Le 27e tué par balles a été retrouvé, ce samedi 5 novembre, à La Rose, cet ancien quartier paisible de Marseille, devenu, depuis l’immigration-invasion déclenchée par les décrets Chirac sur le regroupement familial, l’un des pôles majeurs de l’insécurité, de la violence, des trafics en tous genres… et des accidents du travail qui vont avec !
Nous avons emprunté ce terme – bien trouvé – d’islamo-gangstérisme à quelqu’un qui a bien de la chance, lui, car il peut tout dire : ancien président de SOS Racisme, aujourd’hui député socialiste (mais probablement dépité après les prochaines législatives…), Malek Boutih n’en finit plus de prôner – mais en paroles seulement, c’est là que le bât blesse… – une politique de fermeté dans les cités et autres zones de non-droit. Il est même allé jusqu’à demander au gouvernement (comme s’il y en avait encore un…) une vraie « offensive anti racailles dans les banlieues ».
Oui, Malek Boutih a bien de la chance de pouvoir se produire un peu partout (journaux, radios, télés) et dire franchement ce qu’il pense, à savoir que l’islamo-gangstérisme règne en maître dans les banlieues. Il a de la chance comme Louis-Georges Tin – mais, lui, c’était il y a trois ans déjà : il semble plus lucide, ou plus rapide, que Malek Boutih* – qui regrettait que François Hollande ait abandonné son électorat des banlieues, lui qui est l’élu « des Noirs et des Arabes ».
On imagine le tollé, et ses suites, si Lafautearousseau parlait de « noirs et d’Arabes », et demandait une « offensive anti racailles ».
Mais peu importe au fond : l’important est que les choses soient dites. Et qu’elles le soient par des responsables du CRAN et – même ancien – de SOS Racisme. Le problème de fond de cette violence, multiforme, qui monte de partout, irrésistiblement, c’est celui des conséquences de l’accueil insensé, en quarante ans, d’une trop grande quantité de personnes, trop différentes par les mœurs, la religion, les mentalités etc.., et à qui, de plus, on n’avait rien de sérieux à offrir en leur ouvrant si follement les portes.
Maintenant que ces masses sont installées, que veut-on qu’elles fassent ? Que les enfants issus de l’immigration – ces « enfants de la République » dont parlait ingénument ou stupidement Jacques Chirac – deviennent, par un coup de baguette magique, de gentils et doux petits Français, bien polis, bien élevés, bien sages en classe, où ils prépareraient consciencieusement un avenir forcément radieux, « républicain » et « citoyen » ?
Il faut en finir avec l’angélisme et le déni de réalité, et voir les choses en face : la greffe voulue par Chirac ne prend pas. Et, curieusement, le rejet ne vient pas, essentiellement, du peuple français, mais bien des populations allogènes, surtout des jeunes, et même des très très jeunes, véritables bêtes fauves dans de très nombreux cas.
Le Système pourra mener toutes les « opérations anti racailles » qu’il voudra, dans les cités, banlieues et autres zones de non droit, ainsi que le demande Malek Boutih; il pourra, comme le demande Louis-Georges Tin, essayer de reconquérir son électorat de « noirs et Arabes », ce qui ne peut conduire, dans les faits, qu’à tenter d’acheter la paix sociale, tentative aussi lâche qu’inéluctablement vouée à l’échec : le « pays parallèle », la « société à côté » (en Afrique du Sud, naguère, on disait « apartheid ») se fiche bien pas mal de notre « République », de ses « Droits de l’Homme » et autres nuées pathétiquement inadaptées à ses propres règles. Cette autre France, qui n’a de France et de Français que le nom et quelques grammes de plastique, ne connaît pas la place Vendôme et son Ministère de la Justice : sa justice à elle, elle ne passe pas par des tribunaux encombrés et des prisons surpeuplées, elle se fait au quotidien, dans la rue, à coup de kalachnikov ; et son seul Code pénal est celui du plus fort : les 27 morts par balle de Marseille sont là pour le rappeler.
