A Paris, mardi 1er décembre, Philippe de Villiers était au Cercle de Flore pour présenter son dernier ouvrage – dont on sait qu’il connaît un grand succès – « Le moment est venu de dire de que j’ai vu ».
Il y était déjà venu à plusieurs reprises, parler de ses livres précédents, sa trilogie, Charette, Jeanne d’Arc et Saint-Louis, trois héros français révélateurs de la filiation et des modèles que Philippe de Villiers propose à ses lecteurs, et, au delà d’eux, aux Français. Comme, d’ailleurs, il le fait au Puy du Fou, ce qu’il aura peut-être réalisé de mieux et de plus pérenne.
Au Cercle de Flore, il ne manque jamais de marquer, d’une manière ou d’une autre, sa proximité avec le mouvement, l’école de pensée, les maîtres dont l’œuvre s’y trouve poursuivie.
Nous ne jugeons pas, ici, de ce qu’a été sa carrière politique, sur laquelle lui-même porte un regard critique; nous ne présumons en rien de ce que pourrait être – ou ne pas être – à plus ou moins court terme, son engagement politique. Il s’affirme aujourd’hui comme un « dissident », hors du Système.
Nous examinons les idées qu’il exprime, ses paroles et ses écrits. Et nous considérons qu’en tant que tels, ils peuvent être d’une évidente utilité pour un redressement national. C’est ce qui nous importe et c’est dans cet esprit que nous reprenons ici cette conférence dont l’enregistrement en vidéo est dû au Centre Royaliste d’Action Française qui doit en être remercié. Philippe de Villiers y invite à la résistance… LFAR •
Anna sur Mathieu Bock-Côté : « Devant le…
“Qui répondra à ce curieux commantaire auquel je n’entends rien ? Qui est « confus » (au sens…”