par Gabriel Robin
Beaucoup de téléspectateurs, journalistes, intellectuels, observateurs, etc., reconnaîtront dans cet excellent billet, ce qu’eux-mêmes ressentent à l’endroit de Jean-Michel Aphatie. Il était bon de le dire. Bien d’accord avec Gabriel Robin [BV – 12.11].
Jean-Michel Aphatie est un propagandiste de la haine de la France. Sa faconde provinciale ne parvient, d’ailleurs, plus à cacher ses véritables motivations. L’expert qui se trompe sur tout ne manque jamais de critiquer les votes des peuples souverains, se demandant parfois si la démocratie est vraiment nécessaire quand les Américains font le choix de leurs libertés retrouvées en élisant Donald Trump. D’une phénoménale outrecuidance, il saisit toujours les occasions qui lui sont offertes pour manifester bruyamment son profond mépris pour notre histoire. Se croyant transgressif, il n’est pourtant que le servile copiste de la morale bourgeoise de l’époque, héritée des « déconstructeurs » des années 60. Ainsi, invité de l’émission « On va plus loin » sur Public Sénat, il a déclaré, toute honte bue :
« L’esprit politique français est fabriqué par le souvenir de Louis XIV, de Napoléon et du général de Gaulle. Quand on fait de la politique en France, Madame, c’est pour renverser le monde. Eh bien, ça, ça n’entraîne que des déceptions. Moi, si un jour je suis élu président de la République, savez-vous quelle est la première mesure que je prendrai ? Je raserai le château de Versailles […] ce serait ma mesure numéro un, pour que nous n’allions pas là-bas en pèlerinage cultiver la grandeur de la France. »
De tels propos sont dignes d’un traître. Ne comprend-il pas que les personnages mondialement connus qu’il cite sont la mémoire toujours vivante de ce qu’il y a de plus beau, de plus sacré et de plus grand dans l’histoire de notre nation ? Qui est Jean-Michel Aphatie, en comparaison ? Un tout petit maton de Panurge, chien de garde d’une élite népotique qui tente de nous entraîner dans sa lamentable agonie. Louis Pauwels avait très admirablement décrit ce monôme de zombies qui avait subverti la nation au début des années 80. Ces zombies ont désormais la calvitie grisonnante. Ils possèdent tout : les médias, les exécutifs politiques, les sièges de parlementaires, une majorité des grandes entreprises… Tout leur appartient. Ils sont si hégémoniques qu’ils se pensent invincibles, bouffis d’orgueil et de suffisance. Ringards, dépassés, profondément anachroniques, ils doivent céder la place à des personnalités plus représentatives de la sociologie contemporaine. Nous ne pouvons décemment pas laisser ces gens rester nos maîtres pour toujours. Il faut les renverser, les décrédibiliser. En déclarant vouloir détruire le château de Versailles, Jean-Michel Aphatie s’est officiellement déclaré en guerre contre la France. Bien plus qu’un adversaire, je crois qu’il est maintenant un ennemi. Partout en Occident, les peuples se retournent contre les prescripteurs d’opinion qui ont précipité leur déclin. Rendons sa grandeur à la France ! Pour cela, il faut d’abord mettre un terme à l’hégémonie culturelle de la gauche bobo. •
Juriste
Perturbé par L’élection de Trump, il s’est démasqué : une haine viscérale, qui lui colle à la peau de la France, donc des français. On songe au portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde, quand celui faisait le beau, dans son cas un peu comme un caniche à la française cherchant son susucre » médiatique, fait éclater son vrai visage. Saisissant!
Moi, si je suis un jour président de la République, je raserais le château de Vizille (près de Grenoble) d’où est parti la révolte nobiliaire (21 juillet 1788) prélude à la révolte de 1789. Degaulle y a dormi, qui aimait se faire mousser légitimité. On dû pour cela acheter un lit plus grand pour ne pas que ses pieds dépassent.
Quant au château de Versailles, n’y touchez pas. C’est là où vécu Louis XVI.
Baudouin
« Raser! » Ce programme n’est pas le mien! Conservons le mieux possible tout ce que nous ont laissé nos aïeux! Restaurons! Pas d’avenir sans passé reconnu, assumé. Et retenons les leçons de ce passé pour essayer de faire le moins d’erreurs possibles!
Je ne sais plus quel révolutionnaire (Saint-Just?) a dit: « Du passé faisons table rase! » Eh bien, mille fois : »Non! »
Et alors ? Ils recevront en grande pompe la reine Eizabeth au centre Pompidou ?
Et l’Elysée ? … Ils ne sont pas foutus d’installer leur république ailleurs ! Tous les châteaux de France les arts les lettres et j’en passe parlent de notre Histoire., et ce qui reste comme vestige leur donne des boutons. Malgrê tous leurs efforts la royauté perdure avec notre existence…
Les boutades d’un journaliste inculte ne sont pas à prendre au sérieux .
Les propos de Jean Michel APATHIE sont une honte