Par Charles Jaigu
Les cloches sonneront-elles encore demain ? : dans un ouvrage au titre explicite, Philippe de Villiers tire le signal d’alarme. Il y montre comment la France est tout bonnement en train de s’islamiser et de perdre son identité. Il met en cause l’islamisme, bien sûr, mais aussi l’islam de France, accusé de jouer un double jeu, sans oublier nos élites intellectuelles et politiques, de gauche comme… de droite. C’est ce que Charles Jaigu analyse ici dans Figarovox [7.10]. Assurément, Philippe de Villiers n’est pas le seul à dire ces choses. Mais, hors des jeux politiciens, il est bon qu’il les dise. Avec force et talent. Comme il le fait au Puy du Fou, sans-doute, avec ses livres d’Histoire, ce qu’il aura réalisé de mieux. Lafautearousseau
« Non, ce n’est pas, jure-t-il, un livre pour la présidentielle, dont il se “ fiche complètement ! ” » A regarder les candidats affûter leurs slogans et asséner leurs formules, il est pris « de nausée, de dégoût ». Philippe de Villiers n’est pas un Vendéen de façade. Il a la tripe et la gouaille d’un chouan exalté par son discours d’apocalypse. « Je les vois faire une partie de poker menteur sur le Titanic. L’orchestre joue, le champagne coule à flots. La France coule, et on nous parle des chiffres de la TVA » assène-t-il, sincèrement consterné. Une chose est sûre : Philippe de Villiers a retrouvé la foi en lui-même. Pendant plusieurs années, il a traversé un long désert fait de démêlés familiaux, de difficultés de santé et aussi d’une crise de son message politique. Le souverainisme avait été une grande avenue de la politique française. Il n’était plus qu’une impasse, recouverte d’herbes folles. Mais la crise de l’Europe et des marchés a redoré le blason des « nationaux ». Comme à chaque fois, le créneau a vite été saisi par Marine Le Pen. Mais il restait à Villiers ce qu’il sait le mieux faire : camper des décors crépusculaires et nous parler de la fin du monde.
A 67 ans, le créateur du Puy du Fou entame donc le quatrième acte de sa vie publique hexagonale. Il y aura eu le « combat pour les valeurs » et la candidature malheureuse à l’élection présidentielle en 1995; l’alliance avec Charles Pasqua pour créer le Rassemblement pour la France, en 1999; la campagne contre le référendum de 2005. Cette fois-ci, le condottiere vendéen revient avec un livre au chalumeau contre l’islam et le danger de « colonisation » de la France.
Villiers ne fait pas dans la dentelle. Il nous prépare à l’ensevelissement, à la disparition. Ce quatrième acte, il le jure, sera celui d’un auteur et d’un bretteur, pas d’un candidat. Est-ce sous l’influence de Patrick Buisson, qui fut longtemps un ami et un conseiller? Philippe de Villiers, en tout cas, s’est pleinement converti au « Kulturkampf ». Il a repris, lui aussi, les analyses du marxiste italien Antonio Gramsci (1891-1937), pour qui l’hégémonie culturelle précède les victoires politiques.
Car Philippe de Villiers a bel et bien quitté la politique. Il a démissionné de la présidence du Mouvement pour la France, en 2010. Et il ne s’est pas représenté aux élections européennes de 2014. Au début de l’année, il a publié un livre de Mémoires dans lequel il disait tout, ou presque – et parfois inventait, comme le lui reprochent certains de ses lecteurs, à l’image d’Alain Duhamel. Avec ses anecdotes bien troussées, Le moment est venu de dire ce que j’ai vu l’a remis en selle. Il a retrouvé goût aux tours de France, aux réunions publiques, enchaîné les séances de dédicace, et vendu 240.000 exemplaires.
