« … auquel les populations autochtones de la vieille Europe ne sont pas préparées. »
Je dirais plus précisément :
– auquel les populations autochtones de la vielle Europe ne veulent pas.
En effet, nous n’avons jamais été consultés, en France, par référendum pour nous prononcer sur cette question d’immigration imposée.
Il est évident que nous allons vers une confrontation inévitable. C’est une question maintenant de survie. S’il y a plus de 10 % de population allogène c’est un fait, quasi-mathématique que les autochtones, sur la durée, sont menacés d’être remplacés par une autre population avec d’autres mœurs, une natalité galopante, à l’identique de celle des Pays du Tiers-Monde… UNE AUTRE REALITE D’ETRE AU MONDE.
C’est une situation absurde. Le bon sens y est absent.
En effet, quoi de plus naturel que de vouloir dire NON à ce cauchemard que l’on nous impose. Quoi de plus légitime et naturel que de vouloir protéger son intégrité culturelle et spirituelle?! Quoi de plus normal que de vouloir vivre enracinés sur le sol de ses ancêtres? Nous y sommes légitimes.
Quoi de plus évident et allant de soi que de vouloir transmettre à ses enfants et petits enfants ses héritages matériels et spirituels afin de leur épargner des errances existentielles. Il est vital et légitimes de leur donner toutes les bonnes raisons d’être au monde et de vivre debout… afin de vivre conscient, vers l’accomplissement de leur être. Qu’ils y trouvent leur place. Et ainsi, par voie de conséquence, de contribuer à leur tour aisément à la prospérité et à la pérennité de leur Pays ancestral?!
Nous avons oublié qu’un être humain est un être de conscience… C’est le pivot de sa vie terrestre. Nous sommes dotés d’une intelligence et d’une intériorité.
Un être humain a un besoin vital et primordial de se nourrir, de se vêtir mais aussi de Transcendance. Un être humain a besoin d’équilibre et de racines terrestres et célestes pour vivre dignement ; s’accomplir et être véritablement heureux de vivre, autant pour son accomplissement personnel que pour contribuer naturellement à celui des autres… car nul n’est une île.
Et il est évident qu’il y a un ordonnancement naturel, voire surnaturel de cette réalité : il convient de prendre soin en priorité de nous-même afin de n’être une charge pour personne… puis de nos familles, de nos parentés, de nos voisins, etc.
Il faut cesser de considérer au dépend de la survie des nôtres, dans une sorte de folie imaginaire et conceptuelle éperdue, les étrangers comme étant une priorité absolue.
Il y a là une mauvaise interprétation de la réalité des choses et aussi, c’est évident, une grâve carence d’ordre spirituelle.
Nous devons accueillir en conscience et avec discernement le Réel intérieur et extérieur. Ce qui veut dire la part étrangère et encore inconnue qui demeure en nous-mêmes… De même, que nous devons accueillir, si nous le pouvons, l’étranger à titre personnel quand il vient de l’extérieur et seulement pour des vraies raisons lorsqu’il est réellement en grand danger de mort… et ceci, bien sur, pour un temps. Celui de refaire ses forces vives afin de mieux revenir sur la Terre de ses Ancêtres pour y défendre sa famille, ses biens et sa civilisation.
Nous pouvons seulement accueillir des personnes et sûrement pas des Peuples entiers, ou des masses hétérogènes… d’autant pour de mauvaises raisons ; quand ces gens à l’évidence sont venus en conquérants… sous peine de disparaître à notre tour.
Comment ne pas comprendre cette évidence, maintenant?!
Il semblerait que nous assistons en direct à la mort de l’intelligence! Il est évident qu’il y a une hypnose collective entretenue par de la propagande et des peurs ; des manipulations conceptuelles et émotionnelles.
Nous avons besoin de racines terrestres et spirituelles pour croître et nous épanouir ; c’est-à-dire: donner des fruits pour les transmettre à nos descendants… Nous avons besoin d’être de quelque part. Si nous n’intégrons pas rapidement cette réalité, nous deviendrons des errants sur la Terre.
Nous sommes déjà pour une bonne part, des étrangers pour nous-mêmes, sur notre propre sol. Nous avons perdu le sens de la vraie vie… Nous avons consentis, comme face à une fatalité, à vivre en esclaves…
Nous devons retrouver La Mémoire et nous poser les bonnes questions pour agir « juste » ; là, nous aurons le support de La Vie.
