Abou Bakr Al-Baghdadi, le « calife » de Daech face à Bachar El Assad
L’attitude des « occidentaux » d’aujourd’hui ressemble trait pour trait à celle des « démocraties » lorsque Hitler commença à menacer l’Autriche, s’appuyant sur les SA de Seyss-Inquart. A l’époque, l’Autriche était dirigée par le chancelier Dollfuss, qui fut assassiné par les hitlériens, et remplacé par le chancelier Schussnigg. Ils demandèrent de l’aide contre l’invasion qui se préparait ; mais la France et l’Angleterre la lui refusèrent obstinément. Pourquoi ? Parce que ces deux gouvernants représentaient une tendance de la droite monarchiste et corporatiste. La troupe sur laquelle ils s’appuyaient était la Heimwehr, dirigée par le prince de Starhemberg. C’est ainsi que Léon Blum ne manqua pas de déclarer, dans un texte bien enseveli aujourd’hui, que le national socialiste valait mieux que la dictature réactionnaire et cléricale. Les « démocraties » ont payé leur aveuglement idéologique. Mais bien plus encore les peuples qui avaient le malheur d’être dirigées par elles. Elles n’ont rien appris depuis. On ne peut même pas dire qu’elles ont tout oublié car elles n’ont pas de mémoire. •
lundi 25 mai 2015
(Commentaires de Lafautearousseau)
David Gattegno sur Mathieu Bock-Côté : « Devant le…
“Il suffit de lire Jacques Bainville («Les Conséquences politiques de la paix») pour corriger tous les…”