Le footballeur Zlatan Ibrahimovic
Par Péroncel-Hugoz
Notre confrère Péroncel-Hugoz, longtemps correspondant du Monde dans l’aire arabe, a publié plusieurs essais sur l’Islam, et il travaille maintenant à Casablanca pour le 360, l’un des principaux titres de la presse francophone en ligne au Royaume chérifien. Il tient aussi son Journal d’un royaliste français au Maroc, dont la Nouvelle Revue Universelle a déjà donné des extraits. Nous en faisons autant, depuis janvier 2016, en publiant chaque semaine, généralement le jeudi, des passages inédits de ce Journal. LFAR •
Le 15 mars 2015
Dans je ne sais quel stade européen, un footballeur « suédois », en fait musulman de Bosnie, né en Suède, adulé des foules sportives en chambre, habitué à gagner, est battu par les Girondins de Bordeaux et, aussitôt, mauvais perdant, il insulte la France, « pays de merde »…
Croyez-vous que cet insolent ait été interdit de jeu ou de séjour sur nos terrains ? Non, bien sûr, on s’est contenté de vagues excuses de la part de cette brute à queue de cheval, des excuses suintantes d’insincérité, eh ! oui, que voulez-vous, il ne faut pas trop exiger d’une « idole de notre jeunesse »…
Cette pénible affaire rappelle, mutatis mutandis, celle du 25 mars 2012, où une Algérienne installée en France, mère du grand criminel mahométan Mohamed Merah, une Algérienne nommé Zoulikha Aziri, remariée avec un Tunisien, lui-même père d’un djihadiste, osa déclarer, en France, chez nous : « Mon fils a mis ce pays à genoux. Je suis fière de mon fils ! ».
Ce qu’il aurait fallu faire : emprisonner cette Algérienne (et si elle avait la nationalité française l’en déchoir en urgence) et la renvoyer, à nos frais, avec ses baluchons, dans son vrai pays. Cela aurait été le début du respect que la France est en droit d’attendre de la part de ces étrangers qui profitent d’elle et l’insultent.
En Turquie, il y a quelques années, avant même que les islamistes soient au pouvoir, une Allemande, épouse d’un Turc musulman, laissa par mégarde, un jour de fête à Ankara, choir un drapeau turc de sa fenêtre dans la boue du trottoir. En un clin d’oeil, ce fut un attroupement, des cris, la police, l’arrestation de la pauvre femme maladroite et sa condamnation à je ne sais plus quelle peine…
Les Turcs, eux, savent se faire respecter. •
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La politique récolte ce qu’elle a semé.