Bientôt, nous n’y serons plus légitimes sur le sol de nos Anciens et, à l’étape suivante qui est déjà bien entamée, lorsque notre réalité sera complètement falsifiée : Histoire, Institutions, Us et coutumes et Traditions… et tous nos nombreux savoirs faire perdus, il nous sera demandé par l’oligarchie internationale et les traitres de chez nous qui ont capturé le pouvoir et sont censés « nous gouverner… » de nous soumettre aux nouvelles « normes » artificielles, ou de partir sur les routes, à notre tour pour devenir des mendiants, des « nomades » comme ils disent avec grandiloquence (!) Tandis que nous sommes légitimes chez nous et assis sur un trésor construit et transmis par nos Anciens, à travers le long couloir du temps.
Aucun argument n’est recevable face à cette évidence.
Et sûrement pas qu’il s’agit là de migration due à la guerre dont nous serions les artisans indirects… Nous n’avons jamais été concertés en tant que Peuple dans aucune décision que nous réprouvons pour la plupart d’entre-nous.
Nous avons tous constaté qu’il s’agit là d’une invasion de jeunes hommes en pleine force de l’âge, de culture et de religion musulmane, se comportant comme des prédateurs auprès des femmes jeunes et moins jeunes (jusqu’à 67 ans lorsqu’il s’agit d’agressions sexuelles) et comme des parasites auprès des Associations dites humanitaires. Dans la réalité des faits, ils vivent aux dépends des gens du Peuple de France affaiblis, et de leurs impôts… Ces hommes jeunes sont à l’évidence prêt à en découdre pour s’installer chez nous et y vivre à notre place…. et finalement nous imposer une autre civilisation une autre « religion » et un abaissement évident des consciences et de fait de la dignité humaine… et nous le savons, de la place de la femme occidentale.
– Et, en tant que femme, cela m’est insupportable… Je ne pourrais pas admettre que nos hommes ne nous défendent pas. –
Faudra-t’il que nous prenions les armes, nous les femmes, pour nous défendre, à notre tour, comme le font en ce moment même les jeunes femmes kurdes contre la barbarie de l’islam vécue de manière littérale et radicale?! J’ai vu les images de cette réalité… et je vous assure que mes yeux en pleuraient tout seul. (voir reportage sur inter net.)
Pour ce qui me concerne, je ne dis plus « l’islamisme » ; je vois les choses comme elles sont d’autant que j’ai ouvert un coran pour vérification. On ne me fera plus prendre des vessies pour des lanternes. Je sais lire tout de même! Et je sais constater « ce qui est. »
Il n’est pas question que je me laisse endormir par « le politiquement correct » et la bienpensance, d’où quelle soit. « Seule la vérité rend libre » à dit le Christ par St-Jean. Ne pas admettre ce qui est, c’est aussi contribuer à entretenir le mensonge et le mal qui prospère en ce monde bien malade, par les temps actuels.
Ne pas admettre « ce qui est » « est une cécité grâve qui peut nous mener à notre désintégration, en tant que personne mais aussi en tant que Peuples et race blanche ; à notre disparition des Pays d’Europe, voire même de la surface de La Terre.
En effet, c’est notre devoir, nous ne devons pas consentir à la mixité généralisée érigées comme une nécessité et une vérité absolue… c’est-à-dire un dogme,. Si nous acceptons cela comme une fatalité incontournable et sous quelques faux prétextes et fausses culpabilisations… cela veut dire que nous acceptons de disparaître d’ici quelques dizaines d’années, et peut être en moins de dix ans si le rythme des invasions s’accélère et ne cesse pas complètement et si l’on ne fait rien contre la progression voulue et sans limite des naissances des communautés étrangères chez nous… Nous savons bien qu’il s’agit là d’une stratégie, d’un plan funeste et cynique pour nous noyer de l’intérieur et faire de nous une minorité sur notre propre sol.
Ne pas admettre cette réalité est un manque évident de conscience et de courage… c’est fuir le Réel. C’est démissionner de son identité profonde d’être un être humain avec une conscience, pour devenir des esclaves consentants et des sous-êtres.
Bien sûr, il y a Cette Réalité Transcendante que l’on nomme Dieu et que nous ne devons pas oublier ni dans nos vies personnelles ni en ce qui concerne la vie de notre cher vieux Pays…. mais nous avons, de prime abord, un devoir de conscience personnel à réaliser. Nous devons nous positionner face à la réalité que nous vivons sous peine de disparaître de la surface de La Terre et de nous dissoudre dans un magma immonde dont aucun d’entre nous n’en sortirait indemne.
Puissent les forces vives de notre Pays émerger et se rassembler enfin pour mener à bien le combat légitime à notre survie jusqu’à la Victoire contre les forces obscures de l’ignorance présentes en nous-mêmes et à l’extérieur qui nous ont mené là où nous sommes : au bord de l’abîme et du néant.
Nous vaincrons avec l’aide du Bon-Dieu… Il ne faut pas en douter.
Voilà ce que m’inspire à l’automne de ma vie, cette réalité actuelle!
Bonne année 2017, jour après jour.

