En visite en Pologne, le Prince Jean de France avait rencontré deux personnalités particulièrement marquantes, qui ont été l’une et l’autre, très proches du pape Jean-Paul II : Lech Walesa, prix Nobel de la Paix, venu, tout exprès, de Gdansk à Varsovie et le cardinal Dziwisz, primat de Pologne … L’épouse du président de la république polonaise avait aussi tenu à saluer le Prince – qui avait rencontré par ailleurs le président de la Diète.
Il y a donc déjà 15 ans que le Prince Jean a eu une action internationale en allant en Pologne, et depuis rien. Certains ont fait le nécessaire pour un voyage en Afghanistan sans aucun remerciement de sa part, ce qui eût été le minimum indispensable mais de ce voyage il n’en a tiré aucun enseignement, aucune suite à tout point de vue.
Si le Prince Jean ne se décide pas à avoir une action politique dont lui seul doit déterminer les modalités mais en relation indirecte avec les mouvements royalistes voire qui ne demandent pas mieux il est vain d’espérer toute progression de la cause qu’il est censé incarner.
D’abord, le voyage du Prince en Pologne est, si je ne me trompe, de 2007. Cela fait huit ans et non 15. Lafautearouseau devrait préciser.
Le Prince seul, en effet, doit déterminer les modalités de son action et juger du moment où les circonstances sont favorables pour qu’elle s’exerce.
Il a déjà bien du mérite, dans le monde où nous sommes, à assumer, sans ridicule, la tradition qu’il lui a été donné d’incarner. Ce qu’il fait. Grâce à lui et au prince Eudes, la famille de France a maintenant des héritiers.
Quant aux royalistes, rien ne les dispense de travailler, tenter d’être intelligents et efficaces, justement pour favoriser la survenue des circonstances où l’intervention plus concrète du Prince deviendra possible.
Pour cela, il faut qu’ils cessent d’attendre la perfection des autres, notamment des Princes, et qu’ils recherchent plutôt la leur. Ils n’y sont pas encore.
ce que cording écrit n’est pas vrai. ceux qui connaissent le prince jean savent qu’il ne manque pas de remercier ceux qui l’ont aidé et reçu. il se peut parfois qu’il oublie quelqu’un, dans une longue liste de remerciement. Cela dit il rentre d’un déplacement en Géorgie/USA et il passe par qui il veut, royaliste ou non.