Paris, matinée du vendredi 3 février, Palais du Louvre. Un terroriste islamiste, armé d’une machette et d’une autre arme blanche, se précipite sur un militaire en criant le sinistre Allahou Akbar. Le soldat riposte par cinq balles, et le met hors d’état de nuire. Excellent réflexe, méthode à suivre : Messieurs les militaires et les policiers, tirez les premiers ! Et tirez pour mettre hors d’état de nuire, s’il le faut pour tuer, n’ayons pas peur des mots ! Vous qui êtes chargés de la défense de la France contre ces terroristes, répondez à la folie meurtrière par l’usage résolu des armes, d’une main ferme et qui ne tremble pas. Mieux vaut un terroriste islamiste mort qu’un Français, soldat ou civil, blessé.
Et, au moins, on n’encombrera pas nos prisons de gibier de peloton d’exécution, comme ce sinistre Salah Abdeslam que l’on continue à engraisser et à qui l’on offre une salle de sport privée alors qu’une Cour martiale reconstituée (puisque nous sommes en guerre) aurait dû le juger, depuis son arrivée sur le sol national, la sentence, en temps de guerre, pour les traîtres (puisque le Salah est officiellement français, mais ‘ «de plastique » seulement) étant d’ordinaire le peloton d’exécution. Qu’est-ce qu’on attend ? Sommes-nous en guerre, ou pas ? Le Salah a-t-il fait allégeance à l’armée ennemie, ou pas ? Oui ! Donc, recréons, comme cela s’est toujours fait en temps de guerre une Cour martiale, jugeons-le, et exécutons la sentence…
Quant à nos soldats et forces de police dans la rue, qu’ils continuent à défourailler sans trembler, avec un seul objectif : sortir les assassins du circuit !
Qu’ils pensent à cette phrase de Voltaire, adaptée au temps présent : les fous furieux de Daech ne valent pas les os d’un soldat français !…
Dernière chose : protestons à nouveau contre ces journaleux ignares qui reprennent systématiquement le mot de « martyr » que s’octroient les assassins islamistes. Non, ils ne sont pas martyrs, et il ne faut pas leur faire le cadeau de les appeler tels. « Je ne puis rien nommer, si ce n’est par son nom. / J’appelle un chat un chat, et Rollet un fripon », disait Boileau.
Faisons comme lui, nommons les choses par leur nom : un assassin est un assassin, en aucun cas le héros pur qu’est un martyr. •
Il y a un siècle, la république n’a pas hésité à faire passer devant le peloton d’exécution les « lâches » qui ont reculé devant l’ennemi. Pourtant, il était bien Français et ce n’était pas des assassins. Ils avaient accompli leur devoir avec courage, parce qu’il fallait forcément en avoir en 1916, en 1917, pour faire face à l’artillerie lourde allemande, alors que la république avait fait désarmé les forts et envoyait les soldats avec des fusils pour faire face à des canons de longue portée. Les temps ont-ils changés ? La république préfère toujours condamner à mort des Français plutôt que des terroristes islamistes. Pourtant, eux, sont de véritables assassins ! Alors, qu’on donc fait les Français pour être autant méprisés par cette république, quelque en soit le chiffre, depuis sa naissance officieuse en 1792 et depuis sa naissance officielle en 1877 ? Qu’ont-ils donc fait pour que la vie d’un islamiste vaille plus que celle d’un soldat français, aux yeux de cette république aux « valeurs » inversées !
bien fait mais fallait tirer plus haut .Ces pourceaux ne méritent aucune pitié .
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