Ce mardi 11 septembre, l’écoute de la matinale de France info, et plus particulièrement du 7-9 de Fabienne Sintès, s’est révélée extrêmement instructive.
Pour les pessimistes, les défaitistes, les dépressifs et tous ceux qui ont mal au foie, c’était mi-hallucinant, mi-terrifiant d’entendre ces personnes qui parlaient de la « prison à ciel ouvert » qu’était cette monstruosité de Cité de la Grande Borne (au passage, quel architecte et quel gouvernement insensés ont-il pu concevoir, et laisser construire, une horreur criminogène pareille ?)
Pour nous, qui ne sommes pas « optimistes » mais, plus sérieusement, hommes et femmes de foi et d’espérance en l’avenir de notre pays – qui en a vu d’autres – la tentative d’assassinat perpétrée contre les policiers ne fait que nous donner raison, et montrer la justesse de notre analyse.
Une analyse que, d’ailleurs, le précédent roi du Maroc, Hassan II, avait faite, en nous prévenant, lui qui était – comme aujourd’hui son fils, Mohammed VI – « Amir-el-Moumini », « Commandeur des Croyants », et qui savait donc de quoi il parlait lorsqu’il parlait de l’Islam et des musulmans : vous n’intégrerez pas les marocains, peut-être la première génération, mais la deuxième, la troisième, vous n’y arriverez pas, dit-il en substance dans les deux très courtes vidéos* que nous vous suggérons d’écouter (2’41 et 0’57) …
L’erreur première vient de 1975, du regroupement familial, et de l’erreur-folie initiale de Chirac Premier ministre et de Giscard président. Dès ces sinistres « Décrets Chirac », plus de 700.000 étrangers sont entrés en une seule année, leur nombre grimpant à 200.000 puis, maintenant, 300.000 par an. Sans compter, bien sûr, les clandestins. Il y a 31 ans entre 1975 et 2016 : le compte d’étrangers reçus est facile à faire. Mais, pourquoi les reçoit-on, pour « quoi faire », puisque, dans les cités où ils vivent, le chômage – notamment des jeunes – dépasse les 60% ? Sauf dans les activités très lucratives des divers trafics (drogue, armes, oeuvres d’art, autos-motos, prostitution…), qui génèrent – à la cité La Castellane de Marseille par exemple – mais partout en France aussi – un chiffre d’affaires de 90.000 euros PAR JOUR : les immigrationnistes vont-ils nous dire encore longtemps que ces étrangers-là – à qui on a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que cela en faisait des Français – sont « venus faire les travaux que les Français ne veulent pas faire » et que ce sont eux qui « vont payer nos retraites » ? Si tel était le cas, à 90.000 euros de gain par jour dans chaque cité de Marseille et de France, ni le gouvernement ni plus personne ne devrait avoir la moindre inquiétude sur l’état de nos finances, de nos Caisse de Retraites, de Sécu et autres…
Il n’y a qu’une seule chose à faire : traiter la cause du mal, et pas seulement, dans l’urgence, ses conséquences; remonter aux sources, et reconnaître que l’on s’est dramatiquement trompé en 1975; que Chirac et Giscard ont mené le pays sur une voie qui conduit à sa désintégration; arrêter toute nouvelle importation d’étrangers, à qui l’on n’a de toute façon rien à offrir; changer nos lois et entamer, sans délai, une politique de déchéance massive de nationalité pour tout acte de délinquance, quel qu’il soit, commis par une personne dont l’acquisition de la nationalité s’est faite à partir de 1975; déchéance suivie d’une expulsion immédiate, et bien sûr définitive, du territoire.
Cela videra nos prisons et règlera le problème de la sur-population carcérale; cela mettra fin à l’explosion exponentielle de toute sorte de trafics évoqués plus haut : ils continueront, certes, jusqu’à la fin du monde, mais avec une intensité et une ampleur qui auront tellement diminué que les forces de police « normales » et les moyens de justice « normaux » suffiront à les « traiter »; cela fera également diminuer d’intensité le risque terroriste, qui ne disparaîtra pas, lui non plus, comme par enchantement, mais qui redeviendra moins difficile à combattre, alors que, si l’on continue comme cela, dans peu de temps, l’état d’urgence deviendra la norme et la « vie normale » ne sera plus qu’un lointain souvenir. •
* Hassan II donne les raisons de son opposition à l’intégration
Quel architecte pour la Grande Borne?
Emile Aillaud, l’homme à l a lavallière, très content de lui, qui, lui, occupait un superbe hôtel particulier parisien du XVIIIe siècle.
Il n’avait pas lu Fernand Pouillon, l’architecte auteur des « pierres sauvages » qui préconisait:
« on devrait obliger les architectes à habiter les maisons qu’ils bâtissent ».
41 ans mon ami! 41×300.000= plus de 12 millions!