Malgré tous les efforts encore déployés, « l’effet Charlie » est aujourd’hui largement retombé. Et nous avons tout lieu de nous féliciter de n’avoir pas été de ceux qui au lendemain de la tuerie du 7 janvier, sous le coup de l’événement et de l’émotion, se sont dits Charlie. Au matin du 8 janvier, alors que les opérations de police étaient en cours, que les terroristes courraient toujours, que l’on ignorait comment l’affaire se terminerait, nous avons pris la position inverse, nous avons refusé de nous dire Charlie. Nous étions, alors, presque les seuls … Mais nombreux sont ceux qui ont rapidement compris que ce slogan – comme quelques autres qui allaient suivre – était une sorte de piège immédiatement imaginé par les hommes du Système pour canaliser, détourner la réaction nationale et populaire qui eût été la suite normale de ces événements. Dans de nombreux cas, les positions se sont progressivement modifiées . « L’esprit du 11 janvier » a été été rapidement rattrapé par les jeux politiciens. Le soufflé des sondages à la hausse pour Hollande et Valls est vite retombé. Deux mois après, voici ce que nous écrivions au matin du 8 janvier. Nous n’avons rien à y changer. Lafautearousseau
Quand on laisse entrer chez soi, en un laps de temps relativement court, des millions d’immigrés venus d’un autre continent, nés d’une civilisation radicalement différente, guidés par les mirages d’un niveau de vie que leur misère originelle rend terriblement attrayants et qui n’ont que peu de sens et de respect de ce que sont les mœurs, les lois, les traditions du pays où ils arrivent, quand on en a soi-même largement perdu l’amour et la pratique, il n’ya pas de quoi être étonnés des troubles et des violences qui se produisent inéluctablement. C’est la première réflexion qui nous vient à l’esprit après les évènements tragiques d’hier, à Paris. Il y a longtemps, ici, en effet, que nous mettons en garde contre la politique d’immigration de la France, devenue plus périlleuse encore du fait de la crise économique et du laxisme de nos gouvernants. Du fait, aussi, d’un certain nombre de nos erreurs – de graves erreurs – en matière de politique étrangère. Il y a longtemps que nous signalons à quel point notre République vit sur une poudrière et qu’il peut arriver un temps où le travail de nos services de sécurité ne suffira plus à empêcher la multiplication des violences et des attentats. Ce temps est peut-être arrivé et il ne faut pas manquer d’en rechercher les causes, d’en marquer les responsabilités. Certes, tous les musulmans de France ne sont pas des terroristes. Loin de là. Nombre d’entre eux sont probablement en voie d’intégration. Et le réalisme devrait conduire, si nous en sommes capables, à les y aider, à les y encourager. Mais les risques de l’immigration massive demeurent ; elle est un terreau porteur de terribles dangers. Et, en tout cas, tous les terroristes qui menacent aujourd’hui la France le font au nom de l’Islam.
Notre seconde remarque est que la société de la liberté, de l’insolence et de l’irrespect que l’on nous prêche inlassablement depuis hier – mais liberté, insolence et irrespect factices et convenus qui cachent en réalité un profond conformisme et sont à sens unique – comporte en soi-même les germes de la dissolution et de la violence. Les médias, la pensée unique, ont immédiatement forgé, imposé le slogan « Nous sommes tous Charlie » et posé la « liberté d’expression » comme un absolu. Nous regrettons de dire que nous ne sommes pas de cet avis. Aucune liberté ne doit se considérer comme un absolu. Y compris la liberté d’expression, notamment celle de la presse qui ne devrait pas pouvoir manquer de s’imposer la règle, l’éthique, la déontologie qui donne à toute liberté sa définition et sa justification. C’est ce que Charlie Hebdo ne reconnaissait pas, ne s’imposait pas. L’on ne moque pas, selon nous, qui plus est de façon triviale, ce qui pour des milliards d’hommes, à tort ou à raison, constitue depuis des siècles des figures sacrées. Ainsi en est-il des figures de l’Islam, comme de celles du Christianisme. Les morts sont naturellement à regretter, leurs familles à plaindre. Mais – au risque de choquer – le coup porté à Charlie Hebdo ne nous paraît pas une perte de substance pour la France.
Nous ne sommes donc pas Charlie. Matteo Renzi, apportant le soutien de l’Italie, vient de déclarer : « On est tous la France ». C’est ce que, dans ces circonstances, il convient seul de dire et de penser. •
C’est avec un curieux plaisir que l’on perçoit, que tout d’un coup les élites de France trouvent les mots pour exprimer la pensée non dite de la majorité des ploucs de la France des régions. Cette population qui observe en silence la lente dégradation de son pays, n’était pas avec le slogan à Paris; et la majorité attend un changement. Ne faites pas les étonnés quant on nous annonce, ce qui n’est encore qu’une intention de vote, que les gens vont s’exprimer pour un changement de gestion. La masse populaire souffre quant les élites papillonnent, et la liberté n’a plus de sens. Les élites du pouvoir essaient de parler vrai, mensonge il ne font que plagier le parti qu’ils combattent. Signe que le changement se précise. Alors qui va arrêter la dérive, avec ou sans slogan. La démocratie issue de notre culture chrétienne doit s’imposer à nouveau, si nous voulons sortir le pays de l’ornière dans laquelle elle s’enfonce ; et ce pour le bien de nos enfants. Pour finir, l’islam n’a jamais été une religion de France et sa radicalité s’oppose a son installation, sauf si les Gaulois renient leur intelligence, la aussi le peuple l’a très bien compris , mais pas nos élites qui rêvent d’un citoyen universel esclave. Ils ont tord, les petites gens n’ont pas oublié les méthodes de Lénine qui cette fois sont appliqués par superpositions de populations.