Photo tirée du compte Facebook non authentifié de Larossi Abballa, FACEBOOK / AFP
par François Davin
Une réaction sur laquelle on pourra débattre
Aujourd’hui, en France, l’une de ces milliers de taupes, qui attendent le message (c’était « on y va » pour les assassins du 13 novembre) vient de passer à l’action, tuant à l’arme blanche un commandant de police et son épouse, travaillant elle-même dans la police : il s’agit de Larossi Abballa, et l’assassinat a été revendiqué par Daech.
On sait que cette horreur n’est pas la première : il y a eu Mohammed Merah, Sid Ahmed Glam, la décapitation de Saint Quentin Falavier, Mehdi Nemouche, les frères Kouachi, la bande du 13 novembre (Abaoud, les Abdeslam, Abrimi..) et d’autres encore.
Tous ont, à leur façon, obéi à Abou Mohamed al Adnani, le porte-parole de Daech, qui a appellé au meurtre de civils français et américains : « Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif ou de munition, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle, ou n’importe lequel de ses alliés. Écrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le…»
Mais, à chaque fois, on nous bassine avec des « c’est un Français », « ils sont tous Français », expression dans laquelle le crétinisme le plus pur le dispute au mépris le plus absolu du public : non, il ne s’agit pas de « Français », mais de « français de plastique », titulaires d’un petit rectangle plastifié, appelé CNI dans le jargon technocratique. Cette Carte Nationale d’Identité, le Système, dans sa haine insensée de notre passé (« du passé faisons table rase ! ») et dans sa volonté de défranciser la Nation, la distribue dans l’inconscience la plus stupéfiante, depuis les Décrets Chirac de regroupement familial de 1976 *.
Français, ils ne l’ont jamais été, ils ne le sont pas et ne le seront jamais, d’abord, et tout simplement parce qu’ils ne veulent surtout pas l’être. Ce qu’ils veulent, c’est que le monde – en général – et la France – en particulier – deviennent musulmans. Ce qu’ils veulent, c’est étendre le « Dar el Islam » (le monde gouverné par l’Islam) dans tout le « Dar el Harb » (le reste du monde, l’ensemble des pays où la guerre contre les mécréants – koufars – est juste et nécessaire, afin de les faire devenir musulmans) : et, s’ils arrivent à leur but, ces bons apôtres de « la religion de paix et d’amour » (mon oeil ! lisez le Coran, vous serez servis en termes de haine et de violence…) nous feront vivre à « leur » façon.
Ces gens-là n’auraient jamais dû venir naître en France, et encore moins devenir – légalement, certes, mais pas légitimement – Français. Maintenant que le mal est fait, il faut le réparer. Mais, il ne faut pas se leurrer : ce n’est certes pas du Système, qui a créé ce problème, que viendra la solution. Au point où les choses en sont arrivées, les solutions classiques, qui sont connues**, ne suffiront même plus. Il faut avoir la lucidité et le courage de regarder les choses en face, et d’appeler les choses par leur nom : ce vers quoi nous nous dirigeons, c’est :
• soit la prise du pouvoir lente, puis de plus en plus rapide (voir Houellebecq) du pouvoir, en France, par l’Islam. Alors ne nous resteront que les trois possibilités offertes (!) aux non-musulmans en pays d’Islam :
1. nous convertir à l’Islam,
2. ou être tués par les nouveaux maîtres,
3. ou devenir des « dhimmis », c’est-à-dire des citoyens de seconde zone, aux droits très fortement restreints, quand il leur en reste (à titre d’exemple, voyez le sort des Coptes, en Egypte…)
• soit, enfin, une réaction décisive du peuple de France, une insurrection, en vue de reconquérir notre territoire, de le libérer de ces populations allogènes dont nous n’avons jamais souhaité la présence chez nous et qui sont comme un corps étranger dans le pays.
