (BFM et i-Télé) d’abord, les grandes chaînes ensuite, ne l’ont pas dit mille fois, qu’il était « français », c’est qu’elles l’ont dit deux mille fois…
Et, puis, et puis…, il a bien fallu se rendre à l’évidence. « On » a d’abord publié la photo (voir plus haut) qui ne laissait guère de doute; mais il a fallu attendre, ce dimanche, jusqu’à 15 heures – sur BFM, par exemple – le point presse du procureur pour qu’on ait, enfin, le non de ce bon français, lâche assassin qui partait probablement, son forfait accompli, se réfugier chez lui, en Algérie : Mehdi Nemmouche…
Ca, c’est du bon travail de jounaleux bobo/gaucho/trotsko ! De la bonne vieille langue de bois, et du bon petit politiquement correct, à vomir…
Sans compter le long temps de parole – renouvelé – donné à l’avocate du pauvre chou, qui n’a pas tari d’éloges sur lui, sur sa « gentiilesse » (sic ! les victimes apprécieront…), sur son « intelligence » (re sic ! comme dit Zemmour, « …avec vous, la banlieue c’est Normale-Sup !… »), sur le fait que ses passages répétés en prison n’ont rien arrangé (comme dirait Molière : « le pauvre homme ! »…) et autres insanités du même acabit.
On le savait, mais on vient d’en avoir encore un lamentable exemple : il y a bien quelque chose de pourri dans notre « paysage audio visuel », comme disent les jargonautes…
Quant à la sécurité nationale, et pour terminer par ce sujet : aux grands maux, les grands remèdes ! Le Système ayant truffé le territoire de terroristes en puissance, il faut, maintenant, déminer le dit territoire. Cela ne peut passer que par un changement de politique et par un changement de lois.
* Changer de politique, c’est-à-dire cesser de faire entrer en France, chaque année, 200.000 personnes, venant en majorité d’Afrique du Nord ou sub-saharienne. De toute évidence, depuis les calamiteux « décrets Chirac » sur le regroupement familial, l »entrée massive et continue de populations par trop différentes de nous a formé, sur tout le territoire national, un terreau favorable, un vivier naturel pourrait-on dire, au radicalisme islamiste; il faut arrêter ces flots de nouveaux-venus inassimilables, et engager, au contraire, une action ferme de retour dans leur pays d’origine de ceux qui n’ont rien à faire chez nous… Facile à dire, mais ce sera plus difficile à faire : le Système a créé, là, à la France, qui ne manque déjà pas de grosses difficultés, un très gros problème supplémentaire…
* Et puis, aussi et surtout, changer de lois, c’est-à-dire nous doter de l’arsenal législatif qui permettra la déchéance massive de nationalité et l’expulsion immédiate du territoire de toute personne qui, de près ou de loin, sera mêlée, de quelque manière que ce soit, à quelque acte de terrorisme ou de délinquance que ce soit.
Il y en a qui ne voudraient pas de cela ? Soit, mais, alors, qu’ils ne viennent pas se lamenter, demain, si… et quand…
Tout à fait d’accord avec la proposition de déchoir de la nationalité française avec expulsion immédiate les coupables de délits ainsi que je l’ai écrit à M. Tahar Ben Jelloun. Pour les crimes selon la qualification pénale, il convient d’apprécier si l’expulsion doit intervenir à la fin de la peine prononcée.
Je viens de passer quelques jours en Finlande où la population n’accepte les émigrants même européens que dans le cadre de relations professionnelles ou officielles. Et pourtant deux jeunes français qui y travaillent depuis quelque temps m’ont indiqué qu’ils ne reviendraient pas en France…
La première des lois à instaurer : la suppression du droit du sol… cela me paraît une priorité absolue.
Me hasarderai-je à dire, au risque de choquer, que les personnalités juives, présentes en grand nombre dans les médias et parmi la classe politique, qui ont professé et continuent de professer un immigrationnisme sans faille, devraient maintenant regretter amèrement leurs paroles, leurs écrits et leurs actes, au vu de tels évènements.
Mais Jean-Pierre Elkabbach lève encore les yeux au ciel en signe de mépris à la seule évocation d’un début de critique de l’immigration telle qu’elle s’opère, en France. Et nombre de ses pareils avec lui.