Maintenant que le mal a été fait, il n’y a pas d’autre solution que d’y remédier, sous peine de le voir tout submerger : par l’arrêt des entrées en France de nouveaux étrangers, d’abord ; par des déchéances massives de nationalité – suivies d’expulsion immédiate – de toute personne naturalisée qui ne se conformerait pas aux lois de notre pays ou mènerait des actions de terrorisme, ensuite ; enfin, par une politique de longue haleine, permettant à ceux qui se sont mis dans une impasse en venant chercher ici un Eldorado qu’ils n’ont pas trouvé et ne trouveront pas, de retourner se ré-enraciner chez eux, en les y aidant de toutes les façons utiles.
Encore faut-il appeler un chat un chat, et remonter aux sources de ce mal : la folie économico-idéologique de l’immigration, qui a vu se réunir – c’en serait presque drôle – l’extrême-gauche révolutionnaire et les intérêts du grand capital ! Dans une même folie suicidaire qui ne peut conduire qu’à l’implosion du cher et vieux pays…
« A moins que… » comme le disait Charles Maurras, en conclusion de L’Avenir de l’Intelligence … •
Révélation sensationnelle du CRAN : François Hollande est un président « ethnique »
Cher Grain de sel
Je me permets de compléter vos avis de décès avec une information qui me semble de taille, nous sommes en «état d’urgence». Il ne reste plus qu’à demander au zigoto qui occupe un des pouvoirs régaliens, que l’on appelle la Police, ce qui se cache derrière cette formule administrative.
Et je ne résiste pas à communiquer à notre site, un billet de notre maître Xavier Raufer, lu dans la revue CONFLITS, où l’essentiel est dit. A commencer par ce désastre que nous dénonçons depuis le premier jour, le saccage de nos services de Renseignement. Dont le premier responsable fut monsieur Sarkozy avec son livre blanc de 2008.
De XR :
En France, le Renseignement intérieur peine à percevoir à temps les phénomènes réellement dangereux, qu’il s’agisse de l’immédiat péril terroriste ou de celui (à peine plus lointain) que présentent divers individus hybrides entre crime et terrorisme.
Trois semaines avant les attentats de Nice – c’était en plein Ramadan – l’ »Etat Islamique » diffusait sur ses sites une video sous titrée en anglais, menaçant clairement la France et incitant ouvertement les « soldats du califat » à user de véhicules dont des camions pour massacrer des « infidèles ».
Limpidement intitulée « Remplissez vos réservoirs ! », la video expliquait encore comment utiliser des camions à cet effet. Or cette alerte énorme a été totalement « loupée » par le Renseignement intérieur, ce qui ne démontre pas une considérable compétence. Car bien évidemment si cette alerte avait été perçue et rendue publique en temps utile, l’attentat de Nice devenait difficile à commettre.
Graves aussi, et potentiellement lourdes de risques terroristes, les tueries sur fond de rafales d’armes de guerre ou de jets de grenades, notamment dans les fameux « quartiers Nord » de Marseille. En Août, deux voyous tombent encore en plein jour au centre de cette ville, lors d’une « véritable exécution » (dit la police). Trente douilles de kalachnikov jonchent le sol. Des tueries qui ont fait quinze morts dans les huit premiers mois de 2016 à Marseille – au 7 Novembre nous en sommes à 27 … – , ville dont le dynamisme criminel est sans égal dans toute l’Union européenne.
Autre symptôme de l’ordre criminel régnant sans grande opposition dans celle ville : à l’orée d’une cité hors contrôle, un témoin crédible voit récemment de ses yeux des médecins contraints de décliner leur identité médicale à des voyoux cagoulés pour être autorisés à y rejoindre leurs patients. Or comme on a pu le constater depuis 2012 les premiers assassinats terroristes de Mohamed Merah, de tels jeunes criminels peuvent rapidement basculer danss le terrorisme islamiste. Ce devat quoi le gouvernement se borne à gémir « pas d’amalgame avec l’islam » alors que les musulmans lucides ont bien réalisé, eux , l’immensité du danger salafiste-terroriste pour leur religion.
En 1978, Alexandre Soljenitsyne – magnifique expert en fermeté d’âme – avertissait dans un grand discours intitulé Le déclin spirituel de l’Occident : « Le déclin du courage a toujours été considéré comme le signe avant-coureur de la fin. » Aujourd’hui de telles lâchetés et incompétences officielles nous préparent d’inquiétants lendemains.