Ce premier lundi d’août, nous délaisserons l’actualité, du moins celle que nous distillent radios et télés (les bouchons routiers, le rapatriement du débris du vol MH 370, etc.) pour évoquer un sujet qui concerne, en tant que tel, le royalisme français : le bien-fondé de la prétendance de Louis-Alphonse de Bourbon à la couronne de France.
La presse à grand tirage revient en effet périodiquement sur cette question, dont il faut bien supposer qu’elle doit intéresser son lectorat. Elle ne se soucie pas de rouvrir un débat souvent jugé anachronique, de raviver la querelle dynastique, ou même de donner dans le people. Elle le fait à sa façon, avec grands titres et photos de couverture où les princes posent à la manière des mannequins de mode … Néanmoins, des affirmations de fond y sont lancées et le plus souvent sans véritable rigueur historique, juridique et politique.
Nous aborderons le sujet en trois étapes, trois notes successives :
• Nous examinerons en premier lieu qui est vraiment Louis-Alphonse de Bourbon, du simple point de vue historique et factuel : d’où il vient, quelles sont ses origines, quels sont ses ancêtres, aïeuls et aïeules, à quelle terre, à quelle histoire il appartient. Au fond, cet examen revient à se demander si ce prince est français ou espagnol. Les deux ? On verra que ce ne serait pas conforme à la réalité. Louis-Alphonse de Bourbon n’est pas un prince hors-sol.
• En deuxième lieu, nous reprendrons la Lettre sur la légitimité adressée par Pierre de Meuse au Télégramme, à la suite des déclarations du prince Louis-Alphonse de Bourbon publiées sur le site du quotidien breton [30.05.2015]. Pierre de Meuse y signale un certain nombre d’erreurs qui en disent long sur le bien-fondé de la prétendance de Louis-Alphonse de Bourbon. Il y rappelle à grands traits quelles sont les conditions de la légitimité historique.
• Enfin, il nous a paru bon de publier en forme de note – la troisième et dernière sur ce sujet – le riche débat qui a suivi cette Lettre sur la légitimité de Pierre de Meuse [Du 1e au 22 juin 2015 – 31 commentaires]. On y trouvera – en tout cas dans bon nombre de commentaires – de solides références historiques. Il faut en effet une bonne connaissance de l’histoire d’Espagne – et pas seulement de l’histoire de France – pour conclure valablement sur le caractère fondé ou infondé des prétentions des princes espagnols qui n’ayant pas eu accès à la couronne d’Espagne, ont depuis lors orienté leurs ambitions vers la France.
Les récentes déclarations d’Emmanuel Macron, ministre de l’Economie, attestent que ce sujet n’est pas aussi anachronique ou dérisoire qu’on pourrait le croire – y compris parmi les royalistes. Le manque de roi y est considéré comme au centre du problème politique français actuel. Et, ne craignant pas de remonter le cours de l’Histoire, il n’hésite pas à dater ce manque de l’exécution de Louis XVI dont il se dit, de plus, persuadé que les Français ne l’ont pas voulue. •
Non-événement lancé par l’inusable Stéphane Bern qui se laisse aller dans le Figaro Magazine. On aurait cependant tort de cantonner la « mode monarchiste » dans le seul registre de l’agitation médiatique. Quand rien ne se passe, tout redevient possible. Les impostures en cascade ont fini par lasser le spectateur, qui est parti chercher ailleurs des idées neuves.
Image classique des pouvoirs finissants, qui se survivent en se nourrissant de ce qui les nie. Car ce qui achève de pourrir sous le soleil, ce sont les certitudes bétonnées nées du terrorisme de la révolution.
Très interressants articles.
Le même Stéphane Bern, au travers de sa société de production « Gotha Conseil », commercialise dans le même temps un DVD sur le mariage du Prince. (c/f : princejeandefrance.fr)
C’est ce qui s’appelle manger à tous les râteliers. Attention à l’indigestion.
