Nous avons peu de choses à ajouter à l’excellent reportage qui suit. Si ce n’est que la journée à laquelle invitait la princesse Philomena pour fêter les cinquante ans du prince Jean a été, en effet, pour l’ensemble des participants, une journée heureuse et même joyeuse comme il est dit dans ce reportage. L’extrême gentillesse, l’attention, l’amitié chaleureuse avec lesquelles les Princes ont reçu leurs invités, y ont été pour beaucoup. Il nous est seulement possible de les en remercier. LFAR
Le prince Jean de France, Duc de Vendôme a célébré son cinquantième anniversaire en présence de sa famille, sa mère la Duchesse de Montpensier, ses quatre frères et sœurs : la princesse Marie accompagnée de son époux le prince Gundakar de Liechtenstein et leurs filles aînées les princesses Leopoldine et Maria-Immaculata de Liechtenstein, le prince François, Comte de Clermont, la princesse Blanche et le prince Eudes, Duc d’Angoulême venu avec la princesse Marie-Liesse et leurs enfants, la princesse Thérèse et le prince Pierre. Le prince Jean avait placé cette fête sous le signe de l’amitié et de la fidélité puisque les amis et les proches du Prince étaient également conviés à participer à cette fête particulièrement joyeuse.
Après la messe célébrée en l’église Saint Pierre de Dreux, les invités de la Duchesse de Vendôme sont conviés au Domaine Royal pour une réception dans le parc. A la sortie de la messe, les invités sont témoins d’un geste touchant de la part des « Monarchs de Dreux », l’équipe de football américain de la ville qui se s’est déplacée pour faire une Haie d’Honneur au Duc et à la Duchesse de Vendôme à la porte de l’église sous les applaudissements des invités et des paroissiens ébahis. On reconnaît au centre, parmi les invités, l’archiduc Rudolf d’Autriche coiffé d’un chapeau de paille.
Lors du cocktail le Duc d’Angoulême converse avec le prince Guillaume et la princesse Sibilla de Luxembourg, amis proches du Duc et de la Duchesse de Vendôme.
Les enfants du Duc d’Angoulême, le prince Pierre et la princesse Thérèse d’Orléans conversent avec un cousin, Maurice de Rambuteau.
Le prince Gaston et la princesse Antoinette sont ravis de souffler sur les bougies du gâteau d’anniversaire, un délicieux vacherin aux armes du prince Jean.
Après avoir soufflé ses 50 bougies, le Duc de Vendôme, ici au côté de la princesse Philomena et des princesses Antoinette et Louise-Marguerite, découvre le cadeau de ses amis : un superbe fusil de chasse fabriqué sur mesure et gravé à ses armes. Le prince Jean, chasseur émérite, est ému et heureux par ce cadeau qui lui va droit au cœur.
Le Duc de Vendôme remercie chaleureusement sa famille et ses amis pour leur présence, leurs attentions et pour les cadeaux qui s’accumulent au coté du fusil de chasse.
Venus de Bordeaux pour l’occasion, le Duc et la Duchesse d’Angoulême posent dans le parc de Dreux avec la princesse Thérèse âgée de 14 ans et le prince Pierre, filleul du Duc de Vendôme, qui va célébrer ses 12 ans le 6 août prochain.
Dans le parc de Dreux, la princesse Leopoldine de Liechtenstein se repose au côté du prince François de France, de la princesse Blanche de France et du prince Pierre d’Orléans.
Le Duc et la Duchesse d’Angoulême et Stéphane Bern, qui revenait du Prix Eurovision spécialement pour féliciter le Duc de Vendôme, sourient lors du discours humoristique d’un prince Jean heureux et particulièrement en forme en cette journée anniversaire. Vers 18 h 30, les invités prennent congé des princes avec regret après avoir bu une dernière coupe de champagne en l’honneur du prince Jean.
Source : Noblesse et Royautés
Oui. Et de façon toute particulière lorsqu’il s’agit de la Famille de France. De fait, elle est une famille comme les autres … Parfois pire. Mais, de fait aussi, pas vraiment comme les autres. De Gaulle disait qu’elle personnifie ce qu’il y a de suprême dans notre destin. Sans-doute le ressentons-nous toujours, du moins nombre d’entre nous, lorsque nous rencontrons les Princes, lorsque nous parlons avec eux, ou pensons à eux, pourtant personnes vulnérables et fragiles comme nous tous. Parfois davantage, précisément parce qu’ils savent ce qu’ils personnifient de suprême dans notre destin et qu’ils ont à en supporter la charge. Au moins morale, pour l’instant.