Il a plus de quarante condamnations à son actif, ce voyou délinquant archi-multi récidiviste dont on n’a donné ni le nom ni le prénom (mais, après tout, c’est inutile, car on a très bien compris, par cette omission volontaire, de quel genre d’individu il s’agissait !) : viol sur mineur, incendies, cambriolages, rebellions, conduite sans permis… mais il était libre comme l’air ! Le dernier juge à l’avoir eu en face de lui a décidé, en effet, qu’il devait avoir sa chance. Et il l’a eue, sa chance. Résultat : le « véhicule a délibérément foncé sur les gendarmes, percutant violemment le major Rusig qui est tombé à terre », a déclaré à l’AFP le général Bernard Clouzot, commandant de la région de gendarmerie. Le major devait décéder quelques heures plus tard…
Le procureur a rappelé, après l’odieux assassinat, que ce fauve en liberté avait tenu en sa présence des propos « glaçants », comme disent les journaleux, dans leur jargon : « la prochaine fois ce sera vous ou moi… » et, après les faits, alors qu’il était « menotté dans un véhicule de gendarmerie », un terrible « je vous avais prévenus ».
Bien sûr, comme d’habitude, Bernard Cazeneuve, le préposé aux enterrements d’honnêtes français assassinés par les voyous est venu décorer à titre posthume le gendarme ; et déclarer que tout sera fait, que rien ne sera toléré, qu’une fermeté totale sera appliquée et bla-bla-bla et bla-bla-bla… jusqu’à la prochaine cérémonie funèbre.
Mais quel juge a donc « donné sa chance » à un monstre pareil ? N’est-il pas, ce juge, le premier coupable de l’assassinat du major Rusig ? Et ne doit-il pas, en conséquence, être jugé lui-même ? La réponse ne fait aucun doute, car c’est bien lui, ce juge inconscient, qui a permis que cette bombe humaine rencontre, par un triste hasard, la route de ce gendarme exemplaire, marié et père de deux enfants de 23 et 25 ans, qui commandait depuis 2011 la brigade de Tarascon-sur-Ariège.
Un Français comme tant d’autres, qui accomplissait son devoir, comme tant d’autres, et qui fut victime du laxisme, de l’inconscience et de l’esprit déformé d’un juge (ou plusieurs…).
On l’a dit plusieurs fois, ici, il ne s’agit pas de déclarer « tous pourris » l’ensemble des magistrats de France, mais bien de constater que l’idéologie permissive et laxiste a gangréné un nombre important de juges, ce qui n’est pas du tout la même chose. Dénoncer les juges « folamour » n’est pas critiquer la Justice ou la Magistrature : c’est au contraire demander – ce qui est bien le moins – que Justice et Magistrature échappent à l’esprit de parti et/ou de mode, ainsi qu’au politiquement correct, qui persiste à voir dans le délinquant (ou le terroriste islamiste…) autre chose qu’un délinquant (ou un terroriste islamiste…) … •
Incroyable à quand la révolte . Ces criminels doivent être …… au mur et basta . Grrrrr
Peut-être pourrait-on inscrire le nom de ce juge sur le « mur des con » !!!!!
Il y aurait lieu de suggérer que des citoyens qui se sentent directement concernés (mais qui ne le serait pas?) se portent partie civile contre le juge ou qu’une pétition soit lancée dans un des sites créés à cet effet, et peut-être même de faire les deux ?
C’est exact que la magistrature s’effondre aussi avec le système politique. Ils ont lié leurs sorts. Les politiciens sont détestés de la population ; les magistrats le sont aussi mais ils n’ont pas de nom ni de visage, eux.
Rendons-leur justice et sortons-les de leur obscur anonymat en publiant leur nom et leur photo. Les atroces résultats de leurs décisions absurdes et politiquement orientées méritent bien un petit coup de projecteur et quelques instants de notoriété.
En clair, il faut qu’ils soient connus de la population pour qu’il ne puisse plus se cacher dans leur robe…
Les magistrats effectivement rendent des jugements ou arrêts souvent insensés.( de fait complaisent à l’esprit du monde ) Ils n’ ont jamais ou exceptionnellement le simple courage d’un prof ou enseignant qui tient tête à la meute comme certains l’ont montré Je pense à JFC. ,et à tant d’autres; Le véritable héros des temps modernes, est bien le père de famille au sens métaphorique ( et la mère bien sûr, , comme celle qui transmet le fil des générations , et redit le » fiat’) , l’éducateur qui ne lâche pas prise, de P. de Villiers à l’humble enseignant qui continue à transmettre à l’ombre de sa vocation en résistant à la déferlante des pédagos du Ministère, qui veulent éradiquer tout sens à sa mission. On cherche vainement un magistrat courageux..