Il y avait quelque chose d’irréel, ce mardi, à 13 heures, en écoutant – de bout en bout – le JT de France 2, présenté par Marie-Sophie Lacarrau.
Et même, disons-le, quelque chose qui mettait mal à l’aise. Pas une fois, pas une seule, non, à aucun moment, ne fut employé le terme de « terrorisme islamiste ». On nous a bien dit et répété que nous étions en guerre, que la guerre continuait, que l’« horreur », que la « barbarie » avaient encore frappé »; ça, oui ! Mais, nommer l’ennemi, celui qui nous fait cette guerre : ça, non ! Dire qu’il s’agit du « terrorisme », certes, mais du « terrorisme islamiste », cela écorcherait la bouche de nos journaleux et autres adeptes du politiquement correct, pour qui l’essentiel est, avant tout, de ne pas stigmatiser, de ne pas faire d’amalgame !
La chose prit un autre relief à la fin de ce journal évidemment chamboulé et exclusivement consacré à Manchester : commencé comme d’habitude à 13 heures, il s’acheva à 13h46 ; or, passant sur BFM/TV on eut, une minute après, soit à 13h47, l’annonce de la revendication du crime par Daech.
Prenant les gens pour des imbéciles, les journaleux et autres soumis dont parle avec justesse Houellebecq pourront bien dire, pour se défendre, que jusqu’à 13h47 on n’avait, justement, pas de revendication. Or, tout, dès le début rattachait le drame de Manchester à l’islamisme radical.
La question est donc : comment faire une guerre – et, à fortiori, la gagner – si l’on ne nomme pas l’adversaire ? Si l’on ne sait pas, ou, pire encore, si l’on ne veut pas savoir, ne pas voir qui est l’ennemi ?
Laissons donc là ces journaleux et soumis pitoyables et misérables, et passons à la seule question qui vaille : que faire ?
La réponse est simple : on nous fait la guerre, on nous attaque ? Défendons-nous, et faisons la guerre, et gagnons-la ! En commençant par le commencement : créer des Cours martiales, comme cela s’est toujours fait en temps de guerre, pour juger les actes de trahison, désertion, défaitisme, propagande contre l’armée française etc. Et comme les Cours martiales, en général, condamnent à mort, fusillons sans délai les traîtres et autres agents de l’ennemi, comme ce Salah Abdeslam que nous engraissons depuis plus d’un an (incarcéré depuis le 28 avril 2016).
Autre mot répugnant entendu ce même jour, tenu par un journaleux : « les personnes qui reviennent ». Comment ça, « les personnes qui reviennent » ! Qu’il s’agisse de Français de souche ou d’étrangers français de plastique, à qui le Système a follement donné un petit rectangle de plastique, croyant que, par magie, cela les rendait Français, ils ont pris les armes pour l’armée qui nous fait la guerre ; ils ont trahi : Cour martiale, condamnation, fusillés !
Et, si l’on ne veut pas faire la guerre, alors qu’on nous fiche la paix avec les petites bougies, les peluches, les petits dessins et papiers, et autres niaiseries du genre « priez pour Manchester », ou « je suis Manchester » : on n’a pas écrasé le nazisme avec des bougies, des peluches ou des dessins sur des petits bouts de papier ! Et quand ils ont compris la détermination des Kamikazes, les USA ont envoyé deux bombes atomiques sur le Japon !
Il faut, simplement, savoir ce que l’on veut : ou on se bat, ou on se tait. Manifestement, comme Houellebecq le signale, il y a un parti de la soumission, de la collaboration avec l’Islam conquérant. Et puis il y la partie – dont nous sommes, évidemment – de ceux qui refusent cet Islam conquérant, qui veulent résister pour notre liberté à tous, de Français et d’Européens.
Laissons donc les collabos collaborer, et posons le problème clairement, afin que les choses soient bien établies : l’Islam nous agresse, pour la troisième fois (après 711, par l’Espagne, et 1453, par Constantinople) : nous avons par deux fois relevé le défi, et fini par chasser l’envahisseur, même si ce fut long et difficile. Jamais deux sans trois ! •
Déclaration de Mme Merkel : » Nous regrettons l’attentat de Manchester, mais ce qui nous inquiète d’abord, c’est la montée de l’islamophobie et du populisme en Europe. Il est de plus en plus urgent de permettre l’installation en Europe de nouveaux migrants musulmans, qui sont une chance pour notre continent ». Applaudissements sur BFMTV, au Monde, Libération, Nouvel Observateur, Express, etc.
Bien entendu les propos prêtés à Merkel sont tout à fait imaginaires …
Il y a un certain temps déjà notre brillant premier ministre de l’époque, devenu depuis has been à la ramasse, disait que nous étions en guerre et avait chargé un autre brillant visionnaire , Monsieur Cazeneuve (une maison neuve est une maison vide), de trouver qui étaient les méchants. Notre fin limier en a déduit que nous avions des attentats à cause du FN qui est islamophobe et est donc l’ennemi en question..Bravo!
D’un autre côté Monsieur Trump va vendre des armes à l’Arabie Saoudite pour soutenir plus efficacement avec le Qatar le Daech agressé.
On tourne en rond et on s’étonne d’avoir le tournis!
Par delà les nécessaires mais non suffisants propos martiaux, ce grain de sel a raison de réintroduire in fine une vision historique du grand conflit Europe-Islam.
