On serait tenté d’écrire : A Marseille, rien de nouveau, pour paraphraser le célèbre titre À l’Ouest, rien de nouveau, d’Erich Maria Remarque.
Ou alors, pour paraphraser cette fois Antonio de Oliveira Salazar*, que, à Marseille, on vit « habituellement » dans le crime organisé, le monde de la drogue ayant pignon sur rue, et ayant poussé des racines solides et profondes, qu’il sera bien difficile d’arracher le jour où les pouvoirs publics voudront – enfin ! – éradiquer, partout en France, ces pègres immigrées qui se « font » jusqu’à 90.000 € par jour, dans certaines « cités » (même si c’est un peu moins dans d’autres) en vendant leur saleté de drogue.
Mais, on s’y est fait. Pendant la vente de drogue, les achats de Noël continuent ! pourrait-on dire. Un Noël, soit dit en passant, qui est maintenant, pour beaucoup, vidé de sa substance chrétienne, et remplacé par une écœurante course à la consommation et au matérialisme le plus désolant qui soit.
Oui, on s’y fait, on s’y est fait. Pensez donc : 33 tués, c’est presque trois par mois, alors cela finit par devenir de la routine. Bientôt, à ce rythme-là ce sera tous les jours, comme les bulletins météo, et on n’y fera même plus attention du tout.
Le Système aura réalisé l’objectif de Salazar (mais, bien sûr, pas dans le même sens, pas dans le même esprit !) : faire vivre les Français « habituellement » dans la violence, la délinquance, la drogue et l’islamo-gangstérisme partout, tel un cancer, étendant ses tentacules de plus en plus loin de ses bases de départ. La 33e victime – dont on ne donne ni nom ni prénom : tout le monde a compris. – avait 19 ans, et a tout de même reçu quinze balles : tant qu’à faire, autant ne pas lésiner !
Règlement de comptes dans les « quartiers nord », disent, fatalistes, les policiers du cru. Bref, rien que du devenu très banal, du très… habituel dans notre Système qui préside à l’affaissement du pays, et à son enfoncement dans tout ce qui ronge, gangrène, détruit toute société digne de ce nom… •