Pas de parité en vue ici : pas d’homme sur la photo … « La préfète », en poste depuis quelques jours est simplement venue rompre le jeûne à la mosquée de Mouysset. Avec les femmes, donc, évidemment. Obligatoire, d’ailleurs …
Elle rompt aussi avec ce que sa formation à l’école nationale de la magistrature et ses différents postes dans la préfectorale ont pu lui apprendre, elle rompt avec la sacro-sainte laïcité, avec la tradition française et européenne de présence conjointe hommes – femmes en société … elle rompt avec son devoir de neutralité et de réserve ! Bien entendu, elle ne portera pas la même attention au culte catholique dans le département des apparitions mariales à Lourdes ! Inutile – voire négatif – de lui en toucher un mot.
Ses services se borneront à indiquer que « la préfète des Hautes-Pyrénées à partagé le repas de rupture du jeûne avec les femmes de la mosquée de Mouysset. Un très bon moment de convivialité et de partage. »
Les valeurs de la République sont à géométrie variable. A vrai dire, ce n’est pas un scoop, n’est-ce pas ? LFAR •
une honte que dire Occident réveille toi et boute dehors les complices de nos ennemis
SOUMISSION (en majuscules) avec ces individus la France a déjà perdu !
Ce qui me choque bien davantage que cette ridicule soumission d’une imbécile, c’est la soumission de LFAR aux diktats sur la langue française. « Préfète » est un mot qui ne peut en aucun cas désigner une femme nommée préfet. C’est un terme, familier au demeurant, qu’on emploie pour désigner la femme, l’épouse d’un préfet.
Il n’a y apas plus de préfète, hors ce sens, que de députéE, d’auteurE ou de professeurE.
Quant à LA ministre !
Le respect de notre pays passe aussi, et beaucoup, par le respect de sa langue.
il me semble pas inutile de rappeler a chacun sa place et son devoir !
Pierre Builly a parfaitement raison. LFAR a cédé au jargon et doit revenir au bon langage.
Et le devoir de réserve, Madame la servante du pouvoir en place?????????????????????
Et vous n’avez donc pas vu qu’il y avait des guillemets autour de « la préfète » ? !
Et une collabo de plus, une !