« Je suis passé de la politique à la métapolitique, d’une circonscription électorale à une circonscription de lecteurs, et ma parole est plus écoutée qu’à l’époque », nous assure-t-il. Il a pourtant fait l’objet, ces derniers mois, de supplications diverses pour reprendre le combat politique. De la part des membres de son parti, de ses lecteurs ou du maire de Béziers, Robert Ménard, qui l’avait invité fin mai au colloque de la droite « hors les murs ». Mais il n’a jamais fait le voyage, et il n’a pas franchi le pas. Car devant lui, encore et toujours, se trouve l’obstacle Le Pen.
Dans le livre qu’il publie, Philippe de Villiers annonce donc le « grand remplacement ». Il nous parle de « submersion, d’envahissement et de colonisation ». Longtemps, il laissa l’immigration à Jean-Marie Le Pen. Son combat, c’étaient les valeurs et le refus d’une Europe « prison des peuples ». Désormais, Philippe de Villiers reprend à son compte les interpellations du vieux meneur de l’extrême droite française. L’heure n’est plus aux finasseries politiciennes, estime-t-il. Mais, quand on lui demande s’il se sent proche, rétrospectivement, du « Menhir », il se récrie: « Mon électorat n’était pas celui de Le Pen. Je suis de la droite résistante, pas celle de ces bourgeois qui ont dit, en voyant arriver les boches, “ah, ils vont remettre un peu d’ordre!” »
En attendant, Philippe de Villiers semble toujours croire qu’il existe un espace à prendre entre Marine Le Pen et Alain Juppé, si ce dernier devait être le vainqueur de la primaire. « Celui qui va faire un carton, c’est celui qui osera dire les choses mais, pour l’instant, je n’en vois aucun », dit-il. Pour le moment, Villiers estime, avec Les cloches sonneront-elles encore demain ?, qu’il est le seul à dire les choses. •
Les Rencontres du Figaro avec Philippe de Villiers, le 30 novembre 2016 à 20h00.
Le fondateur du Puy du Fou a quitté la scène politique pour se consacrer à l’écriture. Après Le moment est venu de dire ce que j’ai vu (Albin Michel) recueil de souvenirs politiques au succès phénoménal, il publie une puissante méditation sur la France, son histoire, sa beauté, et les défis existentiels auxquels l’islamisme et la mondialisation la confrontent.
Une dédicace de son livre aura lieu à la suite de cette conférence. Pour réserver rendez-vous sur cette page.
Grand reporter au service politique du Figaro
P. de Villier est un enfant de la république, de par ses origines est il bien placé pour nous expliquer l’histoire des gens de France. Surement au vu de son puy du fou. Mais comment apprendre aux Français le mensonge républicain. Comment dire une bonne fois pour toute que la révolution n’est pas la terreur et que la terreur a tué plus de’ ouvriers et de paysans , que de nobles de l’ancien régime. Comment faire entendre que notre république entretient une caste de haute bourgeoisie qui se protège par une justice à ses bottes. Oui, il devine la suite , il suffit de constater que la police n’est plus respectée, que des rebelles peuvent se permettre en toute impunité de brûler par deux fois des flics, hommes et femmes dans leur véhicule,.Mais le mensonge sur la noblesse de l’ancien régime, qui n’était surement pas homogène, fait encore peur au peuple. Et se peuple de France se croit libre dans le carcan des lois républicaines, quant l’actuelle haute bourgeoisie ne pense qu’à bien vivre à nos dépend, demain ils partirons de France, laissant le peuple se soumettre aux lois de l’islam.
Que Philippe de VILLIERS annonce haut et fort, qu’il est Royaliste, qu’il se rapproche du Prince Jean, et là nous pourrons envisager un décollage permettant de sauver ce qui peut l’être encore.
Le Cosquer a tout dit. Et justement!
