Une forte demande s’exprime dans la population française : retrouver la proximité. Habiter ensemble, c’est « co » habiter et établir des solidarités de bon voisinage.
Pour le pouvoir, nous sommes des consommateurs (individualistes) à la recherche de produits pour pallier le manque de rapports humains et conviviaux.
Cette massification informe, suscite, dans le corps social des défenses qu’il conviendrait d’encourager.
La tradition de l’organisation sociale de proximité; s’appuie sur le principe nouveau de la démocratie participative. Le désir de redonner au peuple sa responsabilité active est regardé comme une solution alternative à la seule démocratie représentative.
Développement social territorial
Jean François Bernoux préconise le diagnostic social sur des territoires identifiés. Il s’agit simplement de rendre chaque habitant acteur de l’étude et du projet collectif partagé. Cela suppose que chacun se réapproprie ce qui constitue l’histoire commune avant d’envisager le devenir commun.
Il s’agit par cette démarche de rendre collectivement les populations actrices de leur devenir en permettant l’épanouissement des communautés naturelles et la dynamisation des communautés de destin.
Mais pour cela nous rappellerons qu’il faut au plus haut niveau de la société une clé de voute de la nation : Un état libre, fort, indépendant et s’inscrivant dans la durée, s’arrogeant les seuls pouvoirs régaliens, (justice, police, politique étrangère et défense) qui garantira l’équilibre des forces dans ce jeu complexe. •
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Voilà une belle perspective proudhonienne
pour faire court entre démocratie et oligarchie il faut une subsidiarité de qualité avec une autorité positive c’est à dire en mesure de faire remonter les opinions du terrain et être en mesure de les verbaliser dans la vérité !
sinon chienlit garantie !
vous pouvez toujours voir le réveil il n’est jamais trop tard
bonne journée