Le magazine italien Oggi vient de publier sur son site internet un reportage photographique réalisé chez le duc et la duchesse de Vendôme à la suite de la naissance de la princesse Louise-Marguerite d’Orléans. Dans ce reportage on découvre S.A.R. le prince Jean de France et son épouse la princesse Philomena au sein du Domaine Royal de Dreux avec leurs trois enfants, le prince Gaston, la princesse Antoinette et la princesse Louise-Marguerite d’Orléans. (Copyright photos : Oggi)
Alors que la France s’enfonce un peu plus chaque jour dans une crise – profonde et multiple – dont les effets poussent de plus en plus les Français à désesperer de leur avenir, la famille royale de France représente, par delà les images, la stabilité et la pérennité de la Nation et son possible recours. Avec la Famille de France, c’est tout le peuple français, dans son ensemble, qui replonge au coeur de ses racines, dans lesquelles il peut trouver la force de poursuivre l’aventure et d’affronter les périls qui l’assaillent.
Source : la-couronne
Ah non s il vous plait. Vous vous oeuvrer pour la France ou pour les Orléans. Ce prince est d’un fade à pleurer. On en a assez déjà avec Hollande. Vivre le prince Louis de Bourbon. Vive la France
Ah, non, s’il vous plaît ? Vous sortez d’où, vous ? Si vous n’avez pas compris que ce blog soutient la Famille de France c’est que vous êtes plutôt nul. Si vous êtes partisan de votre hispano-vénézuélien, allez sur les blogs spécialisés s’il y en a. Quant à défendre la France, parmi les royalistes, les seuls actifs et compétents ce sont ceux de l’AF. Le reste, c’est folklo, salon et naphtaline.
Avouez, cher Cédric, qu’on aurait aimé voir la maison d’Orléans aux célébrations du huitième centenaire de la bataille de Bouvines. Les annales voient cette bataille comme la fondation d’une nation française (du moins dans les deux tiers nord du pays) ce qui aurait mérité plus d’attention du parti nationaliste AF, non ? Il y avait un monde fou. La prochaine fois c’est 2114 !
La République ‘catalane’ n’ayant délégué in extremis qu’un sous-préfet, seule la maison de Bourbon, son chef et ses instituts représentaient à Bouvines les « autorités morales » ; ce dont personne ne s’est plaint.
Les absents ont tort, toujours.