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Avec la Restauration Nationale et le blog Le Rouge & le Noir, Lafautearousseau est partenaire de l’important colloque dont le détail est donné ci-dessus. Nous engageons donc vivement nos lecteurs et amis à s’y inscrire, à y participer, à s’y retrouver. Lafautearousseau a été précisément créé pour poser, au jour le jour et au prisme de l’actualité, la question même du régime. C’est tout justement l’objet de ce colloque qui sera donc, aussi, pour nous tous un acte militant. Comment, en effet, ne poserions-nous pas, aujourd’hui, publiquement, dans la terrible crise des institutions politiques que traverse la France, la question du régime ? ♦
Pour ceux qui ne pourraient pas assister à ce colloque, des actes ou publications seront-ils produits ?
En guise d’introduction, quelqu’un (je pense en particulier à Frédéric Rouvillois) pourrait-il faire un rappel de la déclaration de St Ouen de Louis XVIII, dont l’année 2014, marque le Bicentenaire de la naissance
d’un nouveau régime constitutionnel, alliant à la fois la naissance du parlementarisme en France, la place d’une autorité royale garante de la souveraineté de l’Etat et la prise en compte des acquis de la révolution française ?
Ceci afin de placer le débat à la fois dans une perspective et une rétrospective historique.
Politique magazine indique que des actes seront publiés.
S’agissant de votre suggestion, nous transmettons aux organisateurs du colloque. Cordialement.
A tout hasard …
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Ces trois articles sur la même ligne du site Bvoltaire, témoignage de la rupture épistémologique en cours sur Internet et signe d’espérance pour le salut de la France ?
http://cril17.info/
Merci à tous . Votre travail , votre courage seront récompensés ; les roues sont entrain de tourner en votre faveur. Vous êtes appréciés , même si pas toujours compris . Je vous joindrai , pour le » Club Vauban » , l’aprés-midi . Amitiés à tous.
Marie – Louise Dujol
Merci, Madame, de votre sympathie.
J’ai pu assister à ce Colloque : c’est peu de dire qu’il fut très réussi et particulièrement intéressant; par moment, même, au-delà de la bonne qualité, on a atteint l’excellence (exemple : la très remarquable intervention, de Fabrice Hadjadj…); à part une communication, j’ai tout trouvé d’un très bon niveau (Rouvillois, Donnier, Chalvidan, Sévillia, Reloujac, Tisserand, Trémolet…). J’ai vu une caméra : j’espère que vous nous donnerez une ou des vidéos de ce moment de haute tenue ?…
lafautearousseau a eu le nez creux en acceptant de seconder et de relayer les efforts des organisateurs du Colloque du Cercle Vauban. Ce Colloque n’a pas été « un bon Colloque » mais, par moment, un Colloque d’exception : comme j’aurais regretté d’avoir manqué l’intervention de Fabrice Hadjadj ! A elle seule – mais, justement, elle ne fut pas seule… – elle eût justifié, et plus que très largement, les petits désagréments que représente toujours, pour nous qui sommes loin, une « montée » à Paris. On ne peut que repartir enthousiasmé d’une telle journée. En plus, nous avons pu retrouver des amis d’un peu partout (Bretons, Lorrains, Languedociens, Lyonnais…) : j’aurais aimé en retrouver certains autres, qui n’étaient pas là, dommage…(surtout pour eux !).
J’ai pu m’entretenir avec les deux techniciens de l’enregistrement : tout est bien « mis en boîte », du premier mot au dernier. Cela nous promet de belles et bonnes vidéos dans les jours prochains…
Claude Wallaert a été bien clair : ce ne sera pas un feu de paille, un « acte » isolé : d’autres Colloques suivront. Comme après chaque bon épisode d’un bon feuilleton, on ne peut que se dire : vivement la suite, vivement le prochain !…
Bravo aux organisateurs de cette journée où tout fut réussi (même le Buffet, ce qui est rare…). Et, bien sûr, pour les prochaines, lafautearousseau sera là pour relayer et amplifier, dans le mesure de ses moyens, les bons efforts mis au service de la bonne Cause…
Je voudrais juste revenir, pour y insister, sur cette sorte de « moment de grâce » que fut l’intervention de Fabrice Hadjadj : adéquation totale entre l’extrême sérénité (je dirai même, douceur) de l’intervenant et l’extrême profondeur (ou hauteur, comme on voudra) de son propos…
Mon père a été tué dans les Ardennes en défendant la liberté que nous abandonnons lâchement. J’aimerai que les beaux discours prennent une réalité palpable. Evitons de palabrer comme les aristocrates républicains de droite comme de gauche. Personne d’autre que le royaume de France ne pourra redonner au pays son indépendance face à cette idéologie de l’universalité des hommes et des choses. Gaulois, Celtes du fond de vos provinces, il est venu le temps de s’instruire des vérités historiques, de s’affirmer, de s’exprimer, de résister.