A Bastet :
« Nepaparlékantonsépadekoikonkause »…
Il y a presque une vingtaine d’années, on pouvait déjà voir Stéphane Bern à la messe de commémoration de l’assassinat de Louis XVI, à la Chapelle Expiatoire, suivant avec respect et dévotion le jeune Duc d’Anjou au bras de sa grand-mère, la Duchesse d’Anjou et de Ségovie…
… Pas de journalistes, pas de caméras… simplement un homme au milieu d’autres anonymes.
Ne vous en déplaise, Louis de Bourbon est le seul prétendant légitime à la couronne de France. La justice française l’a rappelé fermement et définitivement :
http://www.viveleroy.fr/Plaidoirie-de-Jean-Foyer-defenseur,127
Au moins lui, ne s’est pas marié à la basilique de Senlis avec une femme enceinte en prétendant représenter les valeurs chrétiennes de la France.
Au moins lui, ne traîne pas comme un boulet des histoires sordides de divorces, d’héritage détourné, de potins de femme de ménage…
Au moins lui, n’usurpe pas des titres qu’il n’a pas (voir les rendus de jugement).
Enfin lui, est reçu dans tous ses déplacements, officiellement et respectueusement par les représentants de la République française qui savent bien, eux, qui est Louis, Duc d’Anjou…
Les éventuels déplacements des Orléans en France, sont toujours d’ordre privé. Même les américains font la différence :
http://www.vexilla-galliae.fr/royaute/vie-des-royalistes/949-deplacement-de-louis-xx-aux-usa
Avec les Orléans, vous vous trompez d' »Histoire »… cessons ces querelles stériles. Les temps sont graves et dangereux. Il faut un roi à la France et nous l’avons… c’est Louis XX.
Cette argumentation est trop nulle.
Votre révérence envers les représentants de la République et les Américains, on vous les laisse ! Quant aux voyages « officiels », c’est du pipo..
La Duchesse soi-disant d’anjou et de Ségovie n’est pas à citer comme exemple moral avec ses divorces et ses comcubinages.
Son fils Alphonse devait le savoir lorsqu’il était à son bras comme vois dites. Lui-même a divorcé avec fracas et les frasques de sa femme, la duchesse de Cadix,étaient la risée de tout Madrid. Elle y vit toujours une vie de scandales.
Quant au grand-père infirme, le duc de Ségovie, faut-il vous dire ce qu’a été sa pauvre vie ?
Rien de cela n’est sérieux. C’est du lamentable. Ce sont des arguments de Sainte Nitouche. A éviter absolument !
Et si on en restait au réalisme le plus élémentaire ? Le Prince Louis est évidemment, certainement, un Bourbon, mais un Bourbon de cette branche qui est « partie en Espagne » voici trois siècles (puis à Parme et Naples).; Tout fait de lui une altesse royale, certes, puisqu’il appartient à la famille de Bourbon, mais une altesse royale espagnole : la meilleure preuve en est que, si l’Histoire n’avait pas bégayée (avec son grand-père) il serait aujourd’hui roi d’Espagne, à la place de Felipe VI., Sans le savoir ou le vouloir, Le Figaro Magazine a justement parlé de « rois sans couronne » : Louis de Bourbon a « perdu » sa couronne, du temps de son grand-père : la couronne d’Espagne. Est-ce qu’on nous dirait, alors, que ce sont Juan Carlos et Felipe VI les vrais prétendants au trône de France ? Soyons sérieux : l’ensemble de la famille des Bourbons d’Espagne est en Espagne, et les Bourbons de France sont en France…
Mon argumentation n’est pas plus nulle que votre réponse.
Mon argumentation n’en est pas une.
J’énonce des faits et, ce faisant, n’insulte personne au contraire de vous.
Je n’ai aucune » révérence envers les représentants de la République et les Américains « mais pour la république, c’est le régime dans lequel nous vivons, avec ses lois. Et les lois de la république française ont dit le droit…. même si cela vous embête.
Quant aux américains (de Louisiane), ils connaissent mieux l’Histoire de France que vous, apparemment.
L’insulte, c’est la seule réponse de ceux qui n’ont pas d’arguments…
Et puisque vous êtes si au fait des choses, pouvez-vous nous expliquer pourquoi « on » s’attaque physiquement à ces Bourbons là et pas aux autres ?
La réponse est dans la question…
L’argument orléaniste des renonciations d’Utrecht, par Guy AUGÉ :
http://www.viveleroy.fr/IMG/article_PDF/L-argument-orlaniste-des_a145.pdf
Je vous souhaite bien sincèrement, une bonne lecture.
Les renonciations d’Utrecht ne sont ni le seul ni peut-être l’élément déterminant pour exclure les Bourbons d’Espagne de la succession en France. Les traités et les serments, on les dénonce. C’est le bon sens politique qui prime. La raison décisive est celle que vient de donner Academos: Les Bourbons d’Espagne ont fait souche en Espagne. Ils ont eu trois siècles pour cela. Dix générations de Bourbons d’Espagne y ont leur sépulture (à l’Escorial). Ils sont devenus, selon la reommandation de Louis XIV au nouveau roi Philippe V d’Espagne, « de bons Espagnols ». Ils ne sont plus princes de France. Ce qui suffit à les exclure.
A Tite,
Je vous suggère de lire (ou relire) quelques ouvrages de Charles Maurras, notamment « Enquête sur la Monarchie », pour clarifier vos idées sur le choix du prétendant au trône de France
Quant à Stéphane Bern, ne lui donnons pas l’importance qu’il n’a pas. C’est un amuseur public, un bateleur d’estrade, bref l’idiot utile à notre cause.
Moi, je n’exclus aucun des deux princes. Connaître l’histoire, le passé de chacun de ces princes, de leurs familles est important, d’accord. Cette connaissance peut fournir des arguments à entendre…Mais c’est l’avenir à construire qui importe davantage. Proposons une démocratie royale sans nous opposer surtout à l’aide d’insultes sur les héritiers. Lorsque la question Monarchie ou République se posera au peuple français: c’est lui et lui seul qui décidera.. Hugues NOEL
On se demande pourquoi ces braves gens partisans de l’Espagnol (qui baragouine à peine la langue française : je l’ai approché il y a quatre ou cinq ans… il est vrai qu’il a peut-être fait des progrès depuis lors), pourquoi ces braves gens, si soucieux de « légitimité » (dont le peuple français se contrefiche) ne vont pas chercher leur icône chez les Mérovingiens ou les Carolingiens dont il doit bien subsister un descendant aussi.
Le Roi, ce n’est pas un vitrail de cathédrale qu’on regarde en pleurnichant, mais un chef qui mène une Nation… ou alors on se réfugie dans le conte de fées
Un chef qui mène une nation, vous en voyez un, quelque part, vous ? Moi pas.
Les partisans de L’Espagnol qui se sont manifestés dans ces débats ont des raisonnements de taliban. Rien à faire avec des gens pareils.
Les Français se contrefichent de légitimité ? Vous avez tort. Bien-sûr, ils voient d’abord midi à leur porte : leur emploi ou leur chômage, leurs fins de mois, leur sécurité, etc. C’est normal. Un peuple, c’est comme ça. Mais vous oubliez Macron. Qui n’est pas un sot. Et ce qu’il a dit a du sens. Ce n’est pas nul. Et c’est un reflet. Le reflet de tout un courant qui relativise le régime et le critique. Le poisson pourrit par la tête. Mais il peut, par la même voie, inverser un jour ou l’autre le processus. Si tout le monde en a trop marre et si tout finit par aller trop mal !
Et vous, Jérémy, vous avez raison : nous avons besoin de « légitimité », d’un pouvoir légitime. Mais ce que je voulais dire, et que j’ai dit mal, c’est que les Français se contrefichent de ces querelles hors d’âge où des illuminés vont chercher des arguments proto-historiques ou moralistes (le vote de Philippe-Égalité !!!) pour justifier leur aversion des descendants du grand Comte de Paris, Henri VI.
Si la perspective monarchique était, par une suite complexe de hasards et de circonstances, ouverte à la France, est-ce que ces curieuses gens peuvent imaginer la tête des Français à qui serait proposé un prince espagnol ?
Toutes ces gloses, tous ces tortillements vertueux en faveur du beau Louis s’effondrent devant le principe de réalité et la question politique.
Mais, diront les faux « légitimistes » espagnolistes, si un Roi nous était donné, ce serait à la suite d’une intervention directe du Seigneur dans les affaires humaines : je crois que ces doux rêveurs s’appellent des « providentialistes ».
Et je dois dire que, jusqu’à une date récente, à part ce sympathique miracle du Très-Haut, je ne voyais pas pourquoi cette mystique n’avait pas autant de chances de se réaliser que n’en avait, lorsque j’étais jeune la vente (l’essai de vente !) d' »Aspects de la France » aux portes des églises. 95% des royalistes (nous) se gelaient les bonbons en militant, 5% (eux) faisaient dire des messes (en latin, pour bien être dans le coup).
Mais désormais, il y a un bouillonnement, dont la déclaration Macron est la plus récente manifestation, mais dont témoignent aussi Zemmour ou Houellebecq (je suis caricatural, je sais).
Désormais notre monarchisme st un peu moins folklorique qu’avant.
Mais allez expliquer l’importance de la déclaration Macron à des couillons qui s’offusquent à cause de divorces et de concubinages…
Réponse à Bastet au sujet de l’utilité de lire ou relire Charles Maurras.
Il y a bien des lunes que j’ai lu Maurras. Il y en a pas mal dans ma bibliothèque… C’est un bon écrivain. Sa pensée est profonde, sa langue est belle, sa prose bien construite, sa poésie un enchantement. Pour autant, cela ne cautionne pas les erreurs de sa pensée sur la monarchie.
La royauté française est issue de droit divin. La Mission Divine de la France n’est pas une élucubration. Maurras a tourné le dos à tout cela. Sa conception de la monarchie est constitutionnelle. Il voulait rétablir la monarchie par les voies démocratiques et le vote….
Le régime monarchique parlementaire, nous y sommes depuis De Gaulle…
Quand j’étais enfant, la seule représentation de l’extrême-droite que l’on connaissait en France, c’était l’Action Française… pour autant, je ne l’ai jamais pensé et m’y suis intéressé.
De plus, l’AF a beaucoup changé. Même si je reconnais qu’elle est encore une bonne école de formation politique et de structuration de la pensée, je crois toujours qu’elle s’est fourvoyée à cause de Maurras et que les principes de cet homme aveuglent ses adeptes.
La monarchie française, c’est celle de Clovis, de Saint Rémy, de Saint Louis, de Jeanne D’Arc, sous la protection de Jésus, de la Très Sainte Vierge Marie, de Saint Michel Archange… cherchez-les dans Maurras…
Le Roi de France, c’est « l’oint du Seigneur ».
Si vous ne voulez ou ne pouvez pas voir cela (comme beaucoup), alors la France est fichue.
Réveillez-vous. Le moindre pire dans les prétendants, c’est « l’Espagnol » comme le disent certains avec mépris… à moins qu’un autre soit caché quelque part. Mais, je ne suis pas providentialiste. J’ai choisi mon camp. Celui de la monarchie catholique et divine… je me fiche des antécédents familiaux des uns ou des autres. Il y a un homme qui dit :
« Je ne prétends à rien. Je suis. Quand les Français se tourneront vers moi, je serai là. Ils n’ont qu’à me demander ».
Cela me suffit.
P.S : Ci-dessous, Louis-Hubert Rémy :
http://www.a-c-r-f.com/documents/LHR-Maurras_tourner_page.pdf
J’adhère…
Bien cordialement.
Ah, oui ! Les Français ne peuvent rien comprendre au discours talibanesque et, en effet, providentialiste, complètement sorti du politique, des pauvres espagnolistes. Et c’est sûr qu’ils ne voudraient pas d’un prince étranger.
C’est autrement intéressant d’observer le bouillonnement dont vous parlez. Là, c’est du sérieux. Bien d’accord, donc, pour aujourd’hui.
Luc,
Votre argumentation est curieuse. Vous oubliez l’exil (forcé) des Orléans…
Pourquoi dénier à certains ce que vous octroyez à d’autres ?
A Pierre Builly :
Je fais partie des « cou….ns » comme vous dites élégamment.
Expliquez-moi SVP le sens de la déclaration de Macron. Je suis curieuse de connaître le fond de votre pensée.
Et, au passage, sachez que Bernard Kouchner a fait une déclaration similaire, en privé, l’année dernière lors d’un dîner. Texto : » C’est un roi qu’il faut à la France « .
Vous en pensez quoi ?
Sur Charles Maurras, un olibrius écrit » Il voulait rétablir la monarchie par les voies démocratiques et le vote…. ».
Dans la longue suite de conneries entendues depuis que je suis entré à l’Action française, en octobre 63, celle-ci est une des plus belles. Maurras a demandé le rétablissement de la monarchie « Par tous les moyens, même légaux ». En d’autres termes, tout fait ventre ! Le suffrage censitaire, le plébiscite, le pronunciamento, l’insurrection populaire, la conspiration. On s’en tape le coquillard. Hugues Capet n’a pas dû être très regardant sur les moyens non plus.
Mais le niquedouille qui écrit ça n’imagine qu’une chose : que la colombe du Saint Esprit descende sur la tête de l’Oint du seigneur en apportant la fiole des saintes huiles et que le Roi guérisse ensuite les écrouelles (au fait y a-t-il encore des scrofuleux disponibles pour le Sacre ?).
Comme disait je ne sais plus qui « Ils ont les mains propres, mais ils n’ont pas de mains ».
Tous ces branleurs qu’on apercevait à la messe de Louis XVI mais jamais devant les facs rouges commencent sérieusement à nous les briser menu.
@tite : Si toi pas avoir compris l’importance de la déclaration de Macron (non pas pour la nature de la déclaration, mais parce que c’est Macron : toi saisir la différence), moi pas pouvoir te l’expliquer.
Et merci de m’apprendre le texto de Kouchner (que moi détester comme toi, je suppose) : elle va tout à fait dans le sens de moi;
À la revoyure, camarade non militant.
Les débats ont toujours été ouverts dans Lafautearousseau et les commentaires libres, pourvu qu’ils soient courtois, argumentés et se rapportent au sujet traité. Chacun peut donc y exprimer son point de vue.
Cela étant, dans ses publications propres, notes et écrits, Lafautearousseau n’est pas une auberge espagnole sans positions, sans ligne politique, clairement exposées.
Ainsi, en matière dynastique, depuis son origine, il y a plus de huit ans, Lafautearousseau a une position claire et définie : Les princes d’Orléans, la Famille de France, son Chef, son Dauphin, sont aujourd’hui les successeurs légitimes des rois de France. Les visiteurs et lecteurs de ce site peuvent être d’un avis différent. Ils ne peuvent, en y venant, ignorer cette position.
De même, Lafautearousseau, en matière de pensée et action politiques, se situe clairement dans la suite et dans la ligne de l’école maurrassienne et de l’Action française. Du moins, dans ce que l’une et l’autre ont d’essentiel et de pérenne.
Ces confirmations n’interviennent pas dans le débat. Elle rappellent, simplement, s’il en est besoin, ce qu’est Lafautearousseau.
A Pierre Builly :
» Kant a les mains propres, mais il n’a pas de mains « .
Charles Péguy, à propos du formalisme de la morale de Kant.