« … auquel les populations autochtones de la vieille Europe ne sont pas préparées. »
Je dirais plus précisément :
– auquel les populations autochtones de la vielle Europe ne veulent pas.
En effet, nous n’avons jamais été consultés, en France, par référendum pour nous prononcer sur cette question d’immigration imposée.
Il est évident que nous allons vers une confrontation inévitable. C’est une question maintenant de survie. S’il y a plus de 10 % de population allogène c’est un fait, quasi-mathématique que les autochtones, sur la durée, sont menacés d’être remplacés par une autre population avec d’autres mœurs, une natalité galopante, à l’identique de celle des Pays du Tiers-Monde… UNE AUTRE REALITE D’ETRE AU MONDE.
C’est une situation absurde. Le bon sens y est absent.
En effet, quoi de plus naturel que de vouloir dire NON à ce cauchemard que l’on nous impose. Quoi de plus légitime et naturel que de vouloir protéger son intégrité culturelle et spirituelle?! Quoi de plus normal que de vouloir vivre enracinés sur le sol de ses ancêtres? Nous y sommes légitimes.
Quoi de plus évident et allant de soi que de vouloir transmettre à ses enfants et petits enfants ses héritages matériels et spirituels afin de leur épargner des errances existentielles. Il est vital et légitimes de leur donner toutes les bonnes raisons d’être au monde et de vivre debout… afin de vivre conscient, vers l’accomplissement de leur être. Qu’ils y trouvent leur place. Et ainsi, par voie de conséquence, de contribuer à leur tour aisément à la prospérité et à la pérennité de leur Pays ancestral?!
Nous avons oublié qu’un être humain est un être de conscience… C’est le pivot de sa vie terrestre. Nous sommes dotés d’une intelligence et d’une intériorité.
Un être humain a un besoin vital et primordial de se nourrir, de se vêtir mais aussi de Transcendance. Un être humain a besoin d’équilibre et de racines terrestres et célestes pour vivre dignement ; s’accomplir et être véritablement heureux de vivre, autant pour son accomplissement personnel que pour contribuer naturellement à celui des autres… car nul n’est une île.
Et il est évident qu’il y a un ordonnancement naturel, voire surnaturel de cette réalité : il convient de prendre soin en priorité de nous-même afin de n’être une charge pour personne… puis de nos familles, de nos parentés, de nos voisins, etc.
Il faut cesser de considérer au dépend de la survie des nôtres, dans une sorte de folie imaginaire et conceptuelle éperdue, les étrangers comme étant une priorité absolue.
Il y a là une mauvaise interprétation de la réalité des choses et aussi, c’est évident, une grâve carence d’ordre spirituelle.
Nous devons accueillir en conscience et avec discernement le Réel intérieur et extérieur. Ce qui veut dire la part étrangère et encore inconnue qui demeure en nous-mêmes… De même, que nous devons accueillir, si nous le pouvons, l’étranger à titre personnel quand il vient de l’extérieur et seulement pour des vraies raisons lorsqu’il est réellement en grand danger de mort… et ceci, bien sur, pour un temps. Celui de refaire ses forces vives afin de mieux revenir sur la Terre de ses Ancêtres pour y défendre sa famille, ses biens et sa civilisation.
Nous pouvons seulement accueillir des personnes et sûrement pas des Peuples entiers, ou des masses hétérogènes… d’autant pour de mauvaises raisons ; quand ces gens à l’évidence sont venus en conquérants… sous peine de disparaître à notre tour.
Comment ne pas comprendre cette évidence, maintenant?!
Il semblerait que nous assistons en direct à la mort de l’intelligence! Il est évident qu’il y a une hypnose collective entretenue par de la propagande et des peurs ; des manipulations conceptuelles et émotionnelles.
Nous avons besoin de racines terrestres et spirituelles pour croître et nous épanouir ; c’est-à-dire: donner des fruits pour les transmettre à nos descendants… Nous avons besoin d’être de quelque part. Si nous n’intégrons pas rapidement cette réalité, nous deviendrons des errants sur la Terre.
Nous sommes déjà pour une bonne part, des étrangers pour nous-mêmes, sur notre propre sol. Nous avons perdu le sens de la vraie vie… Nous avons consentis, comme face à une fatalité, à vivre en esclaves…
Nous devons retrouver La Mémoire et nous poser les bonnes questions pour agir « juste » ; là, nous aurons le support de La Vie.
