Ce soulèvement du 18 juillet 1936, en définitive victorieux, fut le premier acte d’une terrible guerre civile – une Croisade pour les nationalistes – qui a duré 3 longues années. Au terme desquelles ont triomphé les forces de la Tradition, emmenées par les phalangistes, requetes et soldats, selon la définition que donnait Franco lui-même de ce qui deviendra assez vite le Mouvement National. Leur victoire sauva l’Espagne du bolchevisme et du stalinisme qui l’aurait laissée en ruines, lorsque le bloc communiste s’est effondré. Et elle a sauvé l’Europe de l’Ouest de la menace qu’aurait été sur son flanc sud-ouest une république populaire inféodée à l’URSS. L’héroïsme des combattants n’a pas été vain. N’oublions pas ! LFAR •
Robert Brasillach : ce que la guerre civile espagnole a représenté pour les contemporains …
« … Une lutte terrible éclatait sur l’une des plus nobles terres de l’Europe (…). L’Espagne ainsi achevait de transformer en combat spirituel et matériel à la fois, en croisade véritable, la longue opposition qui couvait dans le monde moderne. Ses brigades internationales, des deux côtés, scellaient dans le sang les alliances. Par toute la planète, des hommes ressentaient comme leur propre guerre, comme leurs propres victoires et leurs propres défaites, le siège de Tolède, le siège d’Oviedo, la bataille de Teruel, Guadalajara, Madrid et Valence. Le coolie chinois, le manoeuvre de Belleville, le voyou perdu dans les brouillards de Londres, le chercheur d’or pauvre et déçu, le maître des pâturages hongrois ou argentins, pouvaient tressaillir d’angoisse ou de plaisir devant quelque nom mal orthographié, dans quelque journal inconnu. Dans la fumée grise des obus, sous le ciel en feu parcouru par les avions de chasse, russes contre italiens, les contradictions idéologiques se résolvaient, en cette vieille terre des actes de foi et des conquérants, par la souffrance, par le sang, par la mort. »
Robert Brasillach, Les Sept couleurs, Plon, 1939
Hélas ! nous n’avons pas un tel homme pour rétablir ensuite la Monarchie !
Franco est un Grand d’Espagne, non par le titre formel, reçu par le hasard de la naissance, mais par le service rendu à l’Espagne, à la France, à l’Europe et au monde, à la Paix; En refusant tout à Hitler (passage de ses troupes par l’Espagne…) il a permis que soient sauvées nos forces en Afrique, hâtant ainsi la défaite du Reich, le retour de la Paix et permettant à la France – malgré tout et quelles qu’en soient les circonstances… – de pouvoir continuer à jouer un rôle dans les évènements . Grâce à Franco, l’Espagne n’est pas devenu une atroce « démocratie populaire » pendant quarante ans, comme les pays de la malheureuse Europe de l’Est en 45, ou comme la Russie pendant soixante-dix ans, après 1918. Elle n’est pas devenue non plus la poubelle écoloqique que sont devenues tant et tant de régions de l’ex « bloc de l’Est » ou « Empire du Mal ». Et Staline n’a pas pu, comme il l’a rêvé, nous « prendre à revers »…
La France, l’Europe, la Paix doivent beaucoup à Franco;
Arriba Espana ! Viva Franco ! Francisco Franco, presente !
Je m’associe à ce qui est dit ici de Franco. N’oublions pas toutefois qu’il était le fils d’un grand peuple courageux où la Tradition représentait des forces considérables. Qui ont combattu avec cet héroïsme extrême qui est la marque de ce peuple, où tout le monde est à sa place Grand d’Espagne. Nos frères carlistes disent à juste titre que nous ne voulons pas seulement un roi pour gouverner la société, que notre idéal c’est de faire ou refaire un peuple royal, une société royale. C’est tout l’idéal de ce que les Espagnols nomment Tradition et nous Contre-Révolution.
Disons qu’il n’est pas encore apparu; que les circonstances ne sont pas encore réunies; qu’elles le seront un jour …
Comme tout le monde, je vibre au souvenir du « Soulèvement national » et les noms des batailles, l’Èbre, guadalajara, Belchite, Brunete, l’Alcazar de Tolède bien sûr me font vibrer… (Personnellement, je trouve d’ailleurs qu’il n’y a que ça et les Conquistadores qui soit intérerssant dans l’histoire de ce peuple endormi).
N’empêche que la France a dû à la victoire nationale de recevoir des centaines de milliers de Rouges qui ont empuanti (et empuantissent encore) la vie politique des régions où ils se sont installés.
Si les Nationaux avaient dû fuir pour se réfugier en France, quels frères merveilleux nous aurions trouvés !
Cela dit avec juste un peu d’ironie…
La seule erreur du Caudillo fut de mettre Juan Carlos sur le trône, pourtant il savait parfaitement que ce dernier fréquentait les circuits libéraux européens (ainsi que sa femme!)! Le monde maçonnique ne pardonna jamais à Franco car c’est le seul qui a gagné la guerre contre les rouges!!au prix de cette guerre civile (croisade comme l’appela le Pape) plus longue car la racaille mondialiste rouge, rose etc…s’est rangé au côté des républicains avec du matériel et des hommes! (brigades internationales).
ARRIBA SIEMRE!! VIVA XTO REY! FRANCO PRESENTE!! VIVA ESPAÑA, UNA, LIBRE!!
CAÏDOS POR DIOS Y POR ESPAÑA…..PRESENTES!!
Parfaitement.. la situation de ce qui reste d la France nécessite un Caudillo voire un SALAZAR pour un grand nettoyage et remettre des institutions pour le retour d’un ROI!! Vaste programme comme dirait » l’autre »…mais ce sera Quand Dieu décidera de siffler cette funeste et sulfureuse récréation!
Pour info…
Vu de notre côté….mais nous aurions eu au sud un régime bien rouge anarcho-bolcho….et bonjour les dégâts!!