Colloque du 13 mai 2017 : REFONDER LE BIENCOMMUN
Invité d’honneur le prince Jean de France, duc de Vendôme
L’intérêt général n’est pas la somme des intérêts particuliers. L’intérêt du moment n’est pas celui de l’avenir. Comment déterminer, aujourd’hui, dans le contexte actuel mais pour les générations à venir, ce qui est bien, juste, bon, durable, efficace, légitime ? Et comment s’assurer que la société mettra en œuvre les moyens nécessaires pour atteindre le but fixé ? Comment surtout ne pas tendre vers l’utopie mais s’inscrire dans la réalité, forcément mobile, de la nature, des êtres, des gens, des communautés, des peuples, des nations ?
Introduction :
François Marcilhac, directeur politique de l’Action Française 2000
Table ronde 1 : BIEN COMMUN ET GOUVERNEMENT IDEAL
Animateur : Stéphane Blanchonnet, président du Comité Directeur de l’Action Française
Comment définir le Bien commun et peut-il être mieux servi par une forme de gouvernement que par une autre ? La participation politique des sujets sociaux à la vie de la Cité est-elle une condition, une marque du Bien commun ? Et quels sont ces sujets sociaux : personnes, familles, entreprises, associations, régions, peuples ? Ont-il tous un rôle à jouer ?
+ Guillaume Bernard, maître de conférences à l’ICES : « Le bien commun. »
+ Pierre-Yves Rougeyron, directeur de la revue Perspectives Libres, Président du Cercle Aristote : » Les sujets sociaux. »
Table ronde 2 : SUBSIDIARITE ET SOLIDARITE
Animateur : Guillaume de Prémare, directeur-général d’Ichtus
Le bon gouvernement ménage la liberté de chacun dans le cadre du bien commun poursuivi. Comment les individus conçoivent-ils leurs propres actions en fonction de ce bien commun, comment exercent-ils leur liberté, quelle réciprocité de services peuvent-ils ou doivent-ils mettre en place ?
+ Jacques de Guillebon, écrivain et journaliste La Nef : « Être un sujet libre. »
+ Gauthier Bes, co-fondateur des Veilleurs : « Être un sujet engagé. »
INTERVIEW DU PRINCE JEAN DE FRANCE.
Table ronde 3 : BIENS COMMUNS IMMEDIATS
Animateur : Philippe Mesnard, rédacteur-en-chef de L’Action française 2000
Si le bien commun doit être refondé, si la promotion de ce bien commun est nécessaire, si les formes du politique doivent être réinventées, il y a simultanément à ce chantier primordial une urgence sociale. C’est aujourd’hui que le bien commun de demain est menacé. S’engager dès maintenant, sans l’assurance de la meilleure forme politique et sans la légitimité du consentement des personnes et des communautés, est-ce déjà poser les bases, refonder ?
+ Charles de Meyer, président de SOS Chrétiens d’Orient : « L’urgence diplomatique. »
+ Gabrielle Cluzel, écrivain et journaliste Boulevard Voltaire : « L’urgence sécuritaire. »
Conclusion :
M° Jacques Tremolet de Villers, avocat et écrivain.
Informations pratiques
* Lieu : Espace Cléry, 17 rue de Clery, 75002 Paris.
* Horaires : 14h-18h – colloque – 20h-00h – banquet
* Tarifs : Colloque seul : 7€ (adhérent de l’Action française) 10€ / 20€ (soutien) Colloque + banquet : 20€ (adhérent de l’Action française) 30€ / 50€ (soutien)
Renseignements : contact@cercledeflore.fr