Bref, ce sursaut, ce sera une guerre de Libération nationale; une guerre de Libération du territoire. Une de plus, dans notre Histoire déjà longue. Et peut-être pas la plus facile, mais il faut savoir ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas; ce que l’on veut devenir et ce que l’on ne veut pas devenir. Et agir en conséquence. Aujourd’hui, c’est clair, les choses ayant empiré pour en arriver au point de rupture où nous en sommes, nous devons nous préparer mentalement et moralement car ce ne sont pas des vacances au soleil qui nous attendent. •
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* Le « regroupement familial » est une décision suicidaire prise par le Décret du 29 avril 1976 : à partir de ce jour-là, et de ce décret là, le regroupement familial fut rendu légal, et institutionnalisé. Dans les circonstances présentes, il est clair que le regroupement familial doit être suspendu.
** En vrac, quelques unes de ces « solutions classiques » :
• arrêter d’abord immédiatement toute arrivée nouvelle d’étrangers en provenance notamment d’Afrique du Nord ou subsaharienne (300.000 entrées par an à l’heure actuelle…);
• changer et durcir nos lois, afin de déchoir de la nationalité française tout individu ayant le moindre lien avec le terrorisme islamique, et l’expulser immédiatement du territoire national; et donc aussi vider nos prisons des 50, 60, 70 voire 80% d’étrangers ou de naturalisés – dans certaines – qui s’y trouvent pour acte(s) lié(s) de près ou de loin au terrorisme musulman…;
• examiner tous les dossiers de naturalisation depuis les scélérats « décrets Chirac » de 1976, et annuler tous ceux dans lesquels on trouvera le moindre vice de forme, déclaration insincère ou autre fausse information…
• déchoir aussi toute personne dont on saura qu’elle vit en dehors de nos lois (polygamie, excision…), comme on le sait par le genre de vidéo suivante, scandale révélé par David Pujadas au JT de France2, à 20heures : folies de la republique ideologique.wmv
Point de vue qui manifeste une salutaire violence et qui a le mérite d’être clair. Mais le chemin sera long et ce n’est pas gagné…
Bien vu et nous sommes bien d’accord; Seulement ce ne sont pas les partis en place qui résoudrons le mal qu’ils ont eux même engagé. Comme l’a fait remarqué avec lucidité Monsieur de Villier, après Socrate, la solution viendra du peuple, des gens de France. J’ajouterais que même si nous devenions musulmans nous serions esclave des ethnies Arabes et ennemi des pays Européens restés chrétiens , de l’Amérique et de la grande Russie. Alors c’est quant le réveil des ploucs qui ont abandonné les racines de leurs ancêtres, il ne faudrait pas trop tarder, je me fait vieux et vous n’êtes pas sans savoir que les cimetières chrétiens et Juifs sont démolis dans le monde qui se dit musulman. Alors quant les petit Français embourgeoisés vont ils enfin comprendre, qu’il faut être puissant pour être respecté. Fénélon
« Les Français de plastique » sont des citoyens de la république mais certainement pas des Français. Quant aux solutions pour mettre un terme à l’invasion migratoire organisée par le système, si on ne veut pas finir égorgé par les bourreaux de l’islam, il faut quitter l’UERSS d’urgence avec un « Franxit », fermeture des frontières, expulsions des assassins potentiels ou exécutions en cas de passage à l’acte, coup d’état contre le régime de l’international socialiste ou du national socialiste, une justice exceptionnelle pour les traîtres, redonner du pouvoir à l’armée.
Vos propos sont forts, clairs et clairvoyants. Contribueront-ils à sortir les français de la torpeur insidieusement infusée dans les méandres de leur cerveau par les discours et les actes des faux grands « prêtres » et politiques prétendument moraux de l’anti France, toujours vigilants pour faire avancer leurs sinistres projets et persécuter ceux qui pensent comme vous ?
Je partage entièrement votre point de vue, nous risquons d’être dominés CHEZ NOUS, car la révolution bolchévik l’a prouvé, 15% de la population suffit à imposer une révolution sanglante., aux 85 restants. Question pour nos dirigeants temporaires: combien de moutons faut-il pour vaincre UN seul loup
Entièrement d’accord sur le principe pour tout ce qui est suggéré. Mais le problème, c’est la réalisation de cet ensemble. Il faut un chef, un poisson pilote pour lancer puis diriger le tout. Où est-il ? Comment le trouver ? Réfléchir, penser, c’est une chose. Agir, c’est autre chose.
Parmi nos généraux 2.eme section, y-en-a-t-il un pour lancer le mouvement ?