Adieu Douce France cher pays de …
Bonjour à tous ! Oui que de Villiers profite d’être connu en France puisqu’il s’est présenté à la présidentielle et aux européennes pour faire progresser l’idée royaliste !Qu’il dise je me rallie au Prince JEAN .Certes son attitude de porter ses voix au système au second tour était une erreur !Il a enlevé des voix à LE PEN en 1995 c’est dommage .Mais passons on fait tous des erreurs .Il sait parler aux médias qu’il devienne un opposant AU REGIME !Non pas un opposant républicain MAIS UN OPPOSANT AU REGIME !Qu’il propose une alternative à la démocratie !
Pardonnez-moi d’etre brutal,a moi qui suis si doux d’ordinaire…..
A regarder objectivement dans son entier le parcours politique de Villiers en comparant ses paroles et ses actes (J’entends ses actes REELS ,examinés a la lumiere de leurs résultats concrets….) ma conclusion (qui n’engage que moi,en tout cas qu’un petit nombre peut-etre ,mais teigneux et tetu….) Villiers est un faux-cul (mes excuses ,blogmestre) qui servit de rabatteur de deuxième tour a Chirac puis Sarkozy.pour recuperer des voix d’electeurs FN. Pour ce joli travail il reçut son salaire.
Faux-cul? Il parait qu’on le voit en ce moment avec Macron ,ce royaliste fervent,possible sauveur de la France. Dans « La Provence » d’aujourd’hui le député socialiste Christophe Castaner le dit clairement (Gros titre) : » Macron,le plus capable de faire gagner la Gauche » ……
Otez-moi d’un doute : la Gauche,héritière des « Lumières » et de la Révolution ?
Je dois faire un mauvais reve , je vais me reveiller ,sans doute……
Le rétroviseur peut avoir son utilité mais si nous devions rejeter tous ceux qui, à un moment donné ou à une autre, ont été « enfants de la République », nous resterions entre nous à remâcher de vaines rancunes. De Villiers n’a plus d’engagements politiques et dit n’en plus vouloir. S’il s’y tient, prenons le positif, sans plus. N’ayons pas la nuque trop raide.
Il a parlé plusieurs fois à l’Action française Paris, en termes non-équivoques. Il a écrit récemment d’excellents livres. Le Puy du Fou est une œuvre remarquable et dévastatrice pour le Système.
Ecoutez donc ses vidéos qui sont sur ce site. Pour le reste, pour l’avenir, nous verrons bien. Encore une fois, prenons, pour la France, le positif.
Non, Philippe de Villiers n’est pas un faux cul. Il s’est carbonisé dans le système qui l’ a tué. Par exemple, son parcours a été exemplaire au Puy du Fou avec Soljenitsyne;
C’est Hollande qu finalement empoche la mise de la Constitution du Général qui révèle son incapacité à trouver un homme qui n’appartienne qu’à la France .et puisse fonder. On n’invoque pas sans danger les mânes mortifères.
P.D.V a tenté d’infléchir la droite républicaine – peut-être un peu trop longtemps avant de se retirer- et maintenant il en tire la conclusion. Il a peut être fait des erreurs tactiques, mais au moins il a essayé. On a le droit de ne pas jouer la carte après tout très républicaine des LE Pen , Père ou fille, qui finalement rêvent d’une république vertueuse,, qui elle aussi tourne en rond . Le Pen capitalise une opposition légitime au système , mais après qu’en feront ils?