Le temps long est une dimension des choses peu discernable par l’opinion régnante. Cependant « la lenteur de tous les processus dont se compose la vraie histoire de l’homme » selon Martin Buber cité par Boutang, reproduit aujourd’hui, sous des formes certes nouvelles, mais pas totalement nouvelles, ce grand conflit qui traverse de siècle en siècle l’histoire de l’Europe d’essence romano-chrétienne affronté à l’Islam oriental.
Nous ne mènerons pas une guerre efficace ni victorieuse si nous ne reprenons pas conscience de cette dimension historique fondamentale que l’Islam, lui, n’a pas oubliée, qui nous appelle, malgré l’évidence de notre infidélité actuelle, les Croisés.
« On tourne en rond » jusqu’au moment où les peuples vont se soulever et prendre leur sécurité dans leurs mains et je me demande si c’est ce que veulent les gouvernements incapables , mous et temporisateurs.
On en a assez des casseurs des fainéants, comme des patrons voyous et de cette société dêcadente égocentrique et pornographique. Nous ne demandons pas mieux qu’accueillir des travailleurs étrangers et des gens de bonne volonté , mais dans la mesure de nos possibilités et de nos besoins . Ce n’est pas aider les autres que les tasser dans des camps ou errer dans les rues.
Et ne pas oublier que nous avons eu une Histoire , que nous avons des raçines chrétiennes et que la France n’est pas qu’un hexagone républicain où il n’y a que des droits et pas de devoirs.
Nos ancêtres ont fait ce pays , nous avons la charge de le transmettre à nos enfants tout comme cette terre sa beauté et ses richesses , or nous ne sommes pas dans une guerre franche et claire où l’ennemi se déclare à visage découvert mais face à une guerre sournoise et bien plus pernicieuse parce que cachée et imprévisible.
Quand les gouvernements sont incapables d’assurer la sécurité de leurs peuples , ceux-ci se chargent de le faire et ce n’est pas une menace mais l’expression de la lucidité. La » France d’en bas » s’est tue ou a parlé aux dernières élections , Emanuel Macron a été élu « par défaut » . Qu’il en tienne compte . !
Il y a eu hier un admirable geste de combat de la Ville de Paris : la Tour Eiffel a été éteinte à minuit.
On en pleure de joie : y’a pas à dire, nous sommes bien défendus.
@Pierre Builly: ah oui! éteindre la Tour Eiffel ! cela leur fait une peur bleue à ces terroristes SUICIDAIRES, car c’est cela le problème:
pas d’accord avec l’auteur de l’article non signé.
Il faut détruire L’IDEOLOGIE, pas fusiller les assassins qui passeront illico pour des martyrs.
En France, il y a un délit d’islamophobie, ce qui a pour conséquence que la France, fille ainée de l’Eglise catholique est obligatoirement islamophile ….Mais le problème est que l’Islam condamne tout ce qui n’est pas musulman et tout ceci doit disparaitre : d’abord les « mécréants » et ensuite les chrétiens et les juifs. Nous ne sommes pas en guerre contre DAECH et autres, c’est l’Islam qui est en guerre contre tous et tant que les gouvernants et les média se voileront la façe , nous courrons le risque d’être martyrisé ou converti, il n’y a pas d’autre alternative en Islam, sauf la taqquia au début des invasions. Regardez ce qui se passe dans les pays musulmans car le Coran n’est pas seulement le texte religieux, mais les codes civil, pénal des procédures , etc… Sauf à se ressaisir et à avoir un nouveau Charles Martel, ce qui n’est pas au programme des gouvernants, voyez à l’étranger ce qui nous attend.
La France est un pays laïque c’est a dir avec séparation de l’Eglise et de l’Etat .
(Rien à voir avec l’athéïsme et la confusion qui est gr’éralement faite )
En revanche l’islam est une religion d’Etat qui est politique et spirituelle avec des lois et des obligations punies par la loi si elles ne sont pas suivies.
Conclusion il leur est difficile de vivre dans un état laïque et il nous est difficile d’accepter leurs lois donc nous sommes incompatibles.
Ce n’est pas nouveau, hélas, la principale force de l’Islam c’est notre faiblesse, la LACHETE de nos DIRIGEANTS, qui refusent de voir le mal là où il est
A ceux qui invoquent ce qu’il nous reste de catholique, je me permettrai de rappeler que l’actuel engagement immigrationnniste suicidaire de l’Eglise complique singulièrement les choses.
On va voir comment Trump se « débrouille » avec le Pape…. Mais Dieu dit de « rendre à Cesar ce qui est à Cesar » et le problème des émigrants est tout aussi politique que « charitable » il y a un compromis à faire dans un équilibre pacifié.
Nous sommes le premier peuple en Europe pour çe qui est de l’athéisme , ailleurs les religions sont mieux acceptées voire plébiscitées.
La détestation du catholicisme vient de la révolution mais elle est à son maximum actuellement , sans doute en fonction de l’augmentation des Francs -Maçons au pouvoir.
Tout catho pratiquant est pour eux un intégriste alors qu’en fait il y a dans l’Eglise un courant de gauche et c’est sans doute ce à quoi vous faites référence .
En fait la position du Pape est trés difficile chez nous car on prend prétexte d’une forme d’égalité de traitement pour interdire la burka et donc aussi la croix et tous les signes des fêtes , crêches et processions qui éxistaient encore il y a vingt ans. sont maintenant proscrits.
C’est là où on voit que nous ne sommes plus chez nous.
Avez-vous remarqué que même nos croissants du matin se sont allongés pour ne pas choquer l’Islam ( mon boulanger dixit !.. J’espère qu’il plaisantait !)