Les faits (Source : France info)
Cinquante-cinq personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, ce mardi 7 mars pour « attroupement armé et jets de projectiles » dans et devant le lycée Suger de Saint-Denis (et aussi dans et devant les lycées Bartholdi et Paul Eluard), mais aussi… dans la rue !
Les faits se sont produits vers 10 heures ce matin-là, au moment de la récréation. Professeurs et élèves ont entendu une grosse explosion dans le hall du lycée. L’air est devenu irrespirable, à cause de la fumée. Les élèves ont donc été conduits dans la cour de l’établissement. Au même moment, un groupe de jeunes s’est introduit dans le lycée et a tenté d’allumer un incendie dans trois endroits distincts de l’établissement. Ils sont ensuite entrés dans l’un des bâtiments et y ont répandu de l’essence. Les départs de feu ont été rapidement maîtrisés…
Après l’évacuation des élèves, des fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs individus armés de pierres, de mortier, d’explosifs et de cocktails Molotov…
Notre commentaire
Le roi du Maroc, Hassan II, père de l’actuel roi Mohammed VI, avait raison, et savait de quoi il parlait, lui qui est descendant du Prophète et « Amir al-Mu’minin » (c’est-à-dire « Commandeur des Croyants ») lorsqu’il parlait à une Anne Sinclair, visiblement déstabilisée, de l’immigration en France.
Avec lucidité, il disait : Vous faites une grande violence à tous ces musulmans marocains [il ne voulait pas parler des Algériens, Tunisiens ou autre Africains, s’en tenant, à juste titre, à son rôle de roi du Maroc], en leur demandant de s’intégrer ou de s’assimiler à votre culture. Ils sont marocains et musulmans et ils le resteront ; ils ne seront jamais français à cent pour cent ; vous arriverez peut-être à maîtriser la première et la deuxième génération, mais la troisième ou la quatrième vous exploseront au visage…
Nous y sommes.
Il ne faut pas se leurrer : à l’heure où un apprenti sorcier nommé Macron envisage sérieusement d’ouvrir encore plus les portes à une immigration africaine encore plus importante, l’immigration déjà installée en France règne en maîtresse dans plus de 1.500 quartiers ou cités (et peut-être 2.000, et peut être plus). Dans ces zones de non-droit, dont tout le monde sait l’existence mais que personne ne veut nommer dans le Pays légal, qui brade la France, cette immigration est déjà, de fait, maîtresse du terrain. Dès qu’elle se sentira prête, assez sûre d’elle, elle déclarera « zone islamique » telle ou telle cité, tel ou tel quartier.
Que fera-t-on, alors ?
Parmi la cinquantaine de « jeunes » interpellés, quasiment tous sont mineurs. Légalement, quasiment tous sont français. Mais « Français de plastique » seulement, et « sans avoir l’esprit ni le cœur français », comme le disait Charles de Foucaud.
Fortement islamisés, ou « ré-islamisés », ces « jeunes » croient au dogme fondamental du Medhi, expliqué par le père de Foucaud : « tout musulman, (je ne parle pas des libres penseurs qui ont perdu la foi), croit qu’à l’approche du jugement dernier le Medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l’islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l’islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui, musulman, ou ses descendants ; s’il est soumis à une nation non musulmane, c’est une épreuve passagère ; sa foi l’assure qu’il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l’engage à subir avec calme son épreuve ; «l’oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s’il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération», disent-ils ; …mais, d’une façon générale, sauf exception, tant qu’ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du Medhi, en lequel ils soumettront la France. »
Ce jour-là, n’en doutons pas, est proche. Une grande insurrection se profile, dont nous ne savons ni le jour, ni l’heure, ni le lieu (ou les lieux). Mais elle arrive, c’est évident, elle est même déjà là, de fait, attendant son heure et rongeant son frein, d’une façon de moins en moins cachée.
Et si, d’aventure, cette insurrection triomphait – et là où elle triompherait… – nous n’aurions le choix qu’entre deux solutions : nous convertir sous la contrainte ; ou partir loin de chez nous.
Alors, sans hésiter, nous en choisirions une troisième : nous battre pour la Libération nationale. •
Prends ton fusil Grégoire
Prends ta gourde pour boire
Prends ta vierge d’ivoire
Nos messieurs sont partis
Pour délivrer Paris !!
Il n’y a rien d’autre à dire
Plus vite cette insurrection arrivera, plus nous aurons une chance d’en triompher… Dans quelques années, il sera vraiment trop tard.
C’est pourquoi la Présidentielle prochaine, en ceci qu’elle peut amener un désordre fou et une atmosphère ici et là insurrectionnelle est, paradoxalement, une chance…
le grand tord que nous avons ,c’est justement d’attendre qu’ils soi prets
il nous faut un fédérateur pour nous rassembler dans le camp des resistants . rentrer dans l’Ombre. pour commencer à netoyer
il nous faut un fédérateur pour nous rassembler dans le camp des resistants . rentrer dans l’Ombre. pour commencer à netoyer
Nous battre avec quoi ? Si les « banlieues » sont armées et surarmées par les trafics de toutes sortes, les honnêtes citoyens, eux, sont totalement désarmés et en conséquence en état d’infériorité face aux meutes hurlantes qui déferleront. Comment donc se préparer à faire face et à se battre ?
On ne fait que récolter l’incurie et la lâcheté des gouvernements précédents;Pour être précis de Giscard à Hollande. A l’évidence il faut supprimer le droit du sol totalement obsolète.Puis s’inspirer des sages décisions de M. Viktor Orban, premier ministre de la Hongrie. Faute de quoi tôt ou tard une guerre civile sera inévitable.
Tjs constater, décrire, s’alarmer et rien de concret sur les remèdes, les solutions douces ou dures à essayer. On a piaillé pareil contre Hitler et rien entrepris. Avant qu’il soit trop tard. Faire comme Israël ? Comme la Hongrie ? Organiser une partition ? Panacher de fortes réactions pour trouver la meilleure. « Prends ton fusil, Grégoire ! »
A Roger Carcellé
Au fond, vous avez ou vous vous êtes posé une question à laquelle vous apportez plusieurs réponses. Que faire ? Vous l’avez dit. Les formes peuvent être panachées. Et la vieille formule « Par tous les moyens même légaux » peut être reprise. Je ne suis pas trop attiré par l’idée brouillonne d’appeler les citoyens à s’armer pour la lutte ! C’est la solution de tous les dangers. Ce pourrait être l’ultima ratio. Mais tant qu’il y a une administration, des forces de police et de gendarmerie, des forces armées encore constituées, il est beaucoup plus sérieux de compter sur elles. Elles agiraient s’il y avait un pouvoir politique et plus efficacement que des « milices citoyennes ». Ce qui ne veut pas dire que les réactions citoyennes au cas par cas et le redressement citoyen, moral, mental et identitaire ne doive pas être encouragés. Mais en toutes circonstances, j’ai tendance à me méfier de l’exaltation.