PDV a raison de porter le débat sur le terrain culturel pour refonder.A ce point de vue il a eu raison d’inviter Macron,, venu lui rendre hommage, victoire d u Chouan sur une doxa à bout de souffle, victoire de celui qui a crée un spectacle qui enchante et résonne dans tout le pays, Victoire culturelle reconnu par son invité. Macron qui a quand même eu le courage et la lucidité de reconnaitre que la France est parricide et que cela lui pèse. et de venir en personne au Puy du Fou.. Vous imaginez Juppé au Puy du Fou ? Et même Fillon? Marine le Pen? Is n’oseraient pas. à part Marion. Macron homme de gauche? Qu’est que cela veut dire aujourd’hui où tout le monde a un regard de gauche en politique et sur la société et notre histoire, et puis toute la gauche est finalement vendu moralement et financièrement l’atlantisme made in USA., même les plus excités financés s par des officines culturelles , type Sorros .Juppé est caricaturalement de gauche sur tous ces points, tout autant sinon plus sur les questions vitales. Entre Macron et Juppé je crois que je voterai encore Macron . Aujourd’hui la ligne de fracture n’est plus entre ceux qui refusent la révolution française et ses dévastations intellectuelles et morales, sans parler de ses victimes et ceux qui l’encensent, mais entre ceux qui veulent encore croire que notre pays a encore un avenir à accorder à ses enfants et ceux qui n’y croient plus. Une fois rassemblée là où ils seront accueillis, certains verront leur illusions rétrospectives s’envoler ou oser le dire. ; Pour le moment , rassemblons la dessus avec les suggestions de certains intervenants., pourquoi pas?
Depuis la mort de de Gaulle, une succession de dirigeants calamiteux ont « dirigé » la France, plus exactement l’ont tranquillement menée vers l’actuel « chaos » que nous vivons. Cela a pris forme avec le gouvernement Giscard.
Or, sous Giscard, un épisode majeur politico-diplomatique eut lieu, entre la France et l’Arabie Saoudite. Un événement complètement oublié, dont plus personne ne parle, et, dont la portée est significative et dont nous supportons aujourd’hui pleinement les conséquences.
1979 : Autour de la Kaaba, en plein pèlerinage, une sanglante révolte éclate en Arabie Saoudite, peut-être téléguidée depuis l’Iran, ( fusillade, militaires et civils qui se révoltent contre le régime du roi Khaled, de la famille Saoud, lassés par la corruption qui mine ce pays). L’armée saoudienne envoie les chars pour mater la rébellion ; c’est un bain de sang.
Mais les assaillants se réfugient dans les innombrables sous-sols de la kaaba. (des centaines de tués ). Or, le régime des Saoud est loin d’être sauvé, car les assaillants résistent toujours. Le roi Khaled est dépassé, la garde nationale ne sait pas comment mater la rébellion.
Alors, c’est la France, qui va, dans ce moment décisif, apporter aux Saoud l’aide la plus précieuse avec l’envoi immédiat de plusieurs conseillers militaires spécialisés dans la guérilla urbaine. Très professionnels, ils aideront les Saoud à reconquérir leur trône chancelant. Cette opération quasi secrète sera pourtant éventée, et en 1980, les socialistes feront tout pour l’étouffer.
Sources : « Les islamistes sont déjà là » Enquête sur une guerre secrète, Auteurs : Christophe Deloire, Christophe Dubois.
Editions Albin MIchel.
Alors, dans ce cas-là, comment s’étonner, vu la générosité des Saoud envers ceux qui les ont aidés, soit aussi voyante, et aussi insolente ? Et des années après.
un régime-ami de la France qui finance grâce aux pétro-dollars, une manne quasi-inépuisable, le djihadisme qu’il lance contre nous ! Et devant qui le gouvernement se prosterne, contre de juteux contrats et plie à toutes les injonctions des « barbus » !
Dis-moi qui tu fréquentes, je te dirai qui tu es, selon l’adage.
Henri ,il me semble vous avoir lu plus lucide ! Pourtant en écrivant « aujourd’hui ou tout le monde (j’ajouterais « ou presque ») a un regard de gauche en politique » vous voyez clair. Mais je crois que la git tout le mal ,ou peu s’en faut…..L’avenir appartiendra pour moi a ceux qui reviendront aux sources,en les adaptant au monde moderne……. Vous rangez les Macron et consorts parmi ceux « qui croient encore ,etc……. » Les bras me tombent! Ainsi un certain Gribouille,un jour de pluie,sauta a l’eau pour eviter d’etre mouillé………
Oui de Villiers a apporté ces voix au système..Alors qu’en 1995 Le Pen était en mesure d’accéder au deuxième tour et lui demandait de se retirer de Villiers lui a opposé un mépris humiliant !Souvent de Villiers était là pour faire baisser le score du FN de l’époque !