Bientôt, nous n’y serons plus légitimes sur le sol de nos Anciens et, à l’étape suivante qui est déjà bien entamée, lorsque notre réalité sera complètement falsifiée : Histoire, Institutions, Us et coutumes et Traditions… et tous nos nombreux savoirs faire perdus, il nous sera demandé par l’oligarchie internationale et les traitres de chez nous qui ont capturé le pouvoir et sont censés « nous gouverner… » de nous soumettre aux nouvelles « normes » artificielles, ou de partir sur les routes, à notre tour pour devenir des mendiants, des « nomades » comme ils disent avec grandiloquence (!) Tandis que nous sommes légitimes chez nous et assis sur un trésor construit et transmis par nos Anciens, à travers le long couloir du temps.
Aucun argument n’est recevable face à cette évidence.
Et sûrement pas qu’il s’agit là de migration due à la guerre dont nous serions les artisans indirects… Nous n’avons jamais été concertés en tant que Peuple dans aucune décision que nous réprouvons pour la plupart d’entre-nous.
Nous avons tous constaté qu’il s’agit là d’une invasion de jeunes hommes en pleine force de l’âge, de culture et de religion musulmane, se comportant comme des prédateurs auprès des femmes jeunes et moins jeunes (jusqu’à 67 ans lorsqu’il s’agit d’agressions sexuelles) et comme des parasites auprès des Associations dites humanitaires. Dans la réalité des faits, ils vivent aux dépends des gens du Peuple de France affaiblis, et de leurs impôts… Ces hommes jeunes sont à l’évidence prêt à en découdre pour s’installer chez nous et y vivre à notre place…. et finalement nous imposer une autre civilisation une autre « religion » et un abaissement évident des consciences et de fait de la dignité humaine… et nous le savons, de la place de la femme occidentale.
– Et, en tant que femme, cela m’est insupportable… Je ne pourrais pas admettre que nos hommes ne nous défendent pas. –
Faudra-t’il que nous prenions les armes, nous les femmes, pour nous défendre, à notre tour, comme le font en ce moment même les jeunes femmes kurdes contre la barbarie de l’islam vécue de manière littérale et radicale?! J’ai vu les images de cette réalité… et je vous assure que mes yeux en pleuraient tout seul. (voir reportage sur inter net.)
Pour ce qui me concerne, je ne dis plus « l’islamisme » ; je vois les choses comme elles sont d’autant que j’ai ouvert un coran pour vérification. On ne me fera plus prendre des vessies pour des lanternes. Je sais lire tout de même! Et je sais constater « ce qui est. »
Il n’est pas question que je me laisse endormir par « le politiquement correct » et la bienpensance, d’où quelle soit. « Seule la vérité rend libre » à dit le Christ par St-Jean. Ne pas admettre ce qui est, c’est aussi contribuer à entretenir le mensonge et le mal qui prospère en ce monde bien malade, par les temps actuels.
Ne pas admettre « ce qui est » « est une cécité grâve qui peut nous mener à notre désintégration, en tant que personne mais aussi en tant que Peuples et race blanche ; à notre disparition des Pays d’Europe, voire même de la surface de La Terre.
En effet, c’est notre devoir, nous ne devons pas consentir à la mixité généralisée érigées comme une nécessité et une vérité absolue… c’est-à-dire un dogme,. Si nous acceptons cela comme une fatalité incontournable et sous quelques faux prétextes et fausses culpabilisations… cela veut dire que nous acceptons de disparaître d’ici quelques dizaines d’années, et peut être en moins de dix ans si le rythme des invasions s’accélère et ne cesse pas complètement et si l’on ne fait rien contre la progression voulue et sans limite des naissances des communautés étrangères chez nous… Nous savons bien qu’il s’agit là d’une stratégie, d’un plan funeste et cynique pour nous noyer de l’intérieur et faire de nous une minorité sur notre propre sol.
Ne pas admettre cette réalité est un manque évident de conscience et de courage… c’est fuir le Réel. C’est démissionner de son identité profonde d’être un être humain avec une conscience, pour devenir des esclaves consentants et des sous-êtres.
Bien sûr, il y a Cette Réalité Transcendante que l’on nomme Dieu et que nous ne devons pas oublier ni dans nos vies personnelles ni en ce qui concerne la vie de notre cher vieux Pays…. mais nous avons, de prime abord, un devoir de conscience personnel à réaliser. Nous devons nous positionner face à la réalité que nous vivons sous peine de disparaître de la surface de La Terre et de nous dissoudre dans un magma immonde dont aucun d’entre nous n’en sortirait indemne.
Puissent les forces vives de notre Pays émerger et se rassembler enfin pour mener à bien le combat légitime à notre survie jusqu’à la Victoire contre les forces obscures de l’ignorance présentes en nous-mêmes et à l’extérieur qui nous ont mené là où nous sommes : au bord de l’abîme et du néant.
Nous vaincrons avec l’aide du Bon-Dieu… Il ne faut pas en douter.
Voilà ce que m’inspire à l’automne de ma vie, cette réalité actuelle!
Bonne année 2017, jour après jour.