Mémorial Léon Blum {Israël)
Cambadélis a voté Léon Blum ! Il s’agissait pour lui et pour le PS – ce lundi 9 janvier – de la simulation de vote destinée à vérifier la bonne préparation de la primaire de la gauche : il fallait tester les bureaux de vote, le bon déroulement du vote proprement dit et tutti quanti… Quatre bulletins « d’essai » avaient été imprimés : l’un portait le nom de Léon Blum (choisi, donc, par Cambadélis), ce Léon Blum qui n’a pas su utiliser le temps dont il disposait, avant la guerre, pour armer la France, alors qu’Hitler transformait l’Allemagne en forge de Vulcain ; les trois autres noms étant Jean Jaurès (le pacifiste plus que naïf, qui fit pourtant baptiser ses enfants, et ne renia jamais sa foi chrétienne, en pleine période d’hystérie antichrétienne de la jeune IIIe République…), Colette Audry (très connue dans son immeuble), et la sinistre Louise Michel : vous savez, cette communarde qui mit le feu à Paris, en détruisant des trésors d’art inestimables, notamment le Palais des Tuileries. « Paris sera à nous ou n’existera plus ! », disait-elle, illustrant parfaitement l’esprit révolutionnaire ; et s’inscrivant dans la ligne d’un Carrier, qui déclarait « Nous ferons de la France un cimetière plutôt que de ne pas la régénérer à notre façon ! »
Nous laisserons Jean-Christophe Cambadélis à ses amitiés si surprenantes. Et nous préférerons, puisque nous sommes le 11 janvier, faire mémoire d’une autre personnalité, autrement sympathique, et ô combien plus attachante : le Maréchal de Lattre de Tassigny (mort le 11 janvier 1952).
Il disait : « A la Grèce, nous devons surtout notre raison logique. A Rome, nos maximes de droit et de gouvernement. Mais à l’Evangile nous devons notre idée même de l’homme. Si nous renions l’Evangile, nous sommes perdus. »
Combien cela nous change d’un Blum ou d’une Louise Michel ! Voilà, certes, un modèle, un ami, bien préférable à ceux de Jean-Christophe Cambadélis !…
Et comme ses mots sonnent juste, au moment où l’Europe subit sa troisième agression par l’Islam : après les deux premières agressions militaires (celle de 711, par l’Espagne et Gibraltar, et celle de 1453, par Constantinople) voici l’agression démographique et mentale, tout aussi dangereuse.
Et pour s’y opposer, quoi ?
Comme le disait Chateaubriand – à qui la phrase de de Lattre fait écho – « Chassez le christianisme et vous aurez l’Islam… » •
Les gens de France ont l’esprit troublé? En premier point, quant ils pensent socialisme, ils pensent social, autrement dit politique pour les humbles; or les socialistes devenus depuis 81 de hauts notables embourgeoisés, n’ont que faire des gens du peuple. On peut confirmer que seul Monsieur Védrine s’approche du mot élite. Deuxième point: Dans tous les esprit du peuple de France, la religion qui impose un Dieu inventé par l’homme, ne répond plus à l’attente. Pour preuve ils reviennent à la nature et à sa préservation, c’est un retour moderne à la croyance des réalités terrestres et cosmiques. La séparation par l’intelligence plus ou moins laïque correspond à une certaine liberté; or nos idéalistes de gauche comme ceux de droite nous imposent une religion inventée à l’époque ou Charles Martel refoulait les Arabes de Poitiers. Personne ne comprend, n’imagine , ne pense réellement que nos élus travaillent pour changer la population et imposer l’Islam en France ( uniquement pour conserver ou améliorer leurs avantages); et pourtant ils réalisent patiemment chaque jour le grand changement et ils sont aidés en cela par certaines églises et leur supérieur, Si Monsieur De Villier à raison,et comme nul ne l’a démenti, demain la France n’aura plus à chercher ses héros. C’est vrais que nous n’avons que peu de mémoire et d’analyse des faits historiques, sinon nous saurions que ce sont les mêmes dirigeants qui ont fait les grandes guerres, puis perdre avec douleurs humaines l’Indochine, l’Algérie et les autres pays colonisés. Les Anglais que certains caricaturent nous ont montré à la sortie de la guerre, par le couronnement de la Reine, comment ont peut être rassemblés et humanistes envers le monde qui évolue.