Maintenant il pourrait s’afficher opposant AU REGIME mais là encore je crains la déception !
Depuis la mort de de Gaulle !
DE GAULLE avait un culte de la personnalité tout à fait exagéré !Il a multiplié les procès pour outrage à sa personne ! Mais pas que …
Mitterand a quand même célébré le millénaire capétien ! Il a dit non à la repentance !
La droite a délaissé le combat culturel .C’est celui là qu’il faut gagner !La gauche devient bizarrement très agressive lorsqu’on remet en cause son hégémonie culturelle !
Richard Portier, je ne range pas Macron dans ceux qui croiraient encore à la France, Je ne suis pas un de ses partisans. Je constate simplement qu’il a eu une parole lucide sur 1793 et la décapitation du Roi, et est venu saluer une œuvre admirable le Puy du Fou, contrairement à toute la droite institutionnelle et même le FN. ( peur de se compromettre ou sont ils étrangers au mystère de notre histoire, la vraie qui surplombe la nôtre aujourd’hui et qui permet d nous accomplir. ( ou qui revient en force avec e refoulé ) ? ; Pourquoi ne pas lui en donner acte
. Aragon a été peut- être un affreux laudateur de Staline et du communisme, ce qui est vraiment dommage, mais c’est aussi lui qui rendu un vrai hommage à Bonchamps le héros de Saint Florent de Viel en 1794, , le vrai vainqueur sur un plan de la durée: de cette épouvantable guerre civile , en fait de destruction de notr pays et qui comme le remarque indirectement Aragon nous empêche de désespérer de la France » Bonchamps , c’est la France éternelle », .a écrit Aragon sur le livre d’or.de Saint Florent J’attends , non je n’attends plus le commentaire des autres figures politique culturelles., de nos évêques( qui devraient se sentir concernés par ce pardon accordé , qui est refondateur.
C’est aussi Aragon qui a écrit dans un poème :
« une cathédrale par pitié pour un royaume qui demande à naître « .
A l’heure où tout l e monde à droite tourne à vide et à gauche dans la perversité ( au niveau de son programme ) je suis bien forcé de relever ce qui sème en durée comme P. de Villiers , ceux qui aspirent à » naître à autre chose comme Aragon et ceux qui font un retour bien partiel sur eux mêmes , comme Macron. On ne peut que les encourager à aller plus loin et à renier ce qui est mort et usé et ne fonde rien et nous prive de notre histoire , aujourd’hui.lisez » le Chrétien et l’histoire » de Théodore Haecker , qui explique cela mieux que moi.
Erratum: Bonchamps est mort en octobre 1793 , non en 1794. Désolé!
Ne perdons pas notre temps à éplucher le pédigree ou les prétendues actions et idéologies des uns et des autres et écoutons ce qu’ils disent et qui est ancré dans le présent.
Actuellement plus que jamais nous remarquons dans les ville une recrudescence de femmes voilées , de multiples actes criminels de la part de ceux que les autorités appellent gracieusement « des sauvageons » et dans la vie quotidienne ceux qui occuppent des postes dans les offices sociaux les mairies les commerces etc agissent en saboteurs du service à la personne faisant des discriminations et de la resistance passive pour paralyser le pays…Travail insidieux destiné à rendre la vie quotidienne difficile et démolir le système.
Chaque jour le citadin se sent de moins en moins citoyen dans un pays qui est le sien. Ce n’est pas le « vivre ensemble » c’est vivre comme l’autre et se taire.
Monsieur de Villiers tire comme d’autres la sonnette d’alarme, s’il vit en province il est encore à l’abri mais pour combien de temps? A la vitesse où les mentalités sont formatées c’est nous qui seront intégrés et dans peu de temps.