Par Louis-Joseph Delanglade
20.06.2016 réactualisé le 15.07.2016
La liste s’allonge des victimes de l’islamo-terrorisme. La question que tout le monde se pose est de savoir que faire. Or, la seule chose inadmissible, c’est de se refuser les moyens de se battre contre l’ennemi. De rester, comme le fait M. Hollande, dans la consternation, la condamnation, la déploration, l’incantation, etc., inventant « un état d’urgence proclamé […] un état d’urgence en caoutchouc, où tout ce qui devrait être dur est mou », selon M. Zemmour (R.T.L., jeudi 16.06).
Comme d’habitude, il y a ceux pour qui l’honnêteté intellectuelle passe après les convictions idéologiques. Qui n’a pas entendu à la radio ou à la télévision, lors des mille et un débats sur le sujet, la petite musique du négationnisme ? Ainsi, moins de deux jours après l’assassinat des deux policiers, M. Wieviorka,éminent sociologue de réputation internationale (et très proche du P.S. dont il est un des inspirateurs), distille d’un ton paterne (France 5, mercredi 15.06) qu’on ne peut associer les mots islam et terrorisme, au motif que ce serait « stigmatiser » toute une communauté. Il n’y aurait donc que des victimes (des jeunes, des homosexuels, des policiers, des journalistes, etc.) au sort desquelles on daigne compatir, sans craindre la contradiction car ces victimes ont bien été ciblées, c’est-à-dire stigmatisées par les tueurs de l’islamo-terrorisme. M. Onfray, mieux inspiré, répond indirectement le lendemain (R.M.C., jeudi 16.06) qu’existe bel et bien un islam islamiste et terroriste, que le nier revient à nier la filiation entre stalinisme et goulag et que l’islam n’a pas à bénéficier d’un régime de faveur qui l’exonérerait de ses turpitudes.
Il y a aussi ceux qui prêchent l’acceptation, si ce n’est la soumission. M. Legrand, après avoir expliqué qu’au fond on ne peut pas faire grand chose, enjoint, dans sa prédication matinale (France Inter, mercredi 15.06) « à tous les citoyens de prendre sur eux, de décider collectivement de traverser cette épreuve qui reste numériquement moins meurtrière (et de très loin) que les guerres et les révolutions que nous avons déjà vécues…ou même les accidents de la route ». Donc, pas la peine de s’inquiéter, ça va passer : c’est la « résilience », nouveau terme à la mode.
Le gouvernement va plus loin. Tandis que M. Valls prévient que « d’autres innocents perdront leur vie » pendant encore « dix à vingt ans » (France Inter, mercredi 15.06), M. Cazeneuve (France 2, mardi 14.06) rappelle que, si tout doit être fait, il n’est pas question de dépasser la ligne rouge, celle des valeurs de la République. Que chacun sache donc que l’assassin des deux policiers, M. Larossi Abballa, mis sur écoute pendant quatre mois, n’a jamais rien dit qui aurait pu inciter, par principe de précaution, à le mettre hors d’état de nuire. Mais pourquoi donc ces écoutes ? Parce que, déjà connu pour de nombreux faits de droit commun (vol, recel, violences), il avait été condamné à trois ans de prison, dont six mois avec sursis, en 2013 pour « association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes ». Evidemment, maintenant que le RAIDl’a liquidé, on ne peut plus l’arrêter. Entretemps, il a tué deux policiers. Mais les valeurs de la République sont sauves : périssent les Français plutôt qu’un principe.
Jean-Paul Sartre voyait des coupables partout. En tout cas, la responsabilité et la culpabilité politiques de ceux qui nous gouvernent et de leurs inspirateurs est entière : les autres sont les victimes désignées, et en l’occurrence innocentes, de leurs fautes et de leur idéologie. •
Une seule solution: on interdit l’Islam en France et on ferme les mosquées . Car l’Islam dispose qu’il faut tuer les mécréants et ce sont bien des mécréants qui ont fait la Révolution!
Nous nous octroyons le droit d’aller en IRAQ, SYRIE, etc…neutraliser des terroristes potentiels identifiés comme dangereux. Comment expliquer que nous n’en fassions pas de même déjà sur notre territoire, en Europe etc…? Où est la cohérence?…cela au nom du respect des lois démocratiques? Il parait que nous sommes en guerre contre le terrorisme, pourquoi, dans ce cas ne pas rétablir une espèce de cours martiale expéditive plutôt de discuter dans le vide et de geindre?…
renvoyer chez eux TOUS CES ETRANGERS EN FINIR AVEC LA DOUBLE NATIONALITE NOUS VOULONS RESTER ENTRE NOUS POINT BARRE exiçgeons que tous les muz qui vivent en FRANCE DE NOS AIDES? MANIFESTENT RUDEMENT ENVERS LEURS CONGENERES OU ALORS QU ILS FOUTENT LE CAMP ET VITE s’il nous faut un putch on le fera il n’y a que comme celà que nous pourrons renverser ce gouvernement d’incaples et surtout- que le long nez de sarko ne se pointe plus non plus c’est lui qui a instauré l’islam modéré avec son ami SBOUB A KER il nous faut un gouvernement militaire au plus vite
La solution foutre tous les muzz dehors car ils sont tous de près ou de loin responsables. Ils sont shotes à l islam des égouts . Ne plus accepter de muslims dès le gouvernement . Il faut une révolution du peuple et foutre en l air tous ces collabos d hommes politiques et tous les journaleux
On n’entend guère la marocaine Zubida Belkacem ramener sa science. Mais c’est normal puisqu’elle en est complice dans le sens où, travaillant comme une petite 5ème colonne à elle toute seule sous l’œil bienveillant des collabos socialos, elle est en train d’imposer l’apprentissage de l’arabe à l’école afin que tous les futurs dhimmi puissent comprendre les ordres qui leur seront donnés d’ici 15 ou 20 ans si on continue à ne rien faire. Faut la renvoyer vite fait au Maroc, celle-là, entière ou en pièces détachées selon l’humeur et pour les autres, les collabos de droite comme de gauche, la corde, le peloton ou le crochet de boucher façon Mussolini, selon ce qui sera dispo