Nous avons publié ici l’homélie donnée le 21 janvier à Saint-Germain l’Auxerrois [le texte, dimanche 24 janvier] et celle donnée le même jour au Sacré-Coeur, à Marseille[Vidéo, mercredi 27], à la mémoire de Louis XVI. Les deux prédicateurs ont souligné l’actualité de cette commémoration qui ne se résume pas à célébrer le souvenir d’un mort, fût-il roi de France et victime d’un crime. L’événement a produit une suite de conséquences déterminantes aux XIXe et XXe siècles et continue de retentir sur notre temps, notre société, notre nation, et au delà. C’est dans cette perspective qu’en dehors du souvenir ou de la piété qu’on doit au roi Louis XVI, les commémorations, nombreuses, du 21 janvier conservent un intérêt politique véritable. Nous l’avons dit et tenté de le montrer à maintes reprises, dans Lafautearousseau.
Ainsi, au soir du 21 janvier, les royalistes marseillais [Fédération Royaliste Provençale – Action Française Provence et Lafautearousseau] ont invité à une réunion dont le thème était ainsi formulé : « D’une terreur l’autre, Etat d’urgence » La situation où se trouve la France d’aujourd’hui – à quoi le terrorisme islamiste ajoute désormais la dimension du danger physique – n’est pas sans lien en effet, avec les événements révolutionnaires commémorés le 21 janvier.
C’est ce qu’a rappelé Jean Gugliotta dans ses quelques mots d’introduction à la soirée, où sont intervenus deux éminents islamologues, Jean-Pierre Peroncel-Hugoz et Annie Laurent, qui tout deux ont su faire partager leurs connaissances et leur riche expérience, ainsi que Jean-Baptiste Donnier, professeur de Doit à l’université d’Aix-Marseille. Des débats présentés par Antoine de Crémiers, qui se sont prolongés longuement autour d’un buffet, toutes générations réunies.
L’on pourra en trouver ou retrouver la teneur grâce à la vidéo qui suit. •
61 minutes
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“Il est bon !!”