AUX MORTS DE FÉVRIER
Les derniers coups de feu continuent de briller
Dans le jour indistinct où sont tombés les nôtres
Sur onze ans de retard serai-je donc des vôtres
Je pense à vous ce soir, Ô morts de février.
Robert Brasillach, 5 février 1945
(Poèmes de Fresnes, Minuit et demi, 1945)
Et, comme toujours, ce silence, qui précède le mensonge et le refus de savoir, 2016 aucun de nos politiques ne s’est pas déplacés pour enterrer les légionnaires morts en plein entrainement dans les Alpes. Merci la France….