Où la France passe après la République. Pas pour nous !
Bien-sûr, il y a toutes sortes de sérieuses raisons politiques de fond de s’opposer à Juppé ; notamment – ce qui les résume – qu’il s’apparente, comme naguère son mentor Chirac, avec tout ce que cela implique, aux radicaux-socialistes de jadis. Tel le père Queuille, celui qui osait dire « Il n’est pas de problème dont une absence de solution ne finisse par venir à bout. » Ce grain de sel pointe des motifs très actuels, voire ponctuels, de dire Non à Juppé. Il en va de l’intérêt de la France. LFAR
1. D’abord, et c’est une question de principe, parce que il a été condamné ; et qu’élire comme Chef de l’Etat un condamné, comme on le dit aux comptoirs des bistrots, « ça la fout mal…»
1bis. Et aussi, dans la ligne de ce qui précède, pour son parcours personnel indigne : Alain Juppé – déjà quarante ans de vie politique derrière lui ! – a pris sa retraite d’Inspecteur des Finances à l’âge de 57 ans, en ayant cotisé 38 ans et 3 mois, lui qui propose – pour ne prendre qu’un exemple… – que les Français prennent leur retraite à… 65 ans !
2. Ensuite, parce qu’il est le faux nez de l’Islam, avec son cher Tarik Oubbrou et ses « accommodements raisonnables » à la Justin Trudeau (lequel sévit au Canada, où il ouvre toutes les portes à un Islam qui aura tôt fait de s’y engouffrer, dévorant tout ce qui est tiède, pâle, falot et sans consistance sur son passage). Or, « Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée », dit Musset. Pour l’Islam, il est certes bien plus prudent qu’elle reste fermée ! – Juppé a contourné la fameuse loi de 1905 si chère aux laïcards, haineusement anti catholiques et « anti racines chrétiennes de la France » pour offrir à son cher imam de quoi construire sa grande mosquée : cela permet d’imaginer ce que serait son quinquennat ! Et, rien que d’y penser, c’est NON !
2.bis. Et surtout parce que, comme Robespierre, il croit ce qu’il dit : Juppé a fait sienne vis-à-vis de l’Islam la vision qui fut celle de tant d’intellectuels vis-à-vis du marxisme dans la seconde moitié du XXème siècle. Le triomphe final du marxisme est inéluctable, le marxisme est l’horizon philosophique indépassable de notre temps, « l’accommodement raisonnable » avec lui (revoilà notre Trudeau !) est de se préparer à vivre avec lui, dans « son » monde et sous « sa » loi. On sait ce qu’il est advenu de cet horizon indépassable !
La même erreur est commise aujourd’hui avec l’Islam : les défaitistes, traîtres et collabos par anticipation le déclarent vainqueur d’avance, et ne songent qu’à trouver avec lui un « accommodement raisonnable » : Juppé est de ceux-là.
Voilà, très rapidement, pourquoi, si d’aventure il venait à remporter l’élection, dès le résultat annoncé, l’ennemi s’appellerait : Juppé ! •
Avec sa morgue de pseudo intellectuel, ce type est abjecte. Ceci dit, même si les musulmans l’élisent, il ne serait que le président de la république islamique « de France » si toutefois, il existe encore une France ! Il faut espérer qu’un jour, pas trop lointain, il puisse y avoir le Nuremberg des traîtres maçons qui ont livré la France à l’ennemi islamique.