Vladimir Poutine est résolu à intervenir en Syrie contre Daech. Mais quelles sont ses réelles motivations ? Décryptage de Frédéric Pons, rédacteur en chef Monde à Valeurs actuelles.
Son avis [le nôtre aussi] : « Il faut se rapprocher de la Russie pour affronter l’État islamique ».
A noter que c’est probablement ce qui par la force des choses est en train de se passer. La diplomatie française devra de fait renoncer à son absurde « ni-ni » (ni Bachar, ni Daech) qui plaçait ses espoirs dans une inconsistante rébellion démocratique laquelle s’est évanouie en abandonnant à Daech les armes que nous lui avions fournies.
Trois ou quatre ans auront été ainsi perdus à poursuivre cette absurde chimère permettant l’expansion de Daech, ses crimes et ses destructions, dont la conséquence est, aujourd’hui, une invasion sans précédent de l’Europe par un flux migratoire massif.
Les protagonistes de cette politique portent une responsabilité dont ils semblent n’être même pas conscients. Il n’y a aucune raison de ne pas en dire la gravité. Et de les dispenser de devoir en rendre compte. Au moins pour l’Histoire. •
(2min 03s)
L’annulation du contrat des navires mistral a énervé Monsieur Poutine.
En conséquence, il a fait du dumping pour vendre ses sukkoy 35 aux indiens. (voir les articles sur internet)
Perte : 126 rafales soit environ 30 milliards.
Ensuite la semaine dernière on a perdu un contrat de 20 rafales avec l’indonésie. Ils ont retenu les Sukkoys.
Perte environ 2 milliards.
Puis c’est au tour de la malaisie encore 20 avions perdu, et on perd encore 2 milliards.
Il faut savoir que les sukkoy n’avaient même pas répondu aux appels d’offre du début. Est ce que les Russes ne voulaient pas les vendre ?
Soit si on totalise:
2 milliards pour les mistrals,
30 milliards pour l’inde
2 milliards pour l’indonésie,
2 milliards pour la Malaisie
Total 36 milliards ventes loupées à cause du refus de vendre les mistrals.
Quelle inconséquence, quelle bêtise.
Autre inconséquence, Les rafales livrés à la France sont acheminés par Dassault sur la base de Saint Dizier.
Les moteurs sont démontés, les rafales mis sous housse pour conservation, et les moteurs sont envoyés sur les